~~~~~~~~~~ Citations
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Réalisé par
Fyno
Jenny donne un rendez-vous
à Giles mais ne veut pas lui dire à quel endroit :
Jenny : C’est un secret
!
Giles : Quel genre de secret
?
Jenny : Heu, le genre secret.
Un secret c’est quelque chose qu’on ne dit pas.
Giles : Oh, je pense que
c’est la moindre des choses quand on invite quelqu’un, un soir, que de
lui donner une idée de l’endroit où…
En cours d’Histoire, le sujet
de discussion est la révolution française :
Cordelia : Je suis sidérée
de la façon dont ils maltraitaient Marie Antoinette. Elle jouait
son rôle de reine. Je suis sûre qu’elle travaillait son image
très dur. Je me demande pourquoi personne ne reconnaissait ses efforts.
Et je sais que les paysans étaient tous déprimés…
Alex : Tu veux dire «
opprimé ».
Cordelia : Oui, enfin bref.
Ils étaient cinglés. Ca les prenait, « Youpee, ce matin
on coupe des têtes ». Ah ! C’était de la folie. Et Marie
Antoinette, elle s’occupait d’eux pourtant. Elle leur donnait des pâtisseries.
Buffy n’est pas dans son
assiette et Alex essaie de trouver une solution. Arrive alors Ford, un
ancien copain de Buffy du temps où elle habitait LA :
Alex : Toi tu as besoin
qu’on te remonte le moral. Et je sais ce qu’il te faut ! Une teuf de folie
au Bronze !
Buffy : Bah, j’en suis pas
sûre.
Alex : Une calme et douce
soirée au Bronze ? Le grand spleen au Bronze.
Willow : Alors, vous étiez
amoureux en cinquième ?
Buffy : Tu rigoles. Ford
ne savait même pas que j’existait.
Ford : Tu sais, j’étais
encore un petit garçon à cet âge là. Jamais
je n’aurais compromis une fille si jeune.
Buffy : Ca a été
terrible. Je t’ai boudé pendant des mois. Assise dans ma chambre
j’écoutais les Divinyls chanter « Touch Myself ». Oh,
bien sûr je n’avais aucune idée de ce que ça voulait
dire.
Alex : Voici Ford, mon meilleur
ami avant tous mes amis. Je rêve, elle a que des canons dans ses
tiroirs ?
Willow : Oh, « Touch
Me », c’est de ça qu’elle parle ?!
Le soir, Buffy emmène
Ford au Bronze et décide de partir quand Angel arrive. Malheureusement,
une personne se fait attaquer par un vampire et Ford assiste à la
scène :
Ford : Qu’est-ce qui se
passe ?
Buffy : Heu... Heu, il y
avait un chat. Un, un, un chat, ici et heu, et est arrivé un autre
chat… et il l’a attaqué. Et le chat, heu, i-il est parti.
Ford : Oh, j’ai cru que
tu étais en train de tuer un vampire.
Buffy : Quoi ? Que je tuais
quoi ?
Angel a des soupçons
sur Ford et demande à Willow de faire des recherches :
Angel : Si je te dérange,
je peux…
Willow : Non ! C’est que…
j’ai pas l’habitude de voir des garçons dans ma chambre.
Angel : Je te promets que
je saurai me tenir.
Angel : J’ai besoin de ton
aide.
Willow : Ah bon. T’as du
mal avec tes devoirs? Non. Tu es trop vieux. Tu connais déjà
ces trucs.
Willow : Heu, si je trouve
des choses qui te mettent de mauvaise humeur, tu me promets de ne pas me
mordre ?
Angel : Tu crois que je
suis jaloux ?
Willow : C’est que, c’est
que parfois t’en a l’air.
Angel : Tu sais, avant je
ne l’étais pas. Les choses étaient très simples. Pendant
cent ans, j’ai traîné ma culpabilité. J’étais
sombre, mon cœur était vide. Et elle est arrivée. C’est vrai.
Je suis jaloux. Mais je connais bien les gens. Je suis sûr que ce
type n’est pas clair.
Willow : Allons-y. Mais
si je trouve rien de bizarre… Hey, ça c’est bizarre.
Le lendemain, Willow se sent
coupable de faire des recherches dans le dos de Buffy et est un peu nerveuse
:
Buffy : Attends, Willow.
Regarde-moi.
Willow: Quoi?
