Darla
(Titre VO : Darla )
Angel, épisode 207 saison 2

Transcript français par : Jackie (redac@buffyfan.org)
Thanks to : Joan the English Chick (pisces@englishchick.com)
 
 

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~~~~~~~~~~ Prologue ~~~~~~~~~~

Précedemment dans Angel :

Angel : C'est elle !

Angel : Alors tu es ce que Wolfram et Hart sont sortis de cette boite, et ils t'ont ramenés en tant qu'humaine.

Lindsey : (A Darla) On ne le veux pas mort, on le veux mauvais.

Wesley : (A Gunn) Ils y a des forces qui peuvent faire revenir Angel en Angelus.

Cordy : Il connait le bonheur parfait, il redevient mauvais.

Darla : (A Angel) On étaient ensemble 150 ans !

Angélus apercevant Dru : Celle du milieu.

Darla : Elle a l'aspect.

Angélus : Elle est l'innocence pure. On l'a change en l'un des notres.

Darla : (A Angel) Les gitans t'ont donnés une âme, une âme répugnante ! Non !

Darla dans la cuve d'eau : Je me souviens de tout, Angel.

Angel : Tu as une âme maintenant. Bientôt ces souvenirs vont commencer à te ronger. Crois-moi, je sais.

Angel est assis seul dans sa chambre dessinant un portrait de Darla. Wesley hésitant rentre par la porte ouverte derrière Angel et regarde.

Angel sans quitter son dessin : Qu'est-ce qu'il y a, Wesley ?

Wesley : Y ? Il n'y a rien. Ce n'est rien, vraiment. Je me baladais juste, pour voir si tout va bien.

Angel dessinant encore : Bien.

Wesley : Oh, bon. Bon. Tu es certain ?

Angel : Uh, uh. Bonne nuit.

Wesley : Bonne nuit.

Angel : Tu es encore là.

Wesley hésitant rentre dans la chanbre : Apparemment. Alors, tu es sûr qu'il n'y a....rien dans ton esprit ? C'est à dire rien que tu pourrais...peut-être (Voit ce qu'Angel dessine) partager ?

Angel le regarde un moment : Non.

Wesley : Vraiment.

Angel le regarde, puis ce que Wesley est en train de regarder. Le sol de la chambre est jonché de papiers, quelqu'un déchirés, des autres pas, montrant des essais de dessins de Darla.

Darla est affalée sur une chaise, gémissant lègèrement.

Lindsey ouvre la porte, enlève ses lunettes de soleil, rentre et regarde autour de lui. Le sol est jonché de tessons de miroir qu étaient aux murs.

Darla : Salut, Lindsey.

Lindsey s'accroupit devant elle et regarde les coupures de ses mains et poignets.

Lindsey : Tu saignes.

Darla : Je crois que oui.

Lindsey : Quelque chose s'est passé ?

Darla : Mon dieu, oui. Tellement de choses. Je me les rappellent toutes. A laquelle tu pensais ?

Lindsey : C'est trop tôt. (Sort un mouchoir pour lui couvrir les mains) On ne devrait pas t'envoyer chez lui. On devrait attendre.

Darla parvient à balayer les cheveux de son visage.

Darla : Lindsey. Tu ne parles jamais de toi, Lindsey. Tu as une petite amie ? Un petit ami ? Quelqu'un de spécial ?

Lindsey : Il n'y a personne.

Darla : Non. Non, c'est pas vrai, n'est pas ? Tu peux être avec quelqu'un de 150 ans, pense que tu les connais. Encore, n'aboutit à rien. Angélus, pourquoi, tu aurais du nous voir ensemble.

Lindsey : Il était une personne différente alors.

Darla : Et moi aussi. Maintenant tu sais ce que nous sommes devenus ?

Lindsey : Des ennemis.

Darla : Oh non. Encore pire. Maintenant nous sommes des âmes soeurs.

Darla commence à rire alors que Lindsey la regarde.

Intro.

1609, la colonie de la Virginie.

Le soleil brille sur Darla alors qu'elle est couchée au lit. Il y a deux soeurs voilées qui se tiennent au pied de son lit regardant alors qu'un docteur prend une sangsue de son bras.

Darla : Quelqu'un pour fermet les volets. (une des soeurs le fait) Ca semble mauvais que je doive mourir alors que le soleil est encore si brillant.

Un prêtre encapuchonné entre dans la chambre.

Prêtre : Tu ne le reverra plus. Avant ça, tu sera déjà parti de cette vie.

Darla : Je n'ai pas demandé un prêtre. Qui l'a invité ici ?

Prêtre : Tu la fais. Tu t'es écrié pour moi la nuit dernière dans ton délire.

Darla : Je ne me souviens pas. Savez-vous même qui je suis ?

Un homme entre dans la chambre : Une femme de quelques proprités. Pas de mari, pas d'héritage. Oui. Je sais qui tu es.

Darla : Je suis une putain.

Prêtre : Et bien, oui, ça aussi. Tu devrais avoir demandé un prêtre depuis longtemps, mon enfant. Ta vie aurait pu être mieux.

Darla : Et vous devriez m'avoir payé une visite avant aujourd'hui, père. Votre vie aurait pu être plus interessante à cause de ça.

Prêtre : Es-tu préparée maintenant à renoncer à Satan et à supplier le pardon de Dieu ?

Darla : Dieu n'a jamais rien fait pour moi.

Prêtre :(Aux autres) Partez.

Les deux soeurs partent.

Prêtre au docteur encore assis à son chevet : Vous ne pouvez pas sauver sa vie, peut-être que je peux sauve son âme.

Le docteur se lève et part.

Darla : Mon âme n'est plus à sauver. Laisse le démon me prendre s'il me veut. De toute façon, je meurt.

Prêtre : Non. (Le prêtre ve fermer et enlève son chapeau pour réveler...le Maître) tu ne vas pas mourir. (Darla regarde sa face inhumaine sans broncher) Tu vas être réincarnée.

Darla : Je vous connais.

