~~~~~~~~~~ Citations
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Réalisé par
Surfy
Au Caritas,
LORNE : Qu’est ce qui t’arrive,
ce soir ? 2 chansons pour le prix d’une. Tu nous as gâtés.
ANGEL : Oui, en fait, j’ai
pensé que je pourrais faire un … pot pourri, ce genre de choses.
LORNE : La question est
«Que va t-il lui arriver ? »
ANGEL : A qui ?
LORNE : A ton cœur, gros
nigaud !
Cordélia est à l’hôtel Hypérion. Elle fait la poussière mais commence à se décourager,
WESLEY : Allez, courage !
Ce n’est qu’un petit peu de poussières.
CORDY : Non, c’est plus
que ça. Tu veux savoir ce que c’est ? C’est un être vivant,
le genre de poussières qui engendre des générations
… des générations de bébés poussières.
WESLEY : Très bien.
On n’aura qu’à réinstaller nos bureaux chez toi.
CORDY : Bon, c’est reparti
!
Gunn entre dans l’hôtel,
GUNN : Où est Angel
?
CORDY : Ah ! Et dire bonjour,
alors ? C’est trop te demander ?
GUNN : Je trouvais que «Où
est Angel ? » : ça résumait tout.
CORDY : Il dort encore.
GUNN : A cette heure-ci
? Il est 3 heures et demi de l’après-midi et moi, je suis debout
depuis l’aube.
CORDY(à Wesley) :
Je ne suis pas sur qu’il est saisi le côté créature
de la nuit.
GUNN : Vous pourriez aller
frapper à son cercueil ?
CORDY : Angel ne dort pas
dans un cercueil.
CORDY : Et puis tu ne connais
pas le proverbe «Ne réveillez pas le vampire qui dort. »
?
CORDY (à Gunn) : On
peut peut-être venir avec toi.
GUNN : Vous deux ? Hum !
Si je trouve Divak, il va me falloir autre chose qu’un avorton à
lunettes et une poupée Barbie …sans vouloir vous vexer.
WESLEY : Mais non ! Quelle
idée !
DAVID NABBIT : Je suis prêt
à livrer bataille. Que te faut-il ?
ANGEL : Des conseils financiers.
CORDY : Y’a que moi qui crève de chaud, ici ? Est-ce que tu veux bien reprendre ton histoire de PMI… machin chose ?
Après un combat laborieux,
CORDY : Oh ! J’ai des taches de graisse plein mon nouveau pull ! D’accord, c’est peut-être pas une douleur physique mais vous avez une idée de ce qui m’attend comme note de pressing ?
GUNN : Je ne suis pas allé
au cinéma depuis qu’ils ont osé refuser l’Oscar à
Denzel pour Malcolm X.
WESLEY : Oh ! C’était
une sacrée performance !
CORDY : Je sais et encore,
je n’avais pas les chaussures qu’il fallait.
WESLEY : Non, je parlais
de Denzel ! ( à Angel ) Qu’est ce que tu penses de tout ça
?
ANGEL : Qui n’aime pas Denzel
? !
WESLEY : Non, ce que tu
penses de cette bagarre !
Cordélia a une vision de Gunn en danger. Elle se rend chez lui et frappe l’homme avec qui Gunn se battait,
GUNN : Ça va pas la
tête ? Qu’est ce que tu fais ?
CORDY : Je te sauve des
griffes d’un affreux démon ! (Elle se rend compte que l’homme est
un ami de Gunn et qu’ils s’entraînaient au combat) C’est pas un démon
? Et je viens pas de te sauver la vie ?
Wesley débarque dans la chambre d’Angel alors que celui-ci faisait un rêve. Le vampire le jette à terre et lui serre la gorge,
WESLEY : Angel, c’est
moi.
ANGEL : Qu’est ce que tu
fais là ?
WESLEY : Gunn a des problèmes.
Respire plus.
ANGEL : Gunn ne respire
plus ?
WESLEY : Non, c’est moi.
Arrête !
ANGEL(enlève sa main)
: Oh, pardon.
WESLEY(à Angel) :
Pourquoi est ce que tu es nu ?
ANGEL : Je vais m’habiller.
WESLEY : J’apprécierais
assez.
JOEY(l’ami de Gunn) : je
crois que vous m’avez ouvert le crâne.
CORDY : Ben… oui. Mais ça
vous va bien.
Cordélia se rend compte qu’elle s’est fait voler la voiture d’Angel,
CORDY : C’est vrai, combien de chances qu’un vampire est une assurance tous risques avec franchise minimum.
Gunn raccompagne Cordélia en voiture. Mais ils se disputent,
CORDY : Tu vas user de ton
charme irrésistible comme tout à l’heure dans le parking
avec cette balançoire ?
GUNN : On dit une balance.
CORDY : Ah !
CORDY : Mais oui Monsieur
«je ne laisse rien au hasard» !
GUNN : Mais oui Madame «Je
vais me faire jeter d’une bagnole en marche ! »
GUNN : …avec cette espèce
de hachette pour couper le gruyère.
CORDY : Demande à
Joey et à son crâne fendu ce que vaut cette hachette !
CORDY : Non, attends. J’ai
aussi ça (elle sort une bombe lacrymogène) …psschit !
GUNN : …psschit ?
CORDY : En plein dans les
yeux, ça fait des dégâts.
GUNN : Peut-être,
sur une bande de vieux démons, voleurs de sacs à main.
GUNN : Vivement que je me fasse attaquer et qu’on en finisse !
Pour trouver le voleur, ils se rendent à une fête dans le quartier de Gunn,
CORDY : Et je ne t’ai pas
attendu pour savoir comment me comporter dans une soirée. Je sais
m’intégrer.
CORDY(elle entre) : Bon,
OK, c’est pas gagné. Peut-être que je vais la fermer et rester
près de toi.
CORDY : je suis une professionnelle. Enfin, pas au sens… Evidemment, je suis pas une «professionnelle». Ce qui ne veut pas dire que si je voulais, je ne pourrais pas en être une. Dis comme ça, c’est clair que je ne voulais pas insinuer que je pourrais en être une et pas vous… loin de là. Vous feriez une super… Où est le buffet ?
Gunn et Cordélia ont retrouvé la voiture d’Angel,
GUNN : Bon, tu conduis et
je te suis jusque chez toi.
CORDY : D’accord. Dès
que j’aurai retrouvé les clés.
GUNN : T’as pas les clés
?
CORDY : Euh… je crois qu’en
fait je les ai laissées dans la voiture quand je suis venue te sauver.
Je te croyais en danger ! Chaque seconde comptait !
GUNN : Alors, toi, franchement,
dans le genre chieuse : t’es gratinée !
CORDY : Elles sont là…
quelque part.
GUNN : Elle me fatigue.