Buffy : Tu as encore bu
du café ? Tu sais que tu ne le supportes pas.
Willow : Je suis montée
sur ressort. Il faut que j’y aille. Par là bas.
Giles veut confier quelque
chose à Buffy à propos de son travail de Tueuse et Buffy
lui avoue que Ford est au courant :
Giles : Oh ! Heu, très
bien. Heu, um, Buffy… Excusez-moi. Tu n’as quand même pas trahis
ton identité secrète pour, pour impressionner un, un joli
garçon ?
Le soir, Willow donne une
adresse à Angel, seul information qu’elle ait pu trouver sur Ford.
Angel, Alex et Willow s’y rendent :
Angel : Il n’y a de trace
de lui nulle part, aucun dossier. C’est suffisant pour être louche.
Alex : Oui, sur ce coup
là, je suis d’accord avec le zombie.
Angel : Ne m’appelle pas
comme ça.
Alex : C’est aussi gai et
accueillant qu’un cimetière.
Angel : On fait le tour.
Vous, vous descendez.
Alex : Tout de suite, capitaine
grand chef !
Willow : Je trouve que ça
devrait être accueillant.
Alex : Quoi ?
Willow : Les cimetières
devraient être accueillants. C’est pas drôle, quand on entre
on devrait se dire, « Wow ! Quel pied de finir ici ! »
Alex : Tu réfléchis
trop.
Chantarelle : Oh, n’ayez
pas honte. C’est cool que vous soyez ouverts à ces choses. Nous
sommes heureux d’accueillir tous ceux qui s’intéressent aux solitaires.
Willow : Les solitaires
?
Angel : Les vampires.
Alex : Oh, nous on dirait
plutôt les affreux, méchants, zombies sanguinaires.
Buffy se fait attaquer par
un vampire et décide d’appeler Giles qui était occupé
avec son rendez-vous avec Jenny :
Giles : Oh, oui. Je vous
jure, j-j-j-j’ai tou-tou… toujours adoré les… les semi-remorques.
Buffy : C’est des camions
que vous êtes allés voir ?
Jenny : J’ai pensé
que ça changerait !
Giles : Oh oui, ça,
ça change.
Jenny : Vous savez, on aurait
pu partir.
Giles : Quoi ? Et manquer
les, les voitures exploser à la nitro ? Ca aurait été
dommage.
Pendant ce temps, Ford essaie
de convaincre Spike de le changer en vampire :
Ford : Ouais. C’est vous
le meilleur ! Je veux être comme vous. Un vampire.
Spike : Je ne te connais
que depuis deux minutes et je te trouve très énervant. Tu
n’as pas le profile type d’un immortel. Ca t’ennuie si je le mange tout
de suite ?
Le lendemain, Willow avoue
à Buffy qu’elle a fait des recherches sur Ford et que ce qu’elle
a trouvé n’est pas très réjouissant :
Alex : Angel était
vraiment dans ta chambre ?
Willow : Nous deux, c’est
Roméo et Juliette.
Buffy se rend donc dans la
boîte de Ford pour tenter de sauver Ford et ses acolytes :
Buffy : J’essaie de vous
sauver la vie. Ce sont des monstres avides de sang et de chair fraîche,
est-ce que vous allez finir par le réaliser ? Vous allez mourir.
Et votre seule chance de vous en sortir est de ficher le camps et tout
de suite, et mon dieu, quittez cette tenue ridicule.
Ford : Elle a raison, Diego.
T’as l’ai d’un plouc.
L’heure arrive et Spike et
sa bande passent à l’attaque :
Buffy : Ca c’est une idée.
Et maintenant tout le monde dehors ou je vide ta fiancée dans le
cendrier.
Devant la tombe de Ford,
Buffy attend qu’il sorte pour le tuer. Elle demande à Giles de la
rassurer sur le futur :
Buffy : Est-ce que ça
devient plus facile ? Giles : Tu veux dire la vie ?
Buffy : Oui. Elle devient
facile ?
Giles : Tu veux que je te
dise quoi ?
Buffy : Mentez-moi.
Giles : Oui, elle devient
très simple. Les bons sont toujours valeureux et loyaux, les méchants
sont facilement reconnaissables à leurs cornes pointues et leur
chapeau noir. Et les bons sont toujours victorieux et les méchants
rôtissent en enfer. Personne ne meurt jamais. Tout le monde vit heureux
jusqu’à la fin des temps.
Buffy : Menteur.