Transcript
français par :
Jackie (redac@buffyfan.org)
Thanks
to : Joan the English Chick (pisces@englishchick.com)
~~~~~~~~~~ Prologue ~~~~~~~~~~
Précedemment dans Angel :
Angel à Darla : Tu ne seras jamais plus seule.
Les portes s'ouvrent, Dru rentre.
Lindsey : Comment est-ce que tu croyais que ça allais finir ?
Dru mord Darla.
Lilah : Pour l'amour de dieu, aide-nous.
Holland : Des gens vont mourir.
Angel, fermant la porte : Je ne peux juste pas sembler m'en soucier.
Darla mord Holland.
Wesley : Maintenant nous serons tous les trois entre toi et les vraies ténébres.
Angel : Vous êtes tous virés.
Angel jette sa cigarette et les flammes engloutissent Darla et Dru.
Darla et Dru se tiennent sous le jet d'eau de la bouche d'incendie.
Darla : Qui était-ce ?
Los Angeles, Hotel Hypérion, nuit.
Angel arrive par les portes en verre menant à un balcon et regarde les lumières de la ville.
Cordy descend un carton de papier d'une étagère. Wesley est agenouillé par terre dans leur nouveau bureau regardant un autre tas de papier. L'endroit est en désordre. Il y a des papiers partout.
Wesley : Quand ils sont sortis des affaires ils ont juste laissés ça là ?
Cordy : Ouaip. Aussi le bureau. On va partager.
Wesley : Et quand nous sortirons des affaires nous pouvons juste laisser nos affaires pour le prochain gars ?
Cordy : Hé, hé, énergie négative mec, avec tout notre argent mis en commun on peut rester ici pendant longtemps.
Wesley : Hmm. 20 minutes.
Cordy : Au moins.
Wesley : Angel Investigations sans l'ange. Tu crois qu'on peut le faire ?
Cordy : Et bien, on est meilleur. Je veux dire, qu'est-ce qu'on peut faire d'autre ? Et j'ai encore les visions. Ca va nous occuper parfois.
Wesley : Nous aurons besoin d'un peu plus que ça. Un clientèle extérieure et stable.
Cordy : Ca va arriver. C'est notre futur, tu sais ? Et, personnelement, je crois que c'est vraiment brillant. Ow ! (cogne sa tête sur un pot de fleur acroché au plafond) Plante crevée ! Ca ne symbolise pas notre futur. Vraiment !
Gunn arrive : Ok, tout le monde garé en dix blocs a un voleur dans leur pare-brise. On a juste irrité près d'une centaine de personnes. (pli son nez) Est-ce que ça sent la peur là-dedans pour vous ?
Cordy : Ca va s'aérer. Et bon travail avec les voleurs. Maintenant on peut juste s'asseoir et laisser les appels marcher.
Gunn essayant le téléphone : Ils préfèrent marcher à travers une corne de taureau. On a pas de tonalité.
Cordy : Quoi ?
Wesley : Peut-être que c'est les fils.
Wesley rampe sous le bureau pendant que Cordy inspecte le téléphone.
Cordy : Ils ont dit qu'il serait allumé maitenant !
Gunn : Un bureau ? On va partager ?
Wesley d'en dessous du bureau : Aha ! Les choses se dévoilent. Je crois que j'ai trouvé le bon fil. Ah !
Toutes les lumières s'éteignent.
Gunn : Je suis si content de vous avoir rencontré les gars. C'est amusant. Vraiment.
Angel s'est couché dans son lit et se réveille au son de quelqu'un chantant le Star-spangled-banner. Il se renfrogne, puis se lève.
Descend les escaliers dans le hall de l'Hypérion, s'arrête sur le palier, croisant les bras.
Le Host le voit et arrête sa chanson.
Host : Hé, gros bougre. Tu vas chanter tout le temps ici, hein ? Allez, avec ces acoustiques ? (chante) 'et l'éclat des fusées rouges !' Tu entends cette résonnance ?
Angel : Ce que j'entends, et peut-être, avec de la chance, je rêve encore, c'est le Star-spangled-banner chanté par un démon vert criard.
Host : Nous sommes tous frères sous la peau, mi amigo. Quoique le teint de pelouse et les cornes me gardent de quelques clés des performances du public. Juste une fois j'aimerais crier dans un match des Lakers avec notre hymne national. Est-ce que c'est beaucoup à demander ?
Angel : Oui ! C'est pour ça que tu es ici ?
Host : Oui. Qu'est-ce qu'on est aujourd'hui ? Jeudi ? Demain soir...le monde va s'arrêter. Je pensais que tu aurais voulu le savoir.
Intro.
Angel : Alors le monde va s'arrêter.
Host : Ca ta redressé, n'est pas ? Ne te sens pas dans le besoin d'offrir à ton invité un cappuccino mousseux ou un roulé à la cannelle chaud.
Angel assis dans une chaise les bras croisés : Non.
Host : Mec, tu deviens de plus en plus sombre. Et le truc bizarre c'est, ton aura ? Beige.
Angel : Je n'ai pas de café.
Host fait glisser un doigt sur un bureau : Ou un chiffon à poussière, foutu. Je ne sais pas pourquoi tu as virés ces trois courageux gamins. Ils étaient de bonne compagnie. Sans mentionner, Cordélia ? Uh ! Hot-o-rama ! Dans le 'oh mon grésillement file' sens du monde, si tu vois ce que je veux dire. Et le garçon Britannique ? Il va jouer un immense...bien.
Angel : Est-ce que tu va aller à la fin du monde ou est-ce que tu vas juste causer jusqu'à ce qu'il le fasse ?
Host : D'accord, d'accord. Quoique mon faible avantage qui va tomber dans tes oreilles sourdes est quelque chose qu'on devra regarder dans le futur. Le monde qui s'arrête ? Heu, c'est une sorte d'histoire marrante. J'étais au club hier soir. Foule assez typique du mercredi. Un démon Torto et son parasite étaient en train de tuer les Everly Brothers...
