Transcript
français par :
Jackie (redac@buffyfan.org)
Thanks
to : Joan the English Chick (pisces@englishchick.com)
~~~~~~~~~~ Prologue ~~~~~~~~~~
Précedement dans Angel :
Angel au portable : Kate, c'est Angel. Décroche si tu es là. Si tu reçoit ce message rejoint ton père. Fais-le sortir de chez lui. Il est en danger.
Le père de Kate est tué par un vampire.
Kate : Oh, papa. Oh, non, papa !
Kate se tenant devant la tombe de son père, Angel regardant dans les ombres.
Cordy à Angel : Joli plan, Général Custer. Tu ne peux pas y aller sans être invité, tu te souviens ? Tu as besoin de nous.
Anne tenant la blouse de Cordy : Ce n'est pas ce que j'avais espéré. Qu'est-ce qu'il y a, il ne te vont plus ?
Angel jetant sa cigarette et faisant brûler Darla et Dru.
Gunn : Tu es allé trop loin.
Wesley : Maintenant nous nous tiendrons en toi et les vraies ténébres.
Angel : Vous êtes virés.
Lilah : Pour l'amour de Dieu, aide-nous.
Holland : Des gens vont mourir.
Angel fermant les portes : Je ne peux juste pas sembler m'en soucier.
Nuit. La décapotable d'Angel arrive devant l'Hypérion.
Angel traverse lentement le hall, regardant aux alentours. Baisse les yeux sur les livres et les papiers sur le comptoir, les pousse.
Se retourne pour regarder le hall, croise les bras et baisse les yeux alors que la caméra monte à travers un mur noir pour montrer tenant la porte de leur nouveau bureau ouvert, regardant dehors.
Wesley : Ce que je ne voudrais pas donner à une bande de démons Prékian errant maintenant.
Gunn et Cordy, assis au bureau, le regarde.
Wesley : Sans les tueries ritualiste bien sûr.
Cordy : Bien sûr.
Wesley attrape le journal et ferme la porte.
Wesley : Quelque chose à combattre. Bon à être donné. Un peu d'action.
Cordy : Peut-être qu'on pourrait à l'aide de ces cartes des étoiles, trouver où vit Steven Segal. (Gunn et Wes la regardent) Vous allez me dire qu'il est devenu une star de films sans une petite assistance démoniaque ?
Gunn regardant le journal : Tu vois, je dit que si les choses sont calmes, laisse les calme.
Wesley va s'asseoir : La calme peut être bon pour l'humanité...mais mauvais pour les affaires. Nous avons besoin de nous faire un nom.
Gunn : On ne peut pas encore accepter un nouveau nom maintenant. A moins, bien sûr que vous êtes venus sur l'idée de...
Wesley : Je ne pense pas.
Cordy : Abandonnons le déjà.
Wesley se lève : Nouveau nom ou pas nous avons besoin d'être dans les rues, exerçant notre métier. Générant un petit mot de bouche. On ne peut pas espérer que le mal traverse juste notre porte.
Les portes s'ouvrent et une femme rentre avec une jeune fille.
Cordy se levant : On peut vous aider ?
Francine : Je, ah, cherche Wesley Wyndham-Price.
Wesley : Je suis Wesley.
Francine : Ah. Je suis Francine Sharp, ma fille Stéphanie. Je suis une amie de Virginia du club.
Wesley : Oh, c'est vrai, le club de country.
Cordy : Une des amies riches de Virginia ? (Wesley, Stéphanie et Francine la regarde) Vous êtes certainement venue pour le combat, ah, ah.
Francine : Virginia a dit que vous êtes spécialisé dans, euh, les phénomènes étranges ?
Cordy : Le meilleur de l'étrange pour autant que nous sommes concernés. Je vous en prie, asseyez-vous. Dites-nous quel est le problème. (Francine guide sa fille à une chaise) Faites-moi confiance, nous sommes spécialisé dans l'étrange. Il n'y a rien que nous n'ayons pas vu...(s'estompe alors qu'elle un oeil cligner chez elle alors que Stéphanie s'assoie. Se tourne vers Wesley et murmure) Il y a un oeil à l'arrière de sa tête !
Wesley et Gunn bougent pour voir. Wesley bouge son doigt devant l'oeil et les yeux le suivent.
Francine : Quelque chose l'a attrapée sur le chemin de la maison en nageant et la mordu. Quand elle s'est réveillé ce matin c'était là.
Wesley s'accroupit devant la chaise de Stéphanie : Est-ce que tu as vu qui ou quoi t'as fait ça ?
Stéphanie regarde sa mère.
Francine : C'était sombre. Elle ne se souvient pas plus. Elles est choquée depuis que c'est arrivé. Je vous payerais tout ce qu'il faudra. Est-ce que vous pouvez faire partit cela ?
Wesley : Oui, absolument. Considérez nous déjà au travail.
Cordy : Je savais que vous étiez venue au bon endroit.