Le Maître se penche et prend une des mains de Darla dans les siennes.

Maître : Je suis venu à toi la nuit dernière. J'ai chanté pour toi de cette fenêtre.

Darla : Hum, je me souviens maintenant. Vous êtes la mort ?

Maître : Non.

Darla : Alors quoi ?

Maître : Je suis ton sauveur. Dieu n'a jamais fait quelque chose pour toi, mais moi si.

Avec ça il se penche et enfonce ses crocs dans son coup.

Angel est assis derrière son bureau à l'Hyperion. Wesley et Cordy son assis sur des chaises de l'autre côté, pendant que Gunn rôde dans le fond.

Cordy : Je suis la seule qui pense que c'est vraiment une mauvaise idée ?

Angel : On ne peux pas juste rester assis là attendant que Wolfram et Hart fassent un mouvement. Il est temps de rentrer dans le jeu.

Cordy : Ca ne va pas encore entrainer un kidnapping, n'est pas ?

Angel : Tout ce qu'on va faire c'est la trouver.

Cordy : Et ça va être la même femme que tu n'as pas remarqué qui était dans te chambre toutes les nuits pendant trois semaines ?

Angel : C'était différent.

Cordy : Différent c'est rester au top de tes sens, ouais.

Wesley : Cordélia marque un point.

Cordy : Enfin !

Wesley : Ces derniers temps Darle voulait être trouvée. Maintenant elle est en dehors de ça parmi six millions d'autre personnes.

Cordy : Elle pourrait être assise au sommet de n'importe quoi.

Angel : Allez les gars. On est une agence de détectives. On enquêtent. C'est ce qu'on a de bien.

Cordy : C'est ce qu'on a de chiant. Envisageons ça, à moins qu'il y ai un site web appelé www.Oh-a-propos-on-a-caché-Darla-ici.com,on aurait vraiment de la chance.

Wesley : Ca va pas être facile.

Cordy se lève : Avant il a dit qu'il pouvait la sentir. Comme ça, on rôde par en dessous, et tu prends des grosses bouffées d'air ? (Personne ne dit quelque chose) Et bien, on va attendre jusqu'à ce que le soleil se couche de toute façon.

Gunn : C'est un gros cabinet d'avocat. Il doivent avoir des bâtiments pour les étrangers, n'est pas ?

Wesley : Les étrangers ? Ce n'est pas comme s'il la faisait venir de Miami. Elle a été ramenée des profondeurs de l'enfer par un ancien et dangereux rituel.

Gunn : Ouais et alors ? Ils l'ont fait pour la ramener, n'est pas ? C'est une dépense.(Tout le monde le regarde) Tu m'as dit que ces avocats n'ont pas pensés à une manière d'amortir ça ?

Cordy regarde Wesley, puis part.

Cordy : Je vais commencer à déterrer les vrais acquisitions de domaines de Wolfram et Hart.

Wesley la suit : Pas juste les possesions principales, les subsidiaires aussi.

Angel les appelent : Elle dois avoir quelque avec vue. (A lui-même) Darla a toujours aimée les choses avec une vue.

1760, Londres.

Angelus se tient devant le Maître assis dans une grande chaise sculptée.

Maître : Angélus, la latin d'Angel. (Rires) C'est merveilleux.

Darla se tient à côté du Maître : Son nom sera toujours une légende dans son village natal, il n'a laissé personne en vie là-bas pour raconter l'histoire.

Le Maître, caressant la main de Darla : Ah, tu as une agréable voyage. Je suis si content.

Darla : Sur le retour on a rendu l'herbe sanguinaire à travers South Wales et le nord de l'Angleterre. Il était magnifique.

Angel : Umm, un Yorkshire mâle, ferme comme le cuir. (Le Maître et Angelus rient tous deux à cette remarque) Alors, Darla m'a dit que vous êtes une sorte de Maître.

Darla : Le Maître. Il commande notre ordre.

Maître : L'ordre d'Aurélius. Nous sommes la sélection, l'élite.

Angélus croise les bras et inspecte les alentours.

Angelus : Et vous vivez dans les égouts, n'est pas ?

Le Maître donne une tape à la main de Darla et se lève.

Maître : Nous vivons dessous, faisant hommage aux anciens. Attendant le jour promis où nous nous relèverons...relèverons !et nous poserons le terrain du monde au-dessus de nous.

Le Maître rit.

Angelus : Pourquoi est-ce que vous voulez faire ça ?

Maître : Hein ?

Angelus : Et bien, je veux dire, avez-vous été au-dessus récemment ? C'est très joli. Moi - je ne pourrais jamais vivre dans un trou à rat infesté de puanteur - comme ça, si vous pouvez me pardonner de parler ainsi. Je dois avoir un lit propre sinon je suis une terreur. (A Darla) C'est pas vrai, chérie ?

Darla : (Au Maître) Il est jeune.

Angelus : Et celui-là, tue dans les plumes d'oies, et dans la fine soie et le lin et une vue (Angelus vient chez Darla) elle doit toujours avoir la vue (se penche vers elle) n'est pas, mon agneau ?

Darla : (Au Maître) On a mangé vraiment récemment. Le sang est encore chaud dans ses veines.

Angel à l'oreille de Darla : Tu as remarqué ça, hein ?

Maître : Nous allons traquer la surface pour manger et augmenter nos grades. Nous ne vivrons pas parmi la peste humaine !

Angelus : Je vais être honnête, vous ne pourrez vraiment pas avec ce visage, et maintenant ?

Darla le gifle : Angelus !

Angelus rit et tombe dans la chaise du Maître, laisse une jambe se balancer sur l'accoudoir et tire une taffe.

Angelus : C'est pas prétentieux comme ça, hein ?

Le Maître se penche sur lui avec un grognement.

Darla : Le Maître a grandi avant le fléau des visages humains.

Angelus : Je ne vais pas avoir un nez de chauve-souris comme ça, hein ? Si ?

Maître : Vraiment peu de vampires ont été assez malin pour avoir vécu aussi longtemps que moi, ce que tu as maintenant (La Maître attrape Angelus part la veste et le jette dans la pièce) démontré.

