~~~~~~~~~~ Citations
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Réalisé par
Fyno
Willow : C’est un cauchemar.
C’est tellement nul. Ça me donne le tournis.
Alex : Oh, c’est pas à
ce point.
Willow : 7,4 ? A l’oral
?! Oh non… Je suis une analphabète! Encore plus débile que
l’idiot du village.
Alex : C’est pas bon.
Cordelia : Où tu
as vu que c’était pas bon ?
Alex : Bah, c’est pas bon
pour moi. Si tu crois que ça va être facile de continuer à
rouler des mécaniques quand on verra que je sors avec un cerveau.
Willow : Buffy ! Salut !
Tu as eu tes résultats?
Alex : A voir la tronche
que tu fais, j’ai bien l’impression que toi et moi on va passer notre vie
ensemble à servir des pizzas.
Buffy : Vous savez ce ne
sont que des notes. Ça ne veut rien dire, on le sait bien.
Willow : 14 ? Ca veut rien
dire ? Tu déconnes ! Euh, pardon. Tous ces examens de fin d’année
m’ont rendue un peu nerveuse.
Cordelia : Je trouve ça génial ! Maintenant tu vas filer d’ici et ne plus revenir ! Oh, je disais pas ça pour être désagréable. Quitter Sunnydale, c’est un vrai rêve. Quel est le sombre crétin qui voudrait revenir ici ?
Alex : On va juste jouer
au bowling.
Willow : C’est pas un bowling.
C-c’est un double rendez-vous, à quatre, et ça ils vont pas
tarder à s’en rendre compte.
Alex : Se rendre compte
de quoi ?
Willow : C’est très
intime comme situation. C’est très sexy. On se met à fumer,
on transpire et aussi on loue des chaussures…
Alex : Ca te trouble de
louer des chaussures ?
Joyce : Ce n’est pas ça.
C’est que… ta place est dans une université renommée avec
des soirées sympa entre copains. Rien à voir avec ces monstres
et ces vampires.
Buffy : J’ai du mal à
voir la différence.
Maire Wilkins : Ca y est, c’est pas le tapis, c’est moi. Je vous jure que je donnerais mon âme pour jouer mieux à ce jeu là. Mais, c’est un peu trop tard maintenant. J’aurais peut être dû proposer la votre ? Ca m’aurait aidé sur les greens.
Alex : T’es cinglée
! Est-ce que tu te souviens ce que ça produit sur moi ce genre de
mixture ?
Willow : Mais tu as dit
que tu voulais qu’entre nous le désir sexuel s’en aille.
Alex : Oui, j’ai souvent
voulu des choses ! Je t’avais dit que je voulais être pompier quand
on avait dix ans, ça ne t’a pas inquiété plus que
ça !
Spike : Elle ne m’a même pas tué. Elle m’a quitté. C’est tout. Elle aurait pu avoir la gentillesse de me couper la tête ou de me brûler. A ton avis, c’était trop demandé ? Rien…. Rien qu’une attention délicate ? C’est à cause de la trêve avec Buffy. Drusilla a dit que j’étais devenu faible. Que, qu’aucun démon ne serait jamais digne d’elle. Et je lui ai répondu que, que ça ne voulait rien dire, que je pensais à elle tout le temps, mais y a rien eu à faire. Alors, on est allé au Brésil, et elle est devenue… elle est devenue si différente. Je lui ai tout donné de beaux bijoux, et aussi de très belles robes avec de magnifiques filles à l’intérieur, mais ça ne lui suffisait pas. Et elle flirtait ! Un soir je l’ai surprise en train de se faire peloter par un chaos, un démon. Je suis sûr que tu n’as jamais vu un chaos de ta vie. Ils sont gluants avec des cornes, c-c’est dégueulasse. Elle a fait ça pour me faire du mal. Alors je lui ai dit : « Je ne vais pas continuer comme ça plus longtemps. » et elle a répondu, « D’accord ! » Et je lui ai dit, « Tu sais que tu m’as fait une vie d’enfer. » Et elle a dit… elle a dit qu’on pourrait rester amis.
Oz : C’est Willow. Elle est
pas loin.
Cordelia : Quoi ? Tu peux
la repérer rien qu’à l’odeur ? Mais, elle se parfume pas.
Oz : Elle a peur.
Cordelia : Oh, mon dieu.
Si je comprends bien c’est ton côté loup-garou qui ressort.
Je trouve ça très déroutant.
Oz : Moi aussi ça
me déroute.
Alex : Alors qu’est-ce qui
va se passer ?
Willow : Bien, pour ne rien
te cacher… je refuse de faire le filtre et il nous tue, soit je lui fais
le filtre et il nous tue aussi.
Alex : Y a pas un troisième
choix ?
Willow : Il est tellement
ivre qu’il nous oublie ici et on meurt de faim. C’est peut-être ce
qu’il y a de mieux, non ?
Spike : Je suis très
heureux d’être revenu ici. Je me suis planté sur toute la
ligne avec elle. J’ai pleuré, rampé, j’en voulais au monde
entier. Si je veux qu’elle revienne, je dois devenir l’homme que j’étais,
l’homme qu’elle aimait. Et je vais faire ce que j’aurais dû faire
en premier : je vais la retrouver où qu’elle soit. La gifler, la
torturer jusqu’à ce qu’elle m’aime.