On voit la scène que le Host décrit. Il y a un démon cornu chantant un duo sur 'Bye, Bye Love' avec la tête sortant de son ventre pour un foule de démon assortis. Il y a un jeune humain mâle assis à une table, avec des cheveux bruns frisés et des lunettes. Le Host accepte un verre du barman.
Host : ...ce qui n'est rien comparé à ce que Elian a fait à ma brise de mer !
On voit le Host prendre une gorgée et grimacer.
Host au barman : C'est un concept difficile ? Est-ce qu'on étaient absent le jour où ils ont montré la brise de mer à l'école des barman ? Vodka, canneberge, jus de pamplemousse frais. Ce qui requiert un vrai pamplemousse vivant. Tu dois le couper et le presser, pas le verser d'une bouteille.
Host : ...Oh. L'homme est tellement crétin. Tu n'as pas idée de combien je souffre depuis que Ramon est parti.
Angel : Oh, j'ai une idée. Est-ce que tu peux déjà arriver au sujet ?
Host : Oui, je peux, si tu me laissait faire un mot de côté, Mr. Arrive-au-sujet-je-palpite. Alors ce gars que je n'ai jamais vu avant...va chanter. Normalement j'aime ça. Tu sais, ils chantent, je lis leurs avenirs, leurs auras, je vois dans leurs âmes....
Angel : Alors ce gars...
Host : Le chose qui était remarquable avec lui c'était qu'il n'y avait absolument rien de remarquable avec lui...
L'humain se lève et va au micro : C'est une chanson que j'aime, parce que...
Host : ...juste ta moyenne Joe sur le fait de charcuter un air et de m'ennuyer avec des visions fades de son futur fade...
Gene chante 'All By Myself' sur l'estrade, sans suspens, mais pas mal non plus.
Host : ...Mais quand il commencé à chanter....mec, il m'a mit KO !
Angel : Il était bon ?
Host : Non, visage d'ange, il m'a mis KO.
On le Host couché par terre devant le bar.
Host : ...Quand je suis revenu il était parti.
Angel : Il n'a pas attendu pour voir ce que tu avait vu en lui ?
Host : Non-ah.
Angel : Alors quoi KO ?
Host : J'ai regardé dans ce gars et j'ai vu...qu'il n'avait plus de futur après demain soir 10 heures...et les autres non plus.
Angel se lève de sa chaise, les bras encore croisés : Disons que je dois te croire.
Host : Oh, mon amour, disons un peu plus que ça. Nous allons trouver ce gars. C'est de la grande syncope que l'on parle là. Ce gars va faire quelque chose entre maitenant et demain soir. Je ne sais pas quoi, mais ça va supprimer les projets de vacances de tout le monde. On doit le trouver et l'arrêter.
Angel : Pourquoi tu es venus chez moi ?
Host : Est-ce que c'est pas clair ? Tu es un champion. Une force unique du bien dans un monde à problèmes. Aussi, tout les autres champions que je connaissent sont actuellement à l'étranger ou...mort. Pourquoi ? Tu ne veux pas travailler pour moi ? Est-ce que c'est parce que je t'ai envoyé à beaucoup de mission qui se sont avérées être un peu....
Angel : Inutiles et mortelles ?
Host : Par exemple. Mais je t'ai envoyé à ces missions de bonne foi. Et nous interrompont cette émission pour vous informer : le monde s'arrête ? Une sorte de situation urgente ici. Tu veux que je te fasse un tableau.
Angel : Alors pourquoi est-ce que ce gars à quitté le club avant que tu ais eu la chance de lui dire ce que tu as vu ?
Host : Les gens sont effrayés. Ils rentrent pour une lecture, puis ils ne veulent pas savoir. Spécialement quand les syncopes psychiques et, uh !...un tout petit peu de vomi...Ne...ne restons pas.
Angel : Peut-être que c'est juste un gars qui aime chanter en karaoké. Peut-être qu'il ne sait rien sur toi.
Host : Ca a plus de sens. Alors ce qu'on devrait faire est de commencer avec les autres bars karaoké des environs, voir si on peut avoir une piste sur lui. Ca c'est si tu n'es pas trop occupé à tuer des avocats et mettre des filles au feu.
Extérieur d'une université, jour.
Gene se tient devant un tableau comtemplant les équations écrites dessus. Deux étudiants le regardent d'une vitre au-dessus.
Mike : Quelqu'un a oublié de sonner réveil-man.
Val : Il pense. Quelque chose que tu devrais essayer.
Mike : Vraiment marrant. Il est vraiment pas plus malin que nous.
Val : Je crois que c'est pour ça que son travail sur le paradoxe du temps à gagné un prix Nobel du Professeur Orfalla et que ton travail sur tapis pourri était promptement oublié par tout le monde ?
Mike : Tu sais ce que tu es ?
Val : Oui. Je le sais, Mike. Et si tu le dit je vais mettre ta tête dans de l'azote.
Val se lève et frappe dans la porte en verre menant au labo de Gene. Gene se tourne et monte les escaliers pour aller lui ouvrir.
Val : Hé. Quel est le bon mot ?
Gene : Enchevêtrement.
Val le suit dans les escaliers : Comment ça encore ?
Gene : Dans le monde de Nexton l'espace et le temps sont deux entités séparées, dans celui d'Einstein elles sont enlacées.
Val : Einstein est enlacé. Tu peux dire ces dix heures vraiment vite ?
Gene regardant ses équations : Alors comment ça se fait que l'altération d'une particule d'une paire enchevêtrée peut affecter l'autre particule...sans aucune communication entre les deux.
Val : Parce que l'espace et le temps ne font qu'un.