Darla trésaillit alors qu'Angel glisse en bas du mur. Riant, il se lève, et parle Darla comme si le Maître n'était pas là)

Angelus : Naples, toi et moi, Darla. Qu'est-ce que t'en dis ?

Le Maître le frappe fort le jettant encore dans le mur.

Darla : Angelus...

Angelus se sauve lui-même du mur et part comme si rien ne s'était passé : Il n'y a pas d'endroit pour toi, saute dans les mêmes choses que lui.

Maître : Tu devrais montrer (Le Maître frappe Angelus à la tête, le faisant tomber par terre) le respect propre.

Angelus, maintenant à quatre pattes et respirant fort, ignore encore le Maître et parle seulement à Darla.

Angelus : Tu appartient à mon côté, dehors dans le monde, mangeant comme on aime, prenant ce qu'on a besoin. Je te donnerais cette vue que tu as demandée, chérie. Je te donnerais tout.

Le Maître frappe Angel sur le dos. Angelus tousse puis rit encore. Lève sa tête pour regarder Darla.

Angel : Dis la vérité, quel visage veut-tu voir pour l'éternité ? (Roule sur le côté) Le sien, ou le mien ?

Le Maître sourit à Angelus : Tu es idiot. Je l'ai créee.

Darla sourit à Angelus et il lui sourit aussi. Le sourire du Maître s'efface et il se tourne pour regarder Darla.

Maître : Tu pars avec l'étalon, n'est pas ?

Darla ve vers Angelus et l'aide à se relever. Angelus met un bras autour de ses épaules et ils se tournent pour partir. Un des laquais du Maître grogne et leur bloque la route.

Le Maître le dos tourné : Non. Laisse-les partir. (Il les laisse passer) Il ne veut pas rester. Je lui donne un siècle.

Angel lit d'un livre : Darla, dérivation anglo-saxonne, voulant dire "mon cher", heu, ça n'est pas venu dans l'usage commun jusqu'à plus de 100 ans après qu'elle soit née. (ferme le livre) Il doit le lui avoir donné. Je ne sais même pas son vrai nom. (A Wesley) Pas de chance ?

Wesley : Pas encore, non. J'y travaille.

Angel se frotte les yeux : Quelque chose va venir.

Wesley : Oui. C'est ma peur. Angel, tu dois admettre que ton record quand c'est venu à Darla a été...taché au mieux.

Angel : Je l'ai tué Wesley. Et elle revient. Ils l'ont ramenés et maintenant je dois savoir pourquoi. Je veux dire pourquoi comme ça ? Pourquoi humaine ?

Wesley : Peut-être qu'humain était la seule manière pour Wolfram et Hart de la ramener et espèrer la contrôler avec quelques degrés de succès. Angel, je ne crois pas que ça t'es venu à l'esprit que ça pourrait être pourquoi il l'ont ramenés ? Tu as toute ton attention focalisée sur le fait de trouver cette femme.

Angel : Alors tu penses que Wolfram et Hart se sont fait tous ces ennuis juste pour me distraire ? Me faire sortir du jeu ?

Wesley : C'est possible. Et si c'est le cas...

Angel : Ca marche.

Lindsey fait entrer Darla, blottie dans sa veste, dans son bureau.

Lindsey : Tu as faim ? (Laisse sa veste et pousse un bouton pour ouvrir les rideaux) Je peux aller dans le couloir et prendre quelques sandwiches du distributeur automatique si tu veux. Ce n'est pas vraiment de la cuisine gastronomique, mais...

Il s'estompe alors que Holland rentre dans le bureau.

Holland : Lindsey.

Lindsey : Holland.

Holland : Darla. Comment vas-tu ?

Darla : Je vais bien, Holland. Heureuse de vous voir.

Holland : C'est toujours un plaisir. Lindsey, un mot. (A Darla) Tu peux nous excuser.

Holland sort du bureau et Lindsey le suit.

Lindsey a Darla alors qu'il ferme la porte : Je suis juste dehors.

Holland : Je pensais qu'on étaient vraiment clair sur ce point. Maintenant qu'elle a pris contact ce n'est pas...prudent de l'avoir dans les prémisses.

Lindsey : Je sais. Je...je ne crois que je pourrais la laisser seule. Je pense qu'il peut y avoir un problème, monsieur. Elle semble se montrer post-traumatique...

Holland : Elle craque.

Lindsey : Non. Je ne voulais pas dire ça.

Holland : Elle est en tête de la liste.

Lindsey : Quoi ?

Holland : On doit accélerer les affaires. Mais, je pense que nous sommes prêts. (Tape Lindsey au bras) Lindsey, tu as fait la bonne chose. Bon travail. (Tourne pour partir) Ne la laisse pas quitter l'immeuble. (se retourne) Oh, et les ouvre-lettres, armes de bases, même les stylos à bille, rien avec un bord coupant, tu vas avoir tellement de choses à sortir de ton bureau. Juste au cas où.

Pause.

1880, Londres.

Darla regarde un marin mort couché dans un coin de la rue.

Darla : Si merveilleux. Pas un défaut, pas une tâche. Peut-être qu'on devrait préserver cette beauté pour l'eternité.

Angelus : Pourtant il ne va pas vieillir maintenant.

Darla : Non, mais il va pourrir. Ca fait pitié.

Dru : Je pourrais sauter dans lui, comme avec l'océan.

Darla : Bien sûr que tu peux.

Dru : Je suis pleine et chaude, maintenant toute seule.

Angelus : Ce n'est pas vrai, précieuse. Tu nous as.

Dru : Pas dans le moindre. Tu ne m'as même pas un petit peu.

Darla : Tout ce que tu as à faire c'est demander.

Dru : Non. Il est trop pour toi, grand-mère.

Darla : Arrête de me parler comme ça.

Elle frappe Angel et le pouse dans la rue.

Dru suivant : Ne soit pas fâchée. Je pourrait être ta mère.

