~~~~~~~~~~ Citations
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Réalisé par
Fyno
Angelus : La passion. Elle se cache au plus profond de nous même. Elle fait semblant de dormir, elle attend son heure. Et d’un seul coup, alors qu’on ne s’y attend plus, elle se réveille, elle ouvre ses mâchoires et elle ne nous lâche plus. La passion nous entraîne, nous pousse, et finit par nous imposer sa loi. Et nous lui obéissons. Que pouvons-nous faire d’autre. La passion est la source des moments les plus rares. La joie de l’amour… la lucidité de la haine… la jouissance de la douleur. Quelque fois la douleur est si forte qu’on ne peut plus la supporter. Si l’on pouvait vivre sans passion, sans doute serions nous moins torturés. Mais nous serions vides. Espaces déserts, sombres et glacés. Sans passion, nous serions véritablement morts.
Alex : Alors là, les
filles, je ne suis pas mécontent. Ça devrait vous apprendre
à ne pas inviter n’importe quel mec dans votre chambre.
Cordelia : Oh, mon dieu
! Je l’ai invité dans ma voiture. Alors s’il est venu une fois,
il peut venir quand il veut ?
Alex : A mon avis, t’es
bonne pour les amener lui et ses potes vampires faire un tour en voiture
et crois moi, c’est pas le genre à se refuser une bonne partie de
rigolade.
Jonathan : On vient chercher
de la documentation sur Staline.
Alex : Vous vous croyez
où ? Dans une bibliothèque ?
Giles : Mais c’est une bibliothèque,
Alex.
Alex : Depuis quand ?
Giles : Si je comprends bien,
Angel a décidé de ne pas te lâcher et de passer à
la vitesse supérieure ?
Cordelia : Parce qu’il a
déposé un dessin sur son oreiller ? A mon avis, si c’était
ça, il l’aurait étranglée ou étouffée
pendant son sommeil ou, ou bien trancher une oreille. Ben quoi ? J’essaie
juste de vous aider ?
Giles : Oui. Bon, c’est
une stratégie tout à fait classique pour essayer de se débarrasser
de ses adversaires. Tu sais, i-i-il essaie de, de te provoquer de, de tourner
en dérision. De te harceler pour te pousser à la faute.
Alex : Bah oui, c’est le
bisque-bisque rage avant la bataille.
Giles : Oui, Alex, une fois
de plus tu as réussi à réduire un concept compliqué
à sa forme la plus élémentaire.
Willow : Attendez. Que dois-je faire s’ils ne reconnaissent pas mon autorité ? Ou qu’ils essaient de me convaincre que vous les laissez toujours partir avant l’heure ? Et s’il y a une simulation d’incendie ? Il y aura peut-être un incendie.
Buffy : Aucun problème.
Je suis désolée pour tes poissons.
Willow : Oh, c’est pas grave.
On n’avait pas encore de relations approfondies. C’est la première
fois que je trouve que mes parents ont eu raison de ne pas m’offrir un
petit chien.
Angelus : Je te promets de t’emmener la prochaine fois avec moi. Tu sais, ça me permettrait de me garer sur les places pour handicapés.
Alex : Mes respects du matin,
mesdames. Qu’est-ce que vous avez fait hier soir ?
Willow : Eh bien nous on
s’est fait une pyjama party armées jusqu’aux dents. C’était
sympa.
Alex : Oh. Je suis sûr
qu’aucune de vous n’a eu la présence d’esprit d’installer une caméra
pour immortaliser la soirée.
Willow : Il faut que j’y
aille. J’ai un cours à assurer dans à peine cinq minutes
et il faut que j’arrive avant les élèves pour fusiller du
regard les retardataires.
Willow : Je vais avoir du
mal à faire avaler ça à mon père.
Buffy : Tu crois vraiment
que ça l’ennuierait ?
Willow : Tu imagines la
fille d’Ira Rosenberg en train d’accrocher un crucifix à son mur
? Je n’aurais même plus l’autorisation d’aller chez Alex pour regarder
un dessin animé.
Giles : Bien. Je crois que
je vais rentrer chez moi ce soir. Le rituel en latin ?
Willow : Oh, oui. Ça
a bien marché. Enfin, bien marché, jusqu’au moment où
Angel est arrivé et a dit à la maman de Buffy que lui et
elle avaient… Enfin, vous savez, que lui et elle… vous savez. Vous devez
être au courant ?
Giles : Oh, oui. Désolé.
Willow : Oh, bien, comme
vous êtes un, un vrai intellectuel vous auriez pu, enfin, ne pas
savoir.