Gene : Alors comment tu sépares une paire enlacée ? Non. Tu ne peux pas. En fait tu ne devrais probablement même pas essayer.
Val : Je l'ai jamais fait.
Gene : Ce que tu devrais faire c'est te tailler...un(écrit une autre équation sur le tableau) instant...d'affilée.
Val : Tu vois, j'aime la théorie de geler le temps autant que le prochain Star Trek ringard...
Gene : Ce n'est pas geler le temps, quoique c'est à ça que ça ressemblerai pour un observateur extérieur. Je parle de supprimer un infinitesimal espace-temps global de tout ce qui l'entoure.
Val : Un evenement minuscule à l'horizon.
Gene : Un genre. Et puis agrandir cet évenement dans quelque chose de mesurable et contrôlable. Ton chien et son os favori préservé pour toujours...dans sa propre petite bulle impénétrable.
Val : Et qui va nettoyer cette bulle ?
Gene : Si je pouvais juste résoudre les maths, je serais capable de le prouver (va quelques autres équipements) en générant un point focal avec le rayon accélérateur ici et passer du mercure liquide...à travers ce point.
Val : Suspendre le mercure. L'enlever de notre continuum espace-temps...et geler le moment.
Gene : A jamais.
Une tête rouge entre dans le labo.
Val : Denise. Dieu merci tu es là. Ton petit copain est juste venu chez moi avec la vieille corrélation Einstein-Podolsky-Rosen.
Denise sourit : C'est ce qui me...sort de la physique et dans le théâtre.
Gene : Salut, mignonne.
Denise : Salut.
Gene : Comment tu vas ?
Denise : Bien. Et toi ?
Gene : Bien. Alors, quoi de neuf ? (Denise hausse les épaules) Je crois qu'on est prêt pour demain soir.
Denise : Uh-huh, oui.
Gene : Grande nuit.
Denise : Ouais. Un an d'anniversaire et tout.
Tout les trois se tiennent autour pour un moment.
Denise : Et bien, on..on devrait, ah...
Gene : Oh, vous allez l'enveler ?
Denise : Ouais.
Gene : Ok. Et bien, je pense que je...je vous voit demain soir alors.
Se penche pour lui donner un bisou rapide.
Denise : Ne travailles pas toute la nuit.
Val : Tu sais bien que si.
Le Host et Angel entrent dans un bar miteux. Un des consommateurs est endormi affalé à une table, enroulé autour d'une bouteille. Un garçon chante 'Greensleeves'.
Angel : Joli.
Host : Hmm, c'est pas aussi mal. Rien que des bouteilles de lyrol ne peuvent guérir.
Ils marchent vers le bar.
Host regardant le chanteur : Choix interessant. Trop mal pour l'art de la cuisine de demain. Tu sais, si on empêche le monde de s'arrêter demain la cicatrice ne va même pas être remarquable. (Angel le regarde) Désolé. Hasard occationnel.
Angel : Il est là ?
Host : Non.
Angel s'assoie sur un tabouret de bar et frotte son front.
Angel : Dix-sept bars karaoké. Tu sais, j'ai besoin de poser et de frotter l'intérieur de ma tête.
Host : Et bien, peut-être qu'on s'est trompés. Flairant une piste froide.
Barman : On ne vous reçoit pas aimablement.
Host : Pardon ?
Barman : Les démons. Nous avons un couple maintenant et puis mais ils sont d'habitude des vampires passant pour des humains.
Host : Et bien, je n'ai jamais passé mon chemin, monsieur, spécialement quand ça vient avec une petite ombrelle dans le verre.
Angel : Vous travaillez ici depuis longtemps ?
Barman : Onze ans maintenant. C'est un bar régulier. Mais ensuite ils ont rentrés une de ces machines de karaoké. Ils pensaient que ça ferait rentrer les consommateurs. Ca en a plus faire fuir. On a un peu d'étudiants qui se préparent pour ça.
Angel : Etudiants ?
Barman : Beaucoup d'étudiants. Ils sont des étudiants diplomés.
Host : Ajustez la descrip.
Angel : Nous cherchons un gars, dans la vingtaine, de carrure moyenne, peut-être un de vos étudiants, chante des chansons tristes comme 'All By Myself'.
Barman : Ca ressemble au gamin.
Angel : Nom ?
Barman : Je ne sais pas son nom mais il vient toutes les semaines. Il court avec le livre de chanson de coeur entierement brisé. Au début j'ai cru que quelqu'un était mort. Mais après quelques semaines j'ai pensé que c'était juste un de ces maniaco-depressifs.
Host : Hé, Goliath, vous avez une bonne image de cet étudiant diplomé en tête ? (Le barman hausse les épaules) Et bien, combien pour chanter un peu de bar de 'For He's a Jolly Good Fellow', hmm ?
Barman regarde Angel.
Angel : Oh, vous savez, c'est un démon. Tu feriez mieux de faire ce qu'il dit ou il pourrait...faire taire vos oreilles.
Barman : For he's a jolly good fellow, for he's a jolly good fellow...
Host : Ouais, c'est lui. C'est notre gamin. Intonation fabuleuse en passant, vibrato vraiment joli. Et vous restez branché sur ce nouveau, F. Scott. L'art est une récompense. (A Angel) Pris pour donner l'espoir aux gens. (Au barman) Maintenant cet étudiant gradé, quelle université ça pourrait être ?
Coupure sur l'université la nuit.
On passe à côté d'un bureau et d'une photo de Gene et Denise ensemble pour trouver Gene travaillant encore sur ses équations.
Gene : Neuf sur le onzième où Pi est invariable. X, Y et Z sont nuls et le temps est orthogonal sur les trois autres axes. On donne A et A/0...égal vitesse et énergie de masse...(va rentrer quelques trucs dans ordi portable) et la conservation de p-x, p-y....et p-z...ça ne donne rien.