Angelus : Et bien, si tu es seule, Dru, pourquoi est-ce que tu ne te fais pas aussi un camarade ?

Dru : Je pourrais. Je pourrais prendre le sage et brave chevalier dans tout le pays, et le faire tout à moi avec un baiser.

Juste alors un William pleurant se cogne à eux, lâchant son carnet. Il se penche pour le ramasser puis trébuchee.

William : Vous...regardez ou vous allez !

Darla le regardant : Oh tu pourrais juste prendre le premier idiot baveux qui passe.

Angelus rit : Tu pense qu'elle va en trouver un bon ?

Il marche mais Dru regarde William.

Dru : Je t'ai trouvé.

Angel : Basé sur ceci on pense que la recherche est terminée ? La propriété est possédée par Wolfram et Hart ?

Wesley : Huile d'Olive Annapolis Import Export, un client de Wolfram et Hart.

Angel : C'est vraiment mince.

Cordy : Il a une vue.

Angel : C'est pas assez.

Cordy : Et des tapis Berbères.

Angel : Nan, on doit limiter ça davantage. Continuer à chercher.

Cordy : Et ma soeur vit dans l'unité 319.

Angel sort de la pièce : T'as pas de soeur.

Cordy : Bien sûr que si. Ma vieille, très éloignée, disons de 400 ans, soeur blonde Darla, pas de nom final. J'ai désespérement essayé de la (Angel revient lentement dans la pièce) trouver parce que, maman et papa sont dans le coma. Alors, le diecteur de la propriété était...vraiment serviable. (Cordy regarde Wesley avec un sourire) Elle a même pleuré.

Angel déchire la page avec l'adresse et marche vers la porte.

Angel : Allons-y.

Wesley bloque le passage : Peut-être que ça pourrait être mieux si tu me laisser contacter Wesley et que lui et moi allont nous occuper de ça. (essaye de prendre le papier avec l'adresse, mais Angel ne le lâche pas) On pourrait faire la reconnaisance, te donner un exposé complet et on peut tous décider comme procéder, comme une équipe.

Cordy : Probablement une bonne idée, depuis qu'il est 1H de l'après-midi est que l'adresse est à Sun Valley.

Angel laisse partir le papier et Wesley s'écarte.

Angel : C'est vrai. (rit) Le soleil.

Cordy : En fait je pensais Valley. Je veux dire pourquoi y aller si tu ne dois pas.

Darla se tient en dehors de la fenêtre dans le bureau de Lindsey. Lindsey rentre.

Lindsey : Darla.

Darla : Redis-ça ?

Lindsey : J'ai, ah, j'ai dit ton nom, Darla.

Darla : Ca semble si bizarre, n'est pas ?

Lindsey : Je ne sais pas ce que tu veux dire.

Darla : Ce n'était pas mon nom quand j'étais humaine. La première fois où j'ai été humaine, je veux dire.

Lindsey : Quel était ton nom ?

Darla : Hmm, je ne me souviens plus. (Secoue sa tête) Je ne suis pas elle, peut importe qui elle était. J'étais Darla depuis si longtemps, puis je ne l'étais plus. Je, je n'étais rien. J'ai arrêté. Il m'a tué. J'étais faite. (tourne pour regarder Lindsey) Puis tu m'as ramenée.

Lindsey : Oui.

Darla : Qu'est-ce que tu as ramené, Lindsey ? Qui suis-je ? Est-ce que tu as ramené cette fille, au nom dont je ne me rappelle plus ? Ou est-ce que tu as ramené quelque chose d'autre ? L'autre chose.

Lindsey : Les deux. Aucun. Tu es juste toi. Peu importe qui c'est.

Darla : Pourquoi est-ce que tu ne m'as pas embrassée ? Tu as agonisé pour ça, n'est pas ?

Lindsey : Je ne sais pas si tu voulais.

Darla : Pourquoi est-ce que ça devrais être le cas ? Est-ce que tu penses que je ne n'ai jamais hésitée quand je voulais quelque chose ? La vie est trop courte. Crois-moi, je le sais. 400 ans et encore trop courte.

Lindsey s'avance et l'embrasse doucement.

Darla : Mmm, c'est comme ça que les humains reçoivent ce qu'ils veulent. Je m'en souviens vraiment.

Lindsey l'embrasse encore.

Lindsey : Tu aimes ça ?

Darla : C'est gentil. Mais ce n'est pas moi que tu veux armer.

Lindsey s'ecarte pour le regarder : Quoi ?

Darla : C'est lui. Tu penses tout le temps que tu peux m'utiliser pour avoir Angel.

Lindsey la regarde un moment : Peut-être.

Il l'embrasse durement, la poussant contre la table.

Darla : Qui suis-je ?

Lindsey : Je ne sais pas...et je m'en fout.

Ils s'embrassent et soudainement Darla mort le coté du cou à Lindsey, fort et il s'écarte. Il se détachent.

Darla : Et maintenant tu t'en fout ?

Lindsey : Non.

Darla : C'est comme ça que les vampires reçoivent ce qu'ils veulent. Qui suis-je ?

Lindsey : Darla...

Darla : Est-ce que c'est ça ? Je suis Darla ?

Lindsey : Oui.

Darla : Attention. Darla va te casser en deux. C'est ça que je suis ?

Elle s'écarte de lui et penche sa tête contre la fenêtre.

Lindsey lève une main pour couvrir le côté de son coup.

Lindsey : Je comprends ce que tu traverses.

Darla secoue sa tête et s'écarte de la fenêtre : Non. Personne ne comprends. Personne ne peut comprendre. Je peux sentir ce que corps mourir, Lindsey. Je peux le sentir mourir à chaque instant. C'est être rongé de l'intérieur par cette chose. C'est un cancer, cette âme !

1898, Rôme.

Un Angel en loques se traine sur une colline.

Darla se tient devant un gitans adulte.

Darla : Tu me l'as pris. Tu l'as volé. Tu lui as donné une âme.

Gitan : Il doit souffrir, comme toutes ses victimes ont soufferts.