Francine : Qui pourrait faire ça ?
Wesley : Nous allons le découvrir, mais ça...ça prendra un peu de temps. Vous serez surprise du nombre de trucs sales qu'il y a dans les rues ces jours-ci.
Deux ados courent dans une rue sombre, s'élancent dans un coin et se penchent contre le mur. Le garçon jette un coup d'oeil autour du coin..
Garçon : Il est juste derrière nous.
Fille : Oh mon dieu.
Garçon : On y aller. Maintenant.
Ils courent pendant que l'on voit une grande ombre sur l'autre mur se rapprochant doucement.
Le Centre pour Ados des Collines de l'Est, nuit.
Anne donne un tas de couvertures à une fille noire.
Anne : Vas-y. Passe ceux-là en premier. Et puis envoit Eva à la pièce de rangement. J'ai acheté un nouveau tas de sac de couchages la semaine dernière, juste au cas où on s'entasserai.
Anne inspecte le refuge avec un soupir, puis va ouvrir la porte d'entrée alors que quelqu'un frappe.
Les deux ados qu'on a vu echapper à l'ombre se tiennent dehors.
Garçon : Ouvrez ! S'il vous plait, ouvrez. (Anne ouvre les portes) Anne, tu vois, je sais que le couvre-feu est dépassé, mais on doit rentrer.
Anne : Désolé, Kenny. Dix heures. Tu connais les règles.
Kenny : Je sais, je sais, mais...tu ne peux pas nous laisser dehors là, ok ? Il y a quelque chose (regarde par-dessus son épaule) on doit rentrer.
Anne : On est déjà entassé jusqu'au plafond ! Il n'y a pas de chambre, même si je vous laissait rentrer. Pas plus de lits.
Fille : S'il te plait. On dormira par terre.
Kenny : Anne, ne nous met pas là dehors.
Anne fait un pas à l'intérieur et les deux ados se ruent à l'intérieur. Anne regarde la rue de haut en bas puis ferme la porte et la verrouille.
On voit une figure humaine bouger dans les ombres dans la rue, la lumière fait briller briévement un badge en argent sur sa poitrine et le rebord brillant du chapeau qu'il porte.
Intro.
Merl est dans sa tanière empaquetant ses affaires dans des cartons. Se retourne et fonce presque dans Angel qui se tient là.
Angel : Hé, Merl.
Merl : Mon dieu, mec ! Je veux dire, tu peux pas, tu sais, frapper ?
Angel : Tu ne fais pas cette expression amusante quand je frappe, ou si tu la fais je ne la voit pas. Qu'est-ce que tu fais ?
Merl : Empaquetage.
Angel : Tu ne vas pas quelque part.
Merl : Oh, bien sûr que si, aussi loin, et maintenant.
Angel : Qui va me raconter tous les faits amusants sur mes amis ?
Merl : Grande réunion demain soir, quelque niveau supérieur de Wolfram et Hart. Je crois que c'est un nouveau démon liquidateur. 9:30, Diaghilev, ça conclu ma carrière en tant qu'informateur professionnel. D'accord ? Considère ça comme une...une libération. Juste comme tous les autres morceaux d'informations que je t'ai donnés.
Angel : Trente neuf.
Merl : Demain soir. Bonne chance. J'espère que t'arrêtera cette firme d'avocats du mal grande ouverte.
Angel: Et bien, pourquoi la bousculade pour déménager ?
Merl : Et bien, disons, il y a, hum, toi et puis il y a tous les autres escrocs et monstres dans cette ville qui pensent qu'ils peuvent juste valser ici et me frapper jusqu'à ce qu'ils aient des informations, sans payer pour ça non plus. Je veux dire au moins cet Anglais comprend ce qu'était un travail de relation, avait un peu de respect. Tu te fous de tout le monde à part de toi.
Angel : Je ne penses vraiment pas que tu sois en position de juger...
Merl : Quel âge à Wesley, hein ? Et les deux autres que tu as virés ? Ils vont bien ? Oh, allez, laisse-moi deviner. Tu ne t'es jamais ennuyer à vérifier.
Angel : Ca démolisait mieux.
Merl : Trente neuf à Diaghilev. Quel plaisir de faire des affaires avec toi.
Jour, le Centre pour Ados des Collines de l'Est, Anne parle à un gars noir portant des ardoises et des stylos.
Anne : Et soit sûr que tu reçoit les noms complets, pas de slogan, ni de surnoms. J'ai vu au moins une douzaine de nouveaux visages, et je ne veux pas que quelqu'un dorme à travers les fissures. (voit le gars qui était venu en retard) Kenny. Je peux te parler une seconde ? Comment est-ce que tu vas ? On ne t'as pas vu depuis un moment.
Kenny : Bien. Ecrasant différents endroits. Tu me connais moi et les refuges. Trop de règles. Je dois avoir ma liberté.
Anne : Hm-mm. Alors pourquoi tu es venu hier soir ?