Il regarde alors que sa machine forme un champ où les cinq rayons croisés émettent. Regarde la goutte de mercure tomber...à travers le champ.
Eteint la machine.
Gene : Il n'y a rien qui marche. (jette un petit truc sur le tableau) Ca ne marchera jamais.
Monte les escaliers et sort du labo.
Un démon à la peau grise, aux oreilles pointus et aux yeux de raton laveur vient de derrière un baril et parle dans un language étranger.
Démon (sous-titres) : Il est le seul. Il ne le sait pas encore, mais il est le seul. (marche vers le tableau) Du néant la pestilence humaine est venue, dans le néant elle ira.
Le démon entraine le cristal en haut de son personnel pour briller en rouge. L'éclat rouge brille sur une partie de l'équation de Gene et la change.
Pause.
Cordy dispose ses bras pleins de bougies dans leur bureau sombre.
Cordy : Là. Vous voyez ? On va travailler sans le rude éclat des alogènes, ou toute cette information distrayante informatique.
Gunn et Wesley sont assis l'un à côté de l'autre derrière le bureau, ne bougeant pas.
Gunn : Cordélia...arrête d'essayer.
Cordy : Vraiment ?
Wesley : Rejoins-nous.
Cordy s'assoie à côté de Gunn avec un soupir.
Wesley : Parfois tu as besoin de te vautrer. Juste laisser la dépression se poser en...silence.
Les portes s'ouvrent et Virginia rentre portant un panier de cadeau et une bouteille de champagne.
Virginia : Hé ! Wow. Cet endroit est génial. J'ai ramené du champagne. Vous devez être si excités (voit leur regard) dans chemin aride et suicidaire.
Wesley se lève et la salue avec un bisou rapide.
Wesley : Désolé, chérie. Tu nous as juste pris dans un moment de...et bien...
Cordy prenant la bouteille de champagne de Virginia : Réalité.
Virginia : Oh, ça. J'ai évité ça.
Gunn : Comment est-ce que tu as évité la réalité ?
Virginia : L'argent. Ca guérit tout mais ça ennui (pose le panier) et les régimes ennuient, alors voilà. Ca veut dire chips et paquets de fromage.
Gunn : Merci.
Wesley : On va les goûter blottis autour de nos pathétiques bougies.
Cordy : On va faire des pathétiques nachos.
Cordy fait sauter le bouchon et boit une gorgée de la bouteille.
Virginia : Vous êtes vraiment en bas.
Gunn : Ouais. Et n'essaye pas de nous dire qu'il n'y a pas de chemin pour remonter, par ce que la vérité est...qu'il y a toujours plus bas.
Virginia : Oh ! Et c'était vraiment bien dit en passant. Mais je vous ais trouvé une affaire. Un client. Un riche.
Wesley : Vraiment ?
Cordy : Et ce n'est pas la première chose que tu devrais dire quand tu rentres dans la pièce ?
Virginia : Et bien, j'ai été distraite pas votre vague de désolation. Mais c'est vrai. Mon amie Patricia, sa famille, ils ont un grand gars qui les harcèlent, rodant autour de la maison à en devenir fou, et ils seraient vraiment reconnaissant si quelqu'un les en débarassait.
Gunn : Ca semble facile.
Cordy : Euh, attends. Par 'grand gars' tu veux dire démon ?
Virginia : Ouais. Et par 'maison' je veux dire grande propriété, et par 'reconnaissant' je veux dire qu'ils vont vous donner des grosses bennes de monnaie. Une famille vraiment riche. Ils ont inventés, hum, je ne sais pas, comme...les chaises, ou quelque chose.
Cordy : On va le faire ! On va faire quelque chose.
Virginia : Oh, c'est si triste. De toute façon, c'est un démon Wainakay, et il a déjà un fils aîné.
Cordy : Alors ça va être un décès ? (Virginia hoche la tête) Tu laisses juste ces genres de faits sur la bave, n'est pas ?
Virginia : Je vais appeler Patty et lui dire que vous accepter le job.
Wesley : Oh, mignonne, pas de téléphone.
Cordy : Comme pas de lumières.
Gunn : Et il y a une odeur de peur.
Ils commencent tous les trois à quitter le bureau.
Virginia : Je n'allais rien dire.
L'université, jour.
Gene entre dans son labo, voit les équations sur le tableau.
Gene : Neuf vers le dix-sept. Quand C carré et E carré sont obtenus en les différenciant...cinq vitesse ! Conclusion cinq vitesse ?
Il enlève vite sa veste et entre les changement dans son ordi portable. Se tourne pour regarder alors que le mercure goute dans le champ et...reste suspendu dedans.
Gene : Je l'ai fait. Oh, c'est un moment yee-ha. Je..je pense définitivement que c'est un moment yee-ha !
Sort du labo.
Gene : Yee-ha-ha !
Gene court de l'autre côté du campus après la librairie Reynolds.
Angel et le Host entrent dans la librairie par la porte avec un 'accès de sous-sol' marqué dessus.
Angel : Où est-ce que tu as appris à conduire ?
Host : Juste à l'instant dans ta voiture. Pas mauvais pour un débutant, hein ?
Angel : Quoi ? Tu nous as presque fait tuer...cinq heures.
Host : Quelqu'un doit conduire. Tu n'étais pas vraiment qualifié, blotti sous une couverture à l'arrière, caché du soleil. (se tourne pour regarder les étagères alors qu'un étudiant les double) Je colle mieux dans les ombres et pense à quelque chose à dire si on devrait arriver sur une charmante mixité.
Angel : Dis-lui que tu es la nouvelle mascotte de l'école. Attends là.
Le Host sort un livre et l'ouvre pour cacher le plus de son visage derrière alors qu'il regarde Angel marcher vers le bureau d'information.
