~~~~~~~~~~ Citations
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Réalisé par
Fyno
Alex : Maintenant que Spike et Drusilla sont hors d’état de nuire, on se la coule douce, la vie est belle, et je, je croise les doigts au fond de mes poches en disant cela.
Alex : Comment il va Angel
? Je te jure que ça m’intéresse.
Buffy : Il va mieux.
Willow : Et ça te
plaît de jouer les infirmières ?
Buffy : Oh, oui !
Alex : Ouais, c’est mieux
que de jouer les hôtesses en minijupe.
Joyce : Il vend des programmes
informatiques. Il est venu modifier le système à la galerie.
Je gagne un temps très appréciable.
Buffy : Le temps de voir
des inconnus. Et de les embrasser dans ma cuisine.
Buffy : Y en a d’autres ?
Giles : Et bien, ce n’est
pas à souhaiter pour eux ?
Buffy : Quoi ? Tuer les
vampires c’est mon boulot.
Giles : C’est vrai, mais
je ne t’ai jamais vue leur flanquer une telle raclée avant de les
tuer. Tu te sens bien ?
Buffy : Ca me rend dingue. Vous avez une famille qui vit très heureuse. Là, les vampires débarquent, détruisent tout, tuent tout le monde, envahissent la cuisine et puis se mettent aux fourneaux pour préparer de ridicules mini-pizzas et puis les imbéciles s’esclaffent « Oh, c’est bon », il…
Buffy : Peut-être mais
je le connais pas. Et pour l’instant tout ce que je vois c’est que c’est
un homme qui apparemment a un bon boulot, semble gentil et poli et que
ma mère aime beaucoup.
Alex : Quelle sorte de monstre
est-ce là ?
Buffy : Et moi, je te dis
qu’il est trop propre, trop gentil, trop souriant, ce clown.
Willow : Oh, qu’est-ce qu’il
rit le clown !
Je sais, ça ne fait
rire que moi.
Alex : La demoiselle elle
est jalouse, la demoiselle elle est jalouse…
Willow : Alex…
Alex : Quoi ? Freud aurait
dit exactement la même chose. Sans la jolie chorégraphie.
Buffy : Maman est intarissable.
« Est-ce que Ted aimera cette robe ? », « Ted adore ce
film », « Ted m’apprend l’informatique », « Oh
mon dieu ce qu’il est drôle Ted » et moi je lui dis, «
C’est vrai, il me fait pleurer de rire. », elle me dit que je suis
sarcastique, et c’est vrai que je l’étais, j’en ai marre qu’elle
aprle de lui tout le temps.
Angel : Oui, d’ailleurs
tu pourrais parler d’autre chose.
Ted : Alors, Buffy, il doit
y avoir une foule de garçons qui font la queue autour du pâté
de maisons pour sortir avec toi.
Buffy : C’est vite dit.
Willow : Oh, si c’est vrai,
mais elle n’a d’yeux que pour… heu, ses études. La pauvre, elle
est trop plongée dans ses bouquins, on a du mal à lui faire
le ver le nez.
Alex : Hey, Cordelia. Jolie
ta jupe.
Cordelia : Ah, très
drôle.
Alex : Bah, qu’est-ce qui
est drôle ?
Cordelia : Qu’est-ce que
tu as dit ?
Alex : Jolie ta jupe ?
Cordelia : Ca devient urgent
que tu apprennes à te taire, Alex !
Alex : Ecoute, je ne vais
pas leur dire, ils ne sauront rien du tout. Ni tes amis, ni mes amis. Tu
viendrais avec moi, deux secondes, dans le placard à balai ?
Cordelia : Alors ça,
c’est hallucinant ! Tu penses qu’à ça ! Bon, d’accord.
Alex : Qu’est-ce que c’était ? U-un démon ? Un scarabée géant ? Un prince de l’enfer testant des secrets de nouvelle cuisine ? Parce que c’était un monstre ou un truc dans le genre ?
Alex : Buffy , je ne sais
pas ce qui s’est passé hier soir. Mais je te connais, toi. Tu ne
ferais de mal à personne sans avoir une raison de le faire. Et tu
devais en avoir une...
Buffy : Oui, j’en avais
une. Il sortait avec ma mère.
Cordelia : Ca me dépasse.
Buffy, c’est la Tueuse. Elle devrait avoir…
Alex : Quoi ? Un permis
de tuer ?
Cordelia : Pas pour s’amuser,
bien sûr. Mais pour des gens comme elle ou Superman, on devrait pouvoir
faire d’autres lois ?
Willow : Si on était
dans une société fasciste, oui.
Cordelia : Très bien
! Pourquoi on en a pas une comme ça ?
Giles : Quelle que soit la
décision de justice à son égard, ça ne peut
pas être pire que ce qu’elle se fait subir à elle même.
Elle a pris une vie humaine et, et la culpabilité est un fardeau
très lourd à porter, et qui vous poursuit longtemps.
Cordelia : Vous en savez
quelque chose. Ce n’est pas vous qui avez permis de ressusciter un démon
autrefois.
Giles : Heu, oui. Je propose
qu’on en parle un autre jour.
Willow : Eh bien, apparemment,
ce n’est pas l’amour, l’ingrédient secret.
Alex : Ce serait quoi ?
Willow : Je ne suis pas
catégorique, mais je crois que c’est de la Dématorine. C’est
une sorte de tranquillisant. Ca te rend malléable et docile. Je
dirais que ça a une certaine ressemblance avec l’ecstasy.
Alex : La voilà la
preuve ! C’est la preuve que Ted était un véritable escroc.
Buffy est innocente. Willow, je t’aime ! Tu es fantastique! La force est
avec toi ! Heu, peut-être que c’est l’effet cookie, mais je t’adore.
Giles : Ah !
Jenny : Je provoque toujours
la m^me réaction chez les hommes.
Willow : Whoa, whoa, 1957 ! Il s’est marié très jeune! Voir même à la maternelle.
Alex : Qu’est-ce que tu caches
dans ton placard ? On s’en va.
Cordelia : Il faut qu’on
trouve des preuves.
Alex : On les a.
Willow : Qu’est-ce qu’il
y a là dedans ?
Alex : Ses quatre premières
femmes.
Joyce : Si on louait un film
ce soir ?
Buffy : Oui, pourquoi pas
?
Joyce : Mais pas un film
d’horreur hein. Ni un film d’amour. Un film sans homme.
Buffy : Je crois qu’on va
se farcir « Thelma et Louise » encore une fois.
Willow : Le plus triste de
l’histoire c’est que le vrai Ted devait être un génie. Son
travail est extraordinaire, son robot était à l’avant-garde…
Buffy : Willow, dis-moi.
T’en aurais pas gardé des morceaux?
Willow : Non. Enfin si,
mais des petits.
Buffy ; Oh, Willow. C’est
une horreur. On devait tout jeter !
Willow : Je voulais juste
étudier quelques trucs.
Cordelia : L’art et la manière
de construire un tueur en série ?