Kenny : Je ne sais pas. Il faisait froid dehors. Ca commencait à geler.
Anne : Il faisait soixante cinq degrés dehors.
Kenny : Tellement ? Je viens de Floride. Soixante cinq degrés c'est comme le Cercle Arctique.
Anne : Kenny, pourquoi est-ce que tu es rentré ?
Kenny : Les flics.
Anne : Quoi ?
Kenny : Les flics. Ils ont bagaré tout le monde récemment. Ce qui, hé, quoi d'autre est nouveau, d'accord ? Mais ces gars...Hier soir, moi et Les ont étaient accrochés au trente neuvième.
Anne : Manche ?
Kenny : Non. En lavant ma Mercedes. Tout à coup ce flic est venu de nulle part et juste wham ! Il m'a frappé si fort que j'ai cru que ma dent était partie.
Anne : Il t'a frappé ? Qu'est-ce que tu faisais ?
Kenny : Rien, je jure sur Dieu. Et puis après il m'a donné un coup de poing il a jeté Les contre un mur, lui a presque cassé le bras. La chose suivante que je sais c'est qu'il a pris sa matraque, alors il a attrapé Les et il l'a retenu.
Anne : Tu veux dire qu'il n'essayait pas de t'arrêter...
Kenny : Je te le dit. Il est juste venu, a dit 'pas de traînard', m'a frappé dans la bouche, et puis nous a traqués sur quelques bloc avant qu'on arrive ici.
Anne : On a un gros problème.
Kenny : Ouais. Bonne chance pour le résoudre. Je veux dire, qui tu vas appeler ? Les flics ?
Anne : Je crois que je connais quelqu'un qui pourra aider.
Anne marche dans le nouveau Angel Investigations.
Gunn souriant : Annie ! Comment ça va, ma belle ? Je ne t'avais pas vu dans la minute. Viens ! (Anne sourit et ils s'étreignent) Alors, qu'est-ce qui t'amènes dans ce col des bois ?
Anne : Et bien, je pensais que j'avais vu comment l'autre moitié vit (regarde aux alentours) et assez étrangement, ce n'est pas si différent.
Gunn la tourne vers Cordy et Wes.
Cordy : On aime penser à ça comme la dilapidation Américaine précoce. (serre la main d'Anne) Salut. Je suis Cordélia.
Anne : Anne.
Wesley : Wesley Wyndham-Price. Content de vous rencontrer.
Gunn : Anne dirige un refuge pour ados sur Crenshaw, pas trop loin de chez moi.
Anne : Oh Gunn, tout ce temps et tu te souviens encore !
Gunn : D'accord, d'accord, je l'ai. Mais j'étais occupé. Je travaillais.
Anne : Et bien, si tu n'es pas trop occupé, tu te souviens si je dirige quelque chose par toi ?
Fondu plus tard ce soir. Anne est assise tenant une tasse de café.
Anne : Kenny n'est pas le seul. J'ai parlé à quelque autres et ils disent tous la même chose. Pas de provocation, pas de raison, la police les a juste terrorisés.
Gunn : Des flics rénégats. Pas vraiment courant.
Anne : Oh, c'est vrai. Tu as l'habitude de...
Regarde Wes et Cordy , recherchant encore au bureau.
Gunn : Oh, c'est cool. C'est cool. Ils savant quoi et quoi.
Cordy : Quoi ?
Gunn : Je chasse encore les vampires, mais si ce job m'a appris quelque chose, c'est qu'il y a des choses pires dehors qu'un paire de dents.
Anne : Comme une bande de flics surzélés frappant mes enfants. En parlant de ce qui...je devrais vraiment y retourner. Le refuge devient emcombré après le coucher du soleil, et quelqu'un doit les ralentir.
Gunn : Je viens avec toi. Je ne crois pas que c'est prudent pour toi d'être dehors. (A Cordy et Wes) Je vais au refuge pour ados. Voir si je peux trouver un truc.
Cordy : Oh, ouais, et n'oublie pas cette affaire excitante sur laquelle on travaille ? (Anne la regarde) Une des riches connaisances de Wesley a été mordue par un démon.
Anne : Ils vont bien ?
Wesley : Euh, pour la plupart.
Cordy : Excepté là où a grandi un autre oeil à l'arrière de sa tête.
Anne : Oh, ça semble...pratique. Quel genre de démon fait ça ?
Wesley : C'est ce qu'on essaye de découvrir. Une fois qu'on saura on sera capable de la désoculer. Je veux dire, juste celui de derrière.
Cordy : Oh oui, Angel Investigations, la maison des gros méchants emmerdeurs.
Anne : Angel ?
Gunn : Oh, notre compagnie. C'est nommé d'après notre premier patron. On a prévu, euh, de le changer pour l'Agence Gunn...
Cordy et Wes : Non, pas ça.
Gunn : Dès que ces deux narcissiques reprendront leurs sens.
Anne : Mais Angel, ce...ce n