Une fille arrive, regardant le Host et il monte vite le livre pour se baisser complètement derrière. Monte un peu pour voir la fille derrière le bureau tendant un tas de livre à Angel.
Angel donne la moitié du tas au Host.
Angel : Les livres de l'année des étudiants/publications de la faculté revenant sur cinq ans. Allons voir si on ne peut pas trouver ton petit fou tordu détruisant l'univers.
Host : J'aimerais penser à lui comme notre petit fou. C'est juste moi, joueur en équipe, tu sais ?
Alors que le Host remet le livre sur l'étagère et se tourne pour suivre Angel, on voit un des démons au yeux de raton-laveur se tenir de l'autre côté du tas.
Denise et la fille du labo de physique sont assises dehors sur un banc.
Val : Ca va ?
Denise : Hein ? Ouais. Bien. Je vais bien. Tu sais, je ne suis...pas...parfaite. Oh, mon dieu.
Val : Allez, recrache ça. On est entre amies.
La camèra passe à côté de la rampe derrière le banc où elles sont assises pour montrer Gene venir des escaliers derrière eux.
Gene entend la voix de Denise et s'arrête.
Denise : Ca doit rester entre amies. Tu ne dois répéter ça à personne.
Val : D'accord.
Denise : Je ne...je ne pense pas que ça puisse marcher entre Gene et moi.
Gene gèle derrière elles sur les escaliers.
Val : Oh. Et ce soir c'est vos un an d'anniversaire !
Denise : Tu crois que je ne le sais pas ?
Gene s'affaisse.
Val : Oh, trésor.
Denise : Je veux dire, Gene est un gars merveilleux.
Val : Ouais ?
Denise : Mais il a juste...une sorte...de creux, ou autre chose. Quand je suis avec lui, je me sens...je me sens seule.
Val : Peut-être que c'est parce qu'il l'est. Tu sais je l'aime, mais c'est un naïf energique.
Denise : Je dois rompre avec lui.
Val : Euh. Pas pour être une grosse salope ou autre chose, mais tu ne pourrais pas penser à ça avant de faire le grand anniversaire ?
Denise : Il a prévu tout le truc. Il me fait dîner chez lui.
Val : Qu'est-ce que tu vas faire ? (Denise baisse les yeux) Oh, mon dieu. Tu vas lui donner l'os sympathique, n'est pas ? Ca va être dîner, os sympathique, et adios Gene. J'ai entièrement raison, n'est pas ?
Denise : Et bien, on est ensemble depuis un an. Je ne peux pas juste...le plaquer ! Ca ne serait pas juste. Pas après tout ce qu'on a...
Val : Non, tu as raison. Le post-os-sympathique-plaquage est ta seule issue maintenant.
Denise : C'était vraiment mignon là pour un moment. Vraiment mignon. Mais c'est juste...ce n'est pas même amour qu'avant.
Gene se retourne et remonte les escaliers.
Le Host et Angel regardent dans les livres d'années à une table à la librairie.
Angel : C'est lui ?
Host : Non.
Angel pose son livre et en attrape un autre.
Host : Oh, on l'a. C'est un physicien...et un vraiment bon selon ça.
Angel lui prend le livre : Je vais découvrir où est le labo.
Angel montre la photo du livre au gars derrière le bureau d'information.
Angel : Salut. J'essaye d'avoir un contact avec...Gene Rainy ? C'est un étudiant diplomé en physique.
Gars : Oh, ouais. C'est notre Stephen Hawking. Ah, qu'est-ce que vous lui voulez ?
Angel ferme le livre et serre la main du gars.
Angel : Je suis désolé. Léonard Taubman de la Fondation Taubman. Nous affranchissons des dons d'argent. J'espèrais en reserver pour Gene.
Gene : J'aimerais être un génie. Il a son propre labo dans le département de physique. (attrape une carte de campus) Euh, c'est à un quart de mille d'ici. Vous restez sur cette voie, allez après le hall de Kelton..(voit quelque chose derrière Angel) Qu'est-ce que c'est que ça ?
Angel sans se retourner : Ne vous inquiètez pas. La mascotte de l'école.
Angel se penche sur le bureau alors qu'un des démons au yeux de raton-laveur enfouit une hache a la forme étrange dans son dos puis se tourne là où le Host est assis.
Gene rentre dans son labo et regarde une photo de lui et de Denise, souriant. Se tourne pour regarder les gouttes de mercures suspendues dans l'air à l'intérieur du champ.
Gene : Alors je vais te donner le même amour qu'avant.
Pause.
Le Lubber aux yeux de raton-laveur essaye de liberer la hache de l'arrière du moniteur d'ordi. Le Host se tient et regarde comme ça et Angel combat. Le Host dit quelque chose en démon, puis attrape un livre et le jette. Le démon Lubber se penche sur le côté et le livre frappe Angel, le faisant tomber sur les escaliers.
Host : Désolé.
Angel abat un autre coup avec la hache puis frappe le Lubber sur les grilles de l'escaliers. Le Lubber attrape une chaise, dit quelque chose à Angel en démon, puis jette la chaise sur lui. Angel jette la chaise de côté et regarde le démon s'enfuir.
Angel au Host : Qu'est-ce que tu lui as dit ?
Host : J'ai dit qu'on arrivait en paix. Je ne crois pas qu'il m'ait cru.
Angel : Et qu'est-ce qu'il m'a dit ?
Host : Il a dit 'tu ne pourra pas arrêter le fils en or, le seul que l'on aient attendus'. Les démons Lubber, ils ont une manière avec les mots.
Angel : C'est quoi un démon Lubber ?
Host : Une secte fanatique, attendant un messie quand introduira la fin de toute vie humaine. Beaucoup de tes démons ne croient pas ça dans la compagnie mixte, mais c'est une jolie population de théologie dans le monde du dessous.
