~~~~~~~~~~ Citations
~~~~~~~~~~
Réalisé par
Fyno
Alex : « Etes-vous
quelqu’un de sociable ou de solitaire ? ». Alors qu’est-ce qu’on
met quand on est sociable mais solitaire faute de mieux ?
Buffy : Tu coches la case
« autre choix ».
Alex : Il n’y a pas de case
« autre choix ». Ca produirait trop de variations. Ce ferait
cracher des pépins à la citrouille farcie de statistiques
qui leur sert de tête.
Willow : Tu ne seras pas
jeune éternellement.
Alex : Oui, mais je serai
éternellement stupide. C’est génial. Rien ne vous choque
dans ce que je viens de dire ?
Buffy : Tu n’es pas stupide.
Cordelia : « Je souhaite
aider mes semblables ». Ouais. Tant qu’ils ne sont pas sales, ou
trop scrofuleux, ou autre chose.
Alex : Cordelia Chase, toujours
prête à donner un coup de main aux riches et aux beaux jeunes
hommes.
Cordelia : Ouh, je me sens
libérée. Cette condition t’exclut d’office.
Alex : Est-ce que le meurtre
est toujours un délit ?
Buffy : « Reposez en paix » est un droit sacré chez les hommes. Vous n’êtes pas au courant ? Oh, j’oubliais. Vous n’êtes pas un homme.
Buffy : Tu es venu faire
la causette avec Mr. Toto ?
Angel : Pardon ?
Buffy : Ma peluche.
Buffy : J’aimerais qu’on
soit normaux tous les deux.
Angel : Normal. Je ne le
serais jamais.
Buffy : OK, alors je rêve
d’être une fille normale avec son démoniaque et ténébreux
petit ami.
Cordelia : Oui, je suis là.
« Animatrice de télé-achat ou chroniqueuse au courrier
du cœur. » Chouette !
Alex : Toi, au courrier
du cœur ? C’est absurde. C’est faire un lâcher de vipères
dans un pigeonnier.
Alex : Est-ce que vous m’imaginez
en gardien de prison ?
Buffy : Ah, gardien de square,
oui. Mais de prison ? Pas une seconde.
Buffy : Oui ! Ils avaient des outils, des torches. Tout le bataclan. Y en avait un qui creusait dans le mur quand je suis arrivé. C’est lui qui s’est sauvé. Oh, je vais pas me prendre la tête avec ça. Giles, vous allez user le sol. Qu’est-ce qu’il y a ?
Buffy : Si vous n’êtes
pas content de mon travail, pourquoi vous ne pensez pas à prendre
quelqu’un d’autre ? Oh, c’est vrai. Je suis la seule. L’élue. Et
tant que je resterai en vie, il n’y en aura pas d’autre. C’est ça
? Ouais, je sais. Mais rien ne m’oblige à rester en vie. Je serais
mieux dans un cercueil.
Giles : Je te trouve très
drôle aujourd’hui. D’ailleurs, je suis tordu de rire.
Willow : J’espère
qu’elle va bientôt rentrer, Snyder a vraiment… extrêmement
bien organisé ces journées, tu ne trouves pas ?
Alex : Monsieur Snyder !
Géniales ces journées d’orientation ! Extraordinaire ! D’ailleurs,
je suis tellement admiratif devant votre talent que je pense devenir directeur
de collège. Je pense marcher sur vos traces. Je risque de les recouvrir
d’ailleurs, parce que vous n’avez pas la même pointure de… enfin,
je disais pointure au sens petit pied quoi, hein. D’accord, je vais m’arrêter.
Buffy : Evidemment, pour vous c’est logique d’être à la fois Observateur et bibliothécaire. Ca va ensemble comme u-une chaussure a-avec une autre chaussure, ou heu, ou deux chaussures avec… Oh, enfin bref, vous voyez ce que je veux dire ! Pour vous, c’est facile, vous adorez rester le nez plongé dans vos bouquins. Mais moi, qu’est-ce que je suis censée faire ? Sculpteuse de piquets de bois ?
Giles : Il avait écrit
par Du Lac. Oh mon dieu. Avec toute cette effervescence, ça m’était
sorti de l’esprit.
Buffy : J’imagine que ce
n’était pas sur l’art de devenir un saint, ce bouquin ?
Alex : Pourquoi se donner la peine d’inventer quelque chose et lui donner un nom aussi peu commercial ? Il pouvait l’appeler « la Croix Somatique » ou heu, « le Schmilblick de la Croisette ».
Angel : Tu es en danger.
Tu sais ce que cette bague signifie ?
Buffy : Que j’ai tué
un champion de Superball ?
Giles : Cette bague a affaiblit
ses pouvoirs. Elle n’est portée que par les membres de l’ordre de
Taraka. C’est une, une société d’assassins dont l’origine
remonte au roi Salomon.
Alex : C’est eux qui ont
battu les Elfes cette année à Sunnydale au championnat de
bowling, il me semble.
Giles : Peut-être qu’elle
a débranché le téléphone ?
Alex : Non, il est statistiquement
impossible qu’une fille de seize ans débranche son téléphone.
Willy : Ah ouais ? Heu, dis
moi, heu, c’est… c’est dommage, là, parce que je, je m’occupe plus
de tout ça. Je, je me suis rangé.
Angel : Mais oui, Willy.
Et moi je prends des bains de soleil.
Giles : Willow ?
Willow : Non, non je ne
veux plus de têtards !
Giles : Ca va ?
Giles : Tu ne veux plus de
têtards ?
Willow : J’ai… J’ai rêvé
de grenouilles. Je me suis effondrée. Je suis désolée.
Cordelia : Tu manques pas
de culot. Tu me sors de mon lit pour que je te serve de taxi. Je suis quoi
moi ? Je me trouve bien bonne.
Alex : C’est ce que disent
certains mecs, mais c’est des racontars de vestiaire. Je n’y prête
aucune attention.
Cordelia : Oh, génial,
non seulement je te sers de taxi mais aussi de punching-ball.
Alex : Je te verrais plutôt
une carrière de cible ou de chamboule tout. Mais ça c’est
toi qui vois.
Alex : Tu viens, Cordelia.
Si tu veux faire partie de l’équipe, il va falloir apprendre à
remuer tes talons aiguilles.
Cordelia : Bah, bien sûr.
Je rêve toutes les nuits que des ploucs de votre genre deviennent
mes meilleurs copains. Et je rêve aussi que mon premier mari sera
un SDF chauve et obèse.