Darla : Ce n'est pas juste. Quelle que soit la douleur qu'il a causé à ta fille ce n'étais pour un moment, un instant ou une heure. Mais ce que je tu lui as fait va le forcer à souffrir pour le reste de l'éternité ! Enlève cette âme immonde et mon garçon pourra me revenir.

Dru : Angelus est parti. Où est-il ?

Darla attrape le cou du gitan : Drusilla, le camp, vas-y, tue-les !

Dru : Il va être vraiment fâché s'il découvre qu'on a eu un adorable massacre collenctif sans lui.

Darla ferme ses yeux un moment : Il nous rejoindra bientôt. Maintenant fais comme tu as dis.

Dru lèche un de ses doigt et hoche la tête : Okay.

Elle part.

Darla : Dans ce chariot est ta famille. Ta femme et tes filles vont mourir ce soir sans ma protection. (frappe la joue de l'homme) mais si tu fais ce que j'ai dit, ta famille va vivre.

Spike, en visage de vampire, saigne au menton, sort du chariot et rote. Darla le regarde.

Spike : Quoi ?

Darla ferme les yeux, se tourne vers le gitan et casse son cou.

Dru balancée par le feu : Jolie musique, jolie, jolie musique. (Spike vient chez elle et elle l'entraine dans sa danse) Il crient pour le pardon. Ils crient pour le pardon.

Darla part : Montre rien.

Angel et Cordy sont au bureau d'Angel, regardant des vidéos du sale appartement de Darla.

Cordy : Qu'est-ce qui s'est passé ? Est-ce que quelqu'un est entré ?

Gunn est assis sur le sofa dans le hall, mangeant un sandwich.

Gunn : Et bien, nous.

Cordy : C'est vous qui avez fait ça ? Vraiment mature !

Wesley : Non. C'est l'état dans lequel il était. Pas de preuve d'une entrée forcée.

Gunn, parlant autour d'un peu de nourriture : Et bien, pas avant qu'on soit là de toute façon.

Wesley : On dirait qu'elle a fait ça elle-même.

Angel : Elle a brisé tout les miroirs.

Cordy : Pourquoi ?

Angel : Ca a pas l'air évident ?

Wesley : Angel, je ne pense pas que quelque chose soit évident.

Angel : Le poids de l'âme, elle le ressent.

Wesley : On ne le sait pas vraiment.

Angel : Ca a un sens. Elle était un vampire, maintenant elle a une âme.

Cordy : Ca a un sens ? Alors pourquoi est-ce que tu ne vas pas casser les miroirs ?

Angel : Parce que je n'ai pas à ma regarder dedans. (le téléphone sonne et Cordy va répondre) Tu vois, si elle a des problèmes, on doit le trouver.

Wesley : Angel...

Angel : Elle a besoin d'aide.

Wesley : Ca pourrait vraiment l'être. Ca pourrait être aussi ce que quelqu'un voudrait que tu penses.

Cordy : Angel...

Angel : Cordy, prend un message. (a Wesley) Alors tu penses que c'est organisé.

Wesley : On ne doit pas l'écarter.

Cordy : Angel !

Angel : Cordy, s'il te plait, je suis en train de parler.

Cordy au téléphone : Salut Darla. Il ne peut pas parler maintenant. Il te rappelera une fois qu'il sera prêt. (Angel bondit sur Cordélia qu raccroche) Ouais, bye bye.

Angel attrape le téléphone avant que Cordy puisse raccrocher.

Angel : Darla ?

Darla : Mon garçon. Mon garçon chéri.

Angel : Où est-tu ?

Darla : J'ai des questions. Où était-je ? Je ne me souviens de rien. C'est un grand vide. Ca se pourrait que ça ne soit pas l'enfer ?

Angel : C'est un enfer. Quelque-uns d'entre eux. J'ai été dans l'un deux.

Darla : Je lui ait dit que personne ne pouvait comprendre, mais j'avais faux n'est pas ? Mon garçon sait.

Angel : Ouais, je sais.

Darla : Tu m'as dit que tu m'avais tout donné. Tu te souviens ? Je l'ai cru alors. Je le crois encore.

Angel : Je vais faire tout ce que je peux.

Darla : Ca fait cinq siècles que je n'ai plus été effrayé de quelque chose. Et maintenant je suis malade avec ça.

Angel : Je sais.

Darla : Angel...

Lindsey de la porte de son bureau : Darla. Qu'est-ce que tu fais.

Darla silencieusement au téléphone : Aide-moi !

Angel peut entendre du téléphone Lindsey parler : Raccroche le téléphone.

Angel : Darla.

Lindsey : Raccroche le téléphone. (Darla se tourne pour le regarder) Ca va.

Angel : Darla ?

Au bureau on peut entendre la voix d'Angel venir du téléphone : Darla !

Lindsey : Ca va. D'accord ? Pose-le juste.

Un garde de sécurité rentre par la porte du bureau.

Garde : Mr. McDonalds, tout va bien ici ?

Lindsey : Oui, nous allons bien.

Garde : Mr. Manners a dit que pourriez avoir besoin d'aide avec elle.

Lindsey : Non. Partez.

Darla cramponne encore le téléphone sur sa poitrine : Je dois aller chez lui, Lindsey.

Lindsey : Ne dit pas ça. Ne dit pas ça.

Angel ne peut pas seulment entendre toute la conversation au téléphone, il peut aussi entendre le coeur de Darle battre.

Darla : Il est le seul. Il peut m'aider.

Lindsey : Non. Je peux aussi t'aider.

Darla secoue sa tête et le garde de sécurité s'approche un peu.

Darla : Non. Non tu ne peux pas. Tu ne l'as pas en toi. Désolé.

Garde : Pourquoi est-ce qu'on ne va pas tous faire un tour au bureau de Mr. Manners.

Lindsey au garde : Je peux m'occuper de ça, d'accord ? Part !

Garde : Elle ne quittera pas l'immeuble.

Lindsey : J'ai dit part !

Darla frappe Lindsey avec le téléphone et essaye de dépasser le garde.