Angel : Alors ce scientifique fou a ces démons qui le vénèrent et le protège pendant qu'il souffle la planète...ou quoi ? Qu'est-ce qu'il va faire ?
Host : Allons a son labo pronto et découvrons le. Il est vraiment clair que nous avons affaire à un mastermind criminel.
Gene chante 'All By Myself' pendant qu'il installe son équipement dans la cave de son appartement.
Angel et le Host entrent dans le labo de Gene où Mike examine ce qui a été laissé par Gene.
Angel : Hé, nous cherchons Gene Rainy ?
Mike : Comme moi. Quelqu'un a pris son équipement ?
Angel : Quel équipement ?
Mike : Des accélérateurs de particules, des batteries de propulsions...(voit le Host) Qu'est-ce que c'est que ça ?
Angel : Ne vous inquiètez pas. C'est la nouvelle mascotte de l'école.
Mike : Pour les Buccaneers ?
Host : Pas votre école, imbécile.
Angel : Vous savez sur quoi Gene Rainy travaillait ?
Mike : Ah. Le paradoxe du temps. Accélérer des particules spécifiques en dehors de notre continuum dans leur propre univers retranché.
Angel : Et encore ?
Host : Arrêter le temps.
Mike : Ce qui est impossible en passant. Personne ne peut faire les calculs. Est-ce quelqu'un m'écoute ? Non. Il a eu les dons j'ai eu le tapis pourri.
On voit Gene continuer d'installer son équipement, installer les panneaux miroitants autour de son lit et mettre l'interrupteur sur position nocturne.
Angel (voix-off) : D'accord. Disons qu'il puisse le faire. Disons qu'il puisse arrêter le temps. Comment ça marcherait ?
Mike (voix-off) : Et bien, vous savez, selon ses spéculations vous focalisez les accélérateurs sur un point spécifique, et si vous pouvez générer la vélocité correcte, tout ce qui sera dans ce champ sera supprimé.
Angel (voix-off) : Supprimé.
Mike (voix-off) : De notre réalité.
Gene redresse son dessus de lit et pose une rose dessus.
Host (v.o) : Qu'est-ce qu'il lui arrivera ?
Mike (v.o) : Rien. Dans le sens littéral du terme. Tout ce qui sera dans le champ restera immobile pour toujours dans son propre univers privé.
Host : Dites, quelqu'un, juste pour le fun, remontait ça en surmultipliée.
Mike : Si le champ serait contenu abusivement ça se répandrait. Continuerait à grandir, arrêterait toute (le Host et Angel se regardent) sorte de mouvement, hein ?
Angel : Qui a les clés de cet endroit ?
Mike : Seulement Gene. Même les gars de maintenance ne peuvent rentrer que quand il est là.
Host : Pas d'entrée forcée.
Mike : Pourquoi est-ce que Gene voudrait emmener son propre équipement ?
Angel : La question est où Gene voudrait emmener son propre équipement.
Gene allume des bougies sur la table installé pour un dîner romantique.
Angel et le Host roule dans la rue dans la décapotable d'Angel.
Host : Alors il y a un autre fourbi après ce truc numéro deux ? (Angel le regarde) Oh, relax. Je vais payer pour un réglage. A moins que le monde s'arrête, alors je suis en dehors du crochet.
Angel : Et bien, si ça t'économises de l'argent, alors je crois que c'est une bonne chose.
Host : Oh, tout ton mode de minou acerbe, ça commence à grincer. Tu sais quel est ton problème ? Tu écoutes ?
Angel : Est-ce que j'ai le choix ?
Host : Ton coeur n'y est pas.
Angel : Je n'ai pas de poul alors techniquement je n'ai pas de coeur.
Host : Techniquement, quelqu'un met un pieu en travers de là où tu n'as rien. Alors, Bubba, ton coeur compte.
Angel : Je n'ai aucune idée de ce que tu es en train de babiller.
Host : Oh que si. Est-ce que tu m'as rencontré ? Je ne me tais jamais. Tu repousses tes amis. Tu es venus pour aider les impuissant pour chasser les coupables. La vengeance de sang est une luxure des moindres existences. Tu es un champion, Angel. Je veux dire...tu l'étais, au moins.
Angel : Qu'est-ce que tu veux que je te dise ?
Host : Tout. Ce qui est dans ton coeur, pourquoi tu as arrêté d'aimer. Tu sais, toute la pelote de cire, alors je pourrais t'aider à revenir sur ton chemin. Pas besoin de se presser, nous avons le temps. Tu sais, ...pas un tas.
Gene met un bal de salade et une petite boite à bijoux couverte sur la table, puis surveille sa montre.
Le Host chante pour lui-même pendant qu'Angel le regarde de temps en temps.
Host : La la la li, du du dum...
Angel : Tu veux savoir quel est mon problème ? Je suis ivre. Ca c'est mon problème. Je ne peux pas gagner. J'essaye de réparer cent ans de mal inconcevable. Nouveau flashs ! Je ne peux jamais ! Jamais faire assez. Maintenant j'ai Wolfram et Hart qui me suivent, c'est trop ! Deux cent avocats diplomés extrémement intelligents travaillant à plein temps me rendent fou. Pourquoi tout le monde est tellement surpris que ça marche ? Mais non, c'est 'Angel, pourquoi est-tu si excentrique ?' 'Angel, tu devrais te relaxer'. Tu devrais sourire. Tu devrais porter un joli plaid.'
Host : Oh. Pas cette saison, trésor.
Angel : La rédemption. Darla a un coup de rédemption. Ils la lui prenne. Maintenant je dois la chasser et la tuer. Je vais le faire. Je vais pas la tuer, et puis je vais brûler cette firme d'avocat sur le sol. Mon équipe...ils ne peuvent pas s'occuper de ça. C'est bon. Ca veut dire qu'ils sont encore humains. Ca veut dire qu'ils vaut mieux les virer.
