Angel : L.A, la nuit cette ville brille, c’est un phare. Elle attire les attire les êtres comme des papillons. On peut s’y brûler. Peu importe pourquoi on y vient. Vous voulez savoir pourquoi j’y suis venu ? C’est simple. C’est à cause d’une fille.

On voit Angel saoul à un bar, parlant à un type (chauve) !

Angel : une fille vraiment très jolie. Non, c’est vrai. Elle était… elle était différente. Elle avait comment dire… ses cheveux … ils étaient … ah ! En fait tu me la rappelles un petit peu. A cause de tes cheveux. Tu pourrais avoir la même coiffure.

Il repère des vampires : il les suit dans la ruelle

Angel(toujours saoul) : Excusez moi, excusez moi … pardon … Vous avez pas vu ma voiture. Elle est belle, elle est grande.

Vampire : Tire toi, barre toi.

Le vampire dévoile ses horribles dents de vampires.

Angel : change de dentifrice !

Le combat commence.

Angel rentre chez lui et découvre un individu chez lui.

Doyle : C’est sympa chez toi. T’as pas beaucoup de vues mais ça manque pas de charme, ce côté … troglodyte.

Angel : Qui êtes vous ?

Doyle : Je m’appelle Doyle.

Angel : Vous n’avez pas l’air humain.

Doyle : ça c’est pas gentil. Justement, y’a pas plus humain. ( il éternue et apparaît avec plein de piques verts sur le visage puis redevient normal) … du moins du côté de ma mère.

Angel dans un café essayant d’attirer l’attention de Tina, une serveuse qu’il doit aider.

Angel : Oh ! il est mignon … ce… ce petit chien.

Angel parle finalement à Tina.

Angel : Vous êtes …heureuse.

Tina : Pardon ?

Angel : Vous n’avez pas l’air heureuse.

Tina : Vous êtes venu m’observer.

Angel : Non, je regardais de ce côté et vous êtes arrivés … de ce côté.

Un peu plus tard,

Angel : d’où êtes-vous ?

Tina : De Missoula, dans le Montana. Vous êtes allé là bas ?

Angel : Pendant la dépression…euh, ma dépression : j’étais pas bien.

Angel et Tina sont à une fête.

Oliver : Vous êtes magnifique, magnifique vraiment.

Angel : Merci.

Oliver : Vous êtes acteur.

Angel : Non.

Oliver : C’est pas une question. Je m’appelle Oliver. Demandez à n’importe qui de vous parlez d’Oliver. Il vous dira qui je suis. Je peux m’occuper de votre carrière

Angel : je ne suis pas acteur.

Oliver : En plus vous avez de l’humour : vous allez réussir.

Appelez moi, n’ayez surtout pas peur. Je suis tout à fait comblé et épanoui dans mon couple.

Angel : Cordélia …

Cordélia : Oh ! Mon dieu. Angel. Je savais pas que tu étais à Los Angeles. Tu habites ici ?

Angel : Oui et toi ?

Cordélia : A Malibu, un petit appartement sur la plage. C’est pas une plage privée. Mais étant donné mon âge, y’a de l’espoir.

Angel : Tu es actrice ?

Cordélia : Oui, t’imagines ? J’ai commencé par hasard juste pour me faire un peu d’argent et d’un seul coup c’est devenu ma raison de vivre.

Et toi ? Tu es toujours grrr.

Angel : Oui, ils n’ont pas trouvé de remèdes à ça.

Cordélia : Dommage. Mais tu ne fais de mal. Tu n’es pas venu ici … tu sais mordre les humains.

Angel : Non, j’ai accompagné une amie.

Cordélia : Tant mieux. Bon, il faut que je me montre. Je ne suis pas là pour m’amuser. Il faut que je parle aux gens importants. Ciao Ciao.

Angel : C’est bien, je vois qu’elle fait des progrès.

Cordy, médite dans son appartement miteux.
 

Cordy : J’existe en tant qu’être humain à part entière. Mon positivisme attire les autres et mon énergie me permet d’atteindre mon but. Je suis en parfaite harmonie avec le monde et je n’admets pas que … je suis morte de faim.

Cordy, invité chez Russel Winters, un homme d’affaire.

Cordy : Et me voilà finalement invitée dans une superbe maison sans miroir avec beaucoup de tentures. Hé ! Vous êtes un vampire.

Russell : Quoi ? Bien sur que non !

Cordélia : J e suis de Sunnydale. Nous avions notre propre bouche de l’enfer. Je sais reconnaître un vampire quand je me retrouve seule avec lui dans sa maison … forteresse.

Cordy, Doyle et Angel de retour.

Cordy : Monsieur a réussi à vivre 200 ans mais pas à ouvrir un livret d’épargne.