Angel au téléphone : Darla.

Il peut entendre une lutte, suivi par un coup de fusil.

Angel : Darla !

Lindsey est assis dans son bureau regardant une vidéo de la caméra de surveillance montrant la lutte dans son bureau et le garde se tirant lui-même dessus quand Darla lui rentre dedans.

Sur la vidéo : Garde : Elle ne quittera pas l'immeuble. Lindsey : J'ai dit part !

Holland se tient là regardant Lindsey.

Le Lindsey sur la vidéo prend Darla : Viens. Allons-y. Tu vas venir avec moi.

Holland arrête la vidéo.

Holland : Tu ne lui as pas seulement permi de s'échapper, tu lui as facilité.

Lindsey : Les choses étaient confuses.

Holland : Les choses sont souvent confuses pour toi, n'est pas, Lindsey ? Spécialement, ça veut dire, quand c'est avec cette femme. Tu t'es permi toi-même d'être dominer par tes émotions.

Lindsey après un moment : Et pour le garde ?

Holland : Le famille a été avertie, la police a un suspect en détention préventive. C'est réglé. (Holland se tourne pour partir) Tu es hors de ce projet, Lindsey.

Lindsey : Je peux pas la trouver !

Holland : Tu n'as pas à la trouver. On l'a attrapée à deux blocs d'ici.

Lindsey : Elle va bien ?

Holland : On ne vas pas en discuter davantage.

Lindsey se lève : Si vous pensiez à passer ce projet...

Holland : La situation est allée trop loin. Je termine le projet.

Lindsey : Terminer ?

Holland : Rentre chez toi, Lindsey. Repose-toi un peu. On commence reposé demain.

Angel met sa veste dans le hall de l'hôtel.

Gunn : Tu veux que je vienne avec toi ?

Angel : Non. C'est quelque chose que je dois faire moi-même. (Cordy lui donne ses clés de voiture) Merci.

Wesley : Angel...

Angel : Je sais, Wesley, ça pourrait être un piège. Je l'ai reçue.

Wesley : Je n'en suis pas convaincu.

Angel : Tu vois, elle m'a demandé de l'aide. Je ne peux pas tourner le dos.

Wesley : Non, tu ne devrais pas. Pas pour un moment. Tu sais mieux que personne ce qu'elle était.

Angel : Ce qu'on étaient. Et je sais aussi ce qu'elle traverse. Et contrairement à moi, peut-être qu'elle n'aura pas à traverser ça toute seule.

Cordy : Tu n'es pas seul.

Wesley : Tu peux dire vrai. Elle peut expériment tout ça exactement comme toi. Mais Angel, tu as toi-même été pendant 100 ans sans chercher la rédemption.

Angel : C'est vrai. Je vais la chercher.

1900, Chine, nuit. Immeuble en feu, chaos complet dans les rues.

Darla est dans une maison, portant un tissu enroulé en paquet. Un Angel immonde attrape le coté de son visage par derrière.

Angel : Tu es tellement chaude. Tu es nourrie.

Darla : Tu m'as trouvée.

Angel : Tu ne peux jamais résister à une guerre de religion, et tu parlais tout le temps de la Chine. J'ai juste suivi les corps. Tu n'as jamais été si négligente.

Darla : Peut-être que je voulais être trouvée.

Angel : Spike et Dru ?

Darla : Ils sont là. Probablement dehors dans les émeutes (elle perd quelque chose de son paquet) peut-être créant un nouveau.

Angel part d'elle et elle se tourne, le pousse contre le mur, tenant un poignard contre sa gorge.

Darla : Je devrais te tuer tout de suite.

Angel : Va de l'avant.

Darla : C'est pour ça que est venu de si loin ? Comme un lâche pour finir sa propre existence, tu veux que je le fasse pour toi ? Libérer cette âme immonde ?

Angel : Si tu veux.

Darla : Je peux encore la sentir, tu sais. Et ce n'est pas tout. Tu pus la vermine ! C'est dans ça que tu as été vivre ?

Angel attrape sa main : Allez, hein ? Ca pourrait n'être rien pour toi. Va de l'avant, Darla. Sois sûre que tu coupe bien dans l'os. Met la lame dans le mur. Hmm ?

Darla le fixe un moment puis s'écarte de lui.

Darla de dos : Qu'est-ce que tu veux ?

Angel : Une seconde chance.

Darla : Quoi ?

Angel : Je veux que les choses soient comme elles étaient. Toi et moi, ensemble, Darla. J'ai oublié la vue.

Darla secoue la tête, encore de dos : C'est impossible.

Angel : Ce n'est pas impossible.

Darla : Tu as encore une âme.

Angel : Je suis encore un vampire.

Darla se tourne : Non. Regarde-toi. Je ne sais pas ce que tu es.

Angel : Tu sais que je suis. Tu m'as crée. Darla. Je suis Angelus.

Darla : Plus maintenant.

Angel se rapproche doucement : Je peux encore l'être. Donne-moi juste une chance de te le prouver.

Darla : Tu me fais presque te croire.

Angel : Crois le. On peut faire revenir la tornade.

Darla le regarde : On peut faire ça.

Angel avec un léger sourire : Oui, on peut.

Darla : On peut faire quelque chose.

Angel se rapproche : Quelque chose qu'on aime.

Il s'embrassent.

Lindsey marche vers sa voiture dans un parking, composant un numéro sur son portable. Il se tient à côté de sa voiture, écoutant la sonnerie de téléphone, quand Angel enroule un cable autour de son cou.

Angel : Où est-elle ?

Lindsey tient son portable : J'étais...

Angel serre le noeud, le poussant tellement que les pieds de Lindsey touchent à peine le sol.

Angel : Non, tu as juste assez de souffle pour me dire où elle est. Mon conseil ? Ne le gaspille pas.

On entends la voix de Cordy au téléphone : Angel Investigations, nos aidons les faibles. (Angel regarde le téléphone) Comment pouvons-nous vous aider ? (Angel laisse Lindsey tomber sur se pieds) Allo ? Allo ?

Lindsey ferme le portable : J'était en train d'essayer de t'appeler. Il vont la tuer. Tu doit arrêter ça. Hé, elle a besoin de toi. S'il te plait.

Angel tire encore le noeud : Tu es un menteur.

Lindsey : C'est vrai !

Angel le laisse : Où ?

Lindsey : Dans une banque abandonnée à Figaro et Ninth. Le propriété de Wolfram et Hart. Je suis vraiment sûr que c'est là qu'ils l'ont mise.

Angel serre encore le noeud : Tu penses que tu es vraiment sûr.

Lindsey : Je ne suis pas vraiment dans cette boucle ! (Angel le lâche) D'accord, c'est là qu'ils ont fait cette sorte de truc. Ca va être clandestinement là ou étaient les caveaux.

Angel le serre encore, forçant Lindsey à être sur la pointe des pieds.

Angel : Si c'est une ruse, sais juste que je vais revenir pour toi. (Angel lâche le cable et Lindsey tombe sur le coffre de sa voiture) Enfer, de toute façon je vais juste revenir pour toi.

Angel marche dans les émeutes en Chine.

Angel : Darla ? Darla ! Darla. Darla ?!

Il entre dans une allée pour voir une famille de missionnaire blottie contre un des murs, tenant un panier avec un bébé pleurant entre eux.

Un chinois balançant une épée attaque Angel par derrière et il le gifle de côté, la tête la première dans un mur, puis se retourne pour regarder la famille. Il s'écarte doucement d'eux.

Il entend Darla l'appeler et part rapidement de l'allée.

Darla : Angelus ? (elle rentre dans son torse, lui sourit) La tornade, Angelus.

Ils s'embrassent, puis Darla essaye de regarder derrière lui dans l'allée.

Darla : Hmm, qu'est-ce qu'il y a là ?

Angel ne l'a laisse pas partir : Rien. Des corps. Allons trouver quelque chose de chaud.

Darla : Oui. Quelques missionnaires. Nous allons assécher la piété de leurs corps.

Ils marchent dans la rue et rencontrent Dru et un Spike brusque et saignant.

Darla : Alors, où avez vous été tous les deux ?

Dru : Vais-je le dire ?

Spike : Pas besoin d'être modeste.

Dru : Mon petit Spike à tué lui-même une tueuse.

Darla à Angel : Tu as entendu ça ?

Angel à Spike : Félicitations. Je pense que ça te fera devenir l'un des notres.

Spike : Sois pas si triste, eh ? La façon dont tu le dis, une tueuse en appelle une autre. Je m'imagine, il doit y avoir une nouvelle élue toute choisie alors que nous parlons. Je te dis quoi, quand et si ce nouvel oiseau se montre, je vais lui donner son premier craquement !

Dru marche derrière Angel dans la direction de l'allée.

Dru : Hmm, je sens la peur.

Angel : Toute cet endroit en pue.

Spike met son bras autour de Dru par derrière.

Dru : C'est toxique.

Angel : Partons d'ici. Cette rebellion commence à m'ennuyer.

Darla regarde comme Angel marche derrière Dru, ricanant dans les bras de Spike, puis les suit.

Joliment, avec un mouvement lent tous les quatre marchent dans la rue avec les immeubles enflammés et les émeutes autour d'eux. Spike monte sur une botte dans le chemin et saute haut dans les airs.

Angel marche dans la rue, face grimaçante guidant le chemin, avec Darla juste derrière lui. Spike porte Dru dans ses bras, l'embrassant. Darla regarde Angel.

Darla avec la voix en écho : Es-tu avec moi Angel ? (fondu en blanc) Pourquoi n'es-tu pas avec moi ?

Darla est poussé par le dos du fourgon de trois gars habillés en blanc.

Gars : Désolé, madame. C'est nous.

Angel marche dans la maison de Darla en Chine.

Darla : Où as-tu été ?

Angel : Darla.

Darla : Réponds-moi !

Angel : Juste dehors. Pourquoi ?

Darla : Manger ?

Angel : Ouais.

Darla : La vermine ?

Angel après un moment : Non.

Darla : Ne me ment pas.

Angel : Tu vois, j'ai tué des hommes. Tu l'as vu !

Darla, portant un kimono, se lève de son siège contre le mur et va vers lui.

Darla : Des violeurs et des assasins, des voleurs et des crapules. Tu pensais que je n'avais pas remarqué ? Seulement des méchants, c'est tout ce que tu chasse maintenant. (Angel baisse les yeux) Tu me l'as juré. Tu as dit, si je te reviens tu dois le prouver toi-même.

Angel : Et je vais le faire.

Darla : Bon. (enlève la couverture d'un panier entre eux, révélant le bébé des missionaires) Voici ta chance.

Angel regarde le bébé, remuant agité.

Darla regardant le bébé : J'y suis retourné avant l'aurore. Ils étaient encore blottis là-bas. Priant leut dieu pour le salut. (regarde Angel, qui fixe le bébé) Ils ne savent pas que leur seul sauveur était au quais, dînant de rats. Je ne vais pas être dupe, Angelus. (il la regarde) Pas avec toi. Avec personne.

Angel baisse les yeux : Je ne veux pas dire...

Darla : Pendant que Spike, Spike ! était dehors tuant une tueuse, tu sauvais des missionnaires ! Pour moi !

Angel : Je suis désolé...

Darla : Non. Pas un mot de plus. (elle fait un pas en arrière et Angel regarde le bébé) Agit !

Darla est couché par terre devant les trois gars, une arme pointée sur elle, quand Angel se transforme et casse le pare-brise. Un d'eux attrapa Darla alors qu'Angel arrache l'arme des mains du premier gars. Darla est jeté contre un mur, pendant qu'Angel fait du travail rapide avec les trois hommes, jetant le dernier à l'arrière du fourgon.

Angel va là où Darla est affalée contre le mur et s'accroupit devant elle.

Angel : Darla ?

Lindsey marche devant le bureau du réceptionniste de Wolfram et Hart, regardent derrière et voit Holland et un autre hommes se serrant les mains.

Flash back plus tôt.

Garde : Mr. Mc Donald, tout va bien ici ?

Flash back sur le gars serrant la main de Holland. C'est le même gars.

Lindsey se souvient de Holland disant : La famille a été avertie. Pendant que l'on entend un tir et le garde tomber sur le sol dans le bureau de Lindsey sur la vidéo.

Holland, dans le hall voit Lindsey le regardant.

Lindsey entre dans son bureau, laisse la porte ouverte et Holland rentre et ferme la porte.

Lindsey : Est-ce qu'on devrait avertir sa famille ?

Holland : Lindsey...

Lindsey : Vous avez joué avec moi. Vous avez joué avec elle.

Holland : On devait te faire croire ça, Lindsey.

Lindsey : Pourquoi ?

Holland : Parce qu'elle l'a cru, parce qu'Angel l'a cru. La Crise avait besoin d'être vraie.

Lindsey : Vous pensez maintenant que vous l'avez conduite chez lui et qu'elle va lui donner ce moment de bonheur parfait ? Il va venir de notre côté ? Ca n'arrivera pas. Il est noble. Il ne va jamais profiter d'elle, pas dans cette ville, pas maintenant.

Holland : Lindsey, vous ne comprenez pas du tout vos amis. Nous savons qu'il n'y a pas d'espoir d'intimité physique ici. Alors tu n'as pas besoin de te torturer toi-même.

Lindsey se rapproche : Alors qu'est-ce que vous espérez qu'elle fera ?

Holland : Ce qu'il va faire. Ce qu'il doit faire. Sauver son âme.

Darla est couché avec les yeux fermés sur un sofa dans le hall de l'hôtel avec Angel accroupit devant elle et Wesley, Cordy et Gunn se tenant autour.

Angel : Elle va aller mieux.

Cordy : Peut-être qu'on devrait appeler un docteur.

Darla ouvre les yeux : Non. Pas de docteurs. (regarde Angel et sourie) Angelus.

Cordy : Hmm. Désolé, je sais que vous êtes une fille secouée et tout, mais ici c'est Angel, juste Angel, d'accord ?

Angel : Les gars, vous vous rappelez ? Donnez nous juste une minute ?

Wesley part : Ouais, bien sûr.

Gunn part : Pas de problème.

Cordy les suit avec un dernier regard à Angel et Darla.

Darla : Je pensais que j'étais morte.

Angel : Tu n'es pas morte.

Darla : Je ne suis pas sûre de comment je ressent ça.

Angel lui fait un grand sourire : Je sais ce que tu veux dire.

Darla met sa main sur lui : Je suis si chanceuse...d'avoir quelqu'un qui comprends...qui sait. C'est quelque chose que tu n'as jamais eu, n'est pas ?

Angel : C'était pas ta faute.

Darla se met en position assise : Non. Non, mais c'est beaucoup trop.

Angel : Ca va aller.

Darla lui sourit : Je savais que tu m'aiderais. Maintenant si je pouvais seulement le faire pour toi. Marrant. C'est pour ça qu'ils m'ont ramenés, pour t'avoir. Maintenant j'ai découvert que j'avais besoin de toi, comme j'avais toujouts besoin de toi. Tu vas arrêter la douleur, n'est pas ?

Angel : Ca va prendre du temps.

Darla : Prendre un moment. (met ses cheveux en arrière et expose sa gorge) Fait-le, maintenant.

Angel regarde sa gorge, se lève et s'éloigne d'elle.

Angel : Quoi ?

Darla les suit et l'attrape par la chemise.

Darla : Fais moi devenir ce que j'étais avant !

Angel : Darla...

Darla : Tu as dit que tu allais m'aider !

Angel s'éloigne mais elle ne veux pas le laisser partir.

Angel : Je vais le faire. Je le veux...mais...pas comme ça.

Darle : Fais-moi revenir. Mon dieu ! Je ne pourrais pas supporter ce martelement dans ma poitrine un instant de plus !

Angel calmement : C'est un cadeau. Trop sentir que le coeur bat...savoir, vraiment et une fois pour toute, que tu es en vie. Tu es à nouveau humaine, Darla. Tu sais ce que ça veut dire ?

Darla : Bien sûr que si. Ca veut dire douleur et souffrance, et maladie et mort. Tu vois, je t'ai libéré de ce monde un fois, je t'ai donné la vie éternelle. Maintenant il est temps pour toi de me retourner cette faveur.

Angel fait un pas en arrière, la regarde : Faveur, c'est ce que tu penses ? Tu penses que tu m'as fais une faveur ? Tu m'as damné.

Darla après un moment : Bien. Bien alors, si c'est juste une punition, prend ta revanche, fais-moi payer ! (Angel la regarde) S'il te plait.

Angel déglutit et secoue sa tête faiblement : Je ne peux pas.

Darla ferme les yeux.

Angel regarde le bébé dans le panier.

Darla : Qu'est-ce que tu penses que tu ne peux pas ? Tu ne veux pas !

Angel : Je ne semble pas être capable de hum, je suis désolé.

Darla secoue sa tête faiblement : Tu me dégoûtes.

Angel attrape le bébé et s'éloigne de Darla, se crashant à travers quelques portes en verre.

Darla dans le présent s'éloigne d'Angel.

Angel : Darla, attends !

Darla s'arrête devant les portes et se retourne pour lui faire face.

Darla : Non ! Ne viens plus me chercher.

Elle se tourne et se rue dehors pendant qu'il ne fait aucun mouvement pour l'arrêter.

Fondu en noir.

FIN



Par Jackie pour Buffy Fan
Pour lui écrire, laissez un message à:  redac@buffyfan.org
Copyright 2000/2002
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Darla s'arrête devant les portes et se retourne pour lui faire face.

Darla : Non ! Ne viens plus me chercher.

Elle se tourne et se rue dehors pendant qu'il ne fait aucun mouvement pour l'arrêter.

Fondu en noir.

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