Host : Tu les as un peu laissés dans le froid.
Angel: Il y a beaucoup de froid là-dedans.
Host : Ca ne sera pas toujours de cette façon. Les chansons changent. A moins, bien sûr, qu'on ne les aient pas à temps, dans quel cas...tu seras gelé dans cette humeur crade à jamais. Je frémis en y pensant.
Angel regarde le Host : On va l'avoir.
Host : Fait attention !
Angel regarde pour voir une figure se tenir sur le milieu de la route. La voiture la heurte et l'envoit voler sur la voiture alors qu'Angel écrase les freins, arrive à arrêter à la voiture.
Angel et le Host sortent pour voir qui ils ont heurtés, mais quand ils tournent le corps il s'avère être un démon Lubber.
Angel et le Host le redressent pour voir plus de démons Lubber courir vers eux de tous les côtés, portant beaucoup de leur haches aux formes étranges.
Il y a un coup sur la porte de Gene. Il vérifie ses cheveux dans le miroir vraiment vite puis ouvre pour laisser Denise entrer.
Gene : Salut.
Denise : Salut.
Gene : Tu vois, euh...Et bien, joyeux anniversaire.
Pause.
Gunn sort sa hache du dos d'un démon cornu couché sur le sol dans la maison de Patty.
Le père de Patty lui donne un tape dans le dos : Bon travail, mon gars. Nous sommes vraiment reconnaissant.
Wesley examine une des jambes du démon.
Wesley : Oh, oui. Nous avons trouvé le tueur (laisse tomber la jambe) juste pas le meurtrier.
Alors que Wesley se lève on voit toute la famille assise sur un canapé et des chaises dans le fond.
Tante : De quoi parle t'il ?
Wesley : Ce démon était une poupée. Agissant sous le contrôle de quelqu'un d'autre. Quelqu'un dans cette pièce.
Cordy lorgne un plateau de hors d'oeuvres.
Cordy : Ils sont pour tout le monde ?
Wesley : Qu'est-ce qu'on en sait ? Nous savons que quand nous sommes arrivés hier il y avait une odeur notable de digitale et d'ellébore. (Cordy mange les hors d'oeuvres) Pas pour garder ce démon, comme un fort suspect, mais plutôt pour le garder à l'intérieur pour qu'il puisse porter les plans malins du meurtrier. (Wesley se tourne pour regarder le père) Tels les plans qui requiert les compétences d'un sorcier maître.
Père : Je ne fait pas ces trucs.
Wesley : Puis nous avons les empreintes de pas dans le sol flou sous la fenêtre en dehors du solarium...trop petite et pas palmées pour appartenir à ce démon.
Tante : Mais Kevin vous a dit, c'étaient les siennes.
Père : Il est rentré tard hier soir.
Wesley : Bruyamment, pour que vous puissiez tous entendre. Supposé voir cette fille en ville. Mais nous savons tous que Kevin est faible, alors pourquoi mettre le spectacle ? (tout le monde se tourne pour regarder Kevin) Peut-être pour couvrir le vrai tueur...à moins que Kevin soit en fait le vrai tueur. Avec Derek parti, l'héritage famillial tombe sur vous, le frère cadet et le mouton noir de la famille. Malheureusement vous n'avez ni l'opportunité ni l'intelligence pour commetre ce crime. Désolé pour la remarque faible. Alorssi Kevin devait avoir le contrôle de l'argent, qui aurait du contrôler Kevin ?
Cordy montrant le plateau vide : Y aurait-il encore quelque uns de ces petits....
Wesley éclaircit sa gorge.
Cordy : Désolé.
Wesley : Sa soeur ? Sa mère ? Deux puissantes forces dans sa vie, toutes les deux avec leur propres agendas. Mais seulement une personne connaissait le secret qui leur auraient permis de faire chanter Kevin pour le reste de sa vie. Une personne seulement prenait les douleurs pour cacher leurs chaussures boueuses. Une personne seulement puait la digitale et l'ellébore. Une personne seulement était responsable de la mort de Derek Bointon...sa propre mignonne, pointillée Tante Helen !
Tous les Bointons halètent.
Père : Helen !
Tante Helen saute de sa chaise et court vers la porte juste pour avoir Cordy bloquant son chemin.
Cordy : Pas si vite, ma soeur.
Gunn à Wesley : C'était cool.
Wesley : Ce n'était pas si difficile. Tu dois juste...garder les preuves tamisées jusqu'à ce que la vérité te frappe finalement.
Angel combat les démons Lubber rapides et furieux, pendant que le Host se tient sur la ligne de touche, regardant comme s'il était dans un match de boxe.
Deux des Lubbers décident d'aller vers le Host. Le Host fait sortir une note forte, leur faisant poser leur haches et couvrir leur oreilles avec douleur alors que l'on voit quelques vitres se briser, puis en frappe un entre les jambes et frappe l'autre dans le menton, les faisant tous les deux tomber, avant de retourner regarder Angel.
Gene et Denise sont assis à la table de dîner.
Gene : Alors comment était le cours de théâtre ?
Denise : Et bien, tu sais...Jack...pense qu'il ne peut pas jouer sans une barbiche.
Gene : Le tabouret doit avoir une barbiche ?
Denise : Et bien, tu connais Jack. (elle lève le collier accroché autour de son coup) Merci pour le, ah...c'est vraiment joli.
Gene : Ca me fera penser à toi. (Denise baisse les yeux sur la nourriture dans son assiette) Tu es rassasié ?
Denise : Ouais. Je n'ai pas si faim. C'était bon. C'était vraiment bon.
Angel assomme encore un autre démon Lubber.
Host : Dépêche !
Angel court vers sa voiture et saute sur le siège du passager.
Denise attrape la rose sur le lit de Gene et la sent.
Denise : C'est mignon.
Gene : Je suis désolé pour le désordre.
Denise avec un sourire : Ca ne serait pas toi sans ça.
Elle enlève doucement sa blouse et lâche ses cheveux.
La voiture d'Angel speed sur la route.
Gene et Denise sont au lit sous les draps, s'embrassant.
Gene : Je t'aime.
La voiture d'Angel arrive devant l'immeuble de Gene, et lui et le Host sortent.
Angel : Ok. Si j'avais une machine pour arrêter le temps, où est-ce que je l'a mettrais ?
Host : Probablement où les démons peuvent la garder.
Le Host montre un démon Lubber.
Gene est au-dessus de Denise au lit. Il atteind la table de nuit et actionne l'interrupteur qui allume la machine dans la cave. Un rayon en sort tout droit, rebondit sur un miroir dans la chambre de Gene sur un autre. Le champ temporel commence à se former au-dessus du lit et s'étends doucement pour couvrir Gene en premier puis Denise, qui gèle sur place.
Dans la cave un démon Lubber entre des nouvelles fonctions de contrôle dans l'ordi portable de Gene. La machine s'emballe et le champ commence à grandir.
Le démon Lubber hoche la tête pour soi, puis se tourne alors qu'un des siens vient se crasher dans la fenêtre, suivi par Angel.
Le champ grandit dans l'appartement. Il engloutit et gèle un gars assis se versant une bière.
Angel combat les deux Lubber dans la cave. En assomme un, puis fracasse sa tête dans la porte ouverte d'un séchoir posé là l'assommant. L'autre Lubber frappe Angel de derrière, puis le frappe assez fort pour envoyer Angel voler en haut des escaliers de la cave. Le Lubber charge sur les escaliers après lui. Angel roule sur son dos et utilise ses pieds pour catapulter le Lubber dans le mur, puis saute sur le sol de la cave. Le Lubber se lance dans les airs pour arrêter Angel avant qu'il puisse atteindre la machine, mais la bulle de temps s'étends dans le plafond le gelant à moitié.
Se baissant lentement, Angel avance vers la machine et sort quelques fils. La bulle rétrécit et le Lubber se pose sur le sol dur au lieu de sur Angel. Angel attrape sa hache posée et l'enfonce dans son dos.
La bulle continue à rétrécir, dégelant le gars versant sa bière, dégelant Denise et Gene et disparaissant.
Angel, soufflant fort, regarde dans la cave.
Denise est assise sur le bord du lit avec le drap autour d'elle, son dos vers Gene, couché dans le lit, couvert par une couverture.
Denise : Gene, on doit parler.
Gene : Je ne peux pas le croire.
Gene est assis à sa table avec Angel et le Host, complètement habillé.
Gene : Ecoutez, je suis...vraiment, vraiment désolé. Je n'avais pas idée que je mettais tout ce monde en danger ou....ou qu'il y avait tous ces démons. Quoique l'idée d'aliens parmis nous est logique avec le multi-verset de Murdoch. Je ne...je voulais juste qu'elle ne parte pas.
Le Host regarde Angel et bouge avec sa tête vers Gene.
Angel regarde et s'avance entre le Host et Gene, puis prend une grande inspiration.
Angel : Et bien, tu sais...l'amour (laisse sortir son souffle) est un feu.
Gene : Vous étiez là.
Angel : Ca te brûle. Vivant. (Gene lui fronce les sourcils) Dans les os. Et puis ça met les os dans la cendre...
Host : Je...je crois que ce que mon ami burineur essaye de dire ici, Gene, c'est que la roue continue de tourner. Tu ne peux pas l'arrêter. Parfois les choses vont plus mal, parfois elles vont mieux.
Gene : Je voulais arrêter la roue..ce qui explique probablement tout le temps dans une boite de malheurs. Je ne peux pas assez accentuer à quel point je suis désolé pour ça.
Host : Ca n'a juste pas marché, Gene. C'est comme une chanson. Maintenant, je peux tenir une note pendant longtemps (rit) en fait je peux tenir une note pour toujours. Mais éventuellement c'est juste du bruit. C'est le changement que nous écoutons. La note vient après, et celui après ça. C'est ce qui fait de la musique.
Gene : Je crois...Vous aimez la bière les gars ?
Angel : La bière semble super.
Gene se lève : Je suis content les gars, ah...
Sort de la pièce.
Host à Angel : Tu es conecté avec un humain. C'est un commencement. Quoique j'ai doit facilement aller sur les métaphores des os et de la cendre pour un moment.
Angel : Et bien, le gars est un désastre en amour, et a presque détruit le monde. Je peux lier. Ouais, je crois que je les ait laissés dans le froid.
Host : Quoi, tes copains ? En les virant ?
Angel : Ouais. Ouais, je crois que je l'ai fait vraiment dur pour eux.
Coupure sur Cordy, Wes et Gunn dansant. Il y a de la musique et leur bureau éclairé aux bougies est rempli de monde.
La caméré change pour nous montrer par la fenêtre la porte de dehors.
Cordy regarde vers la fenêtre et arrête de danser, tape Wesley sur l'épaule et marche vers la porte.
Un humain, mâle moyennement âgé rentre.
Cordy : Bonjour.
Wesley : Comment allez vous ?
Homme : Hmm...
Gunn : Ca va ?
Homme : J'ai juste...j'ai besoin d'aide. C'est Angel Investigations ?
Wesley : Euh, ouais, vous êtes au bon endroit. Ah. Désolé pour la confusion.
Cordy : Nous avons juste une petite fête. Un genre de nouveau commencement.
Homme : Oh, et bien, peut-être que je devrais..
Wesley : Non !
Gunn : Non, non. Vous avez besoin d'aide, vous êtes au bon endroit. On peut parler en arrière. Rentrez.
Homme : Lequel d'entre vous est Angel ?
Les trois échangent un regard.
Wesley : C'est juste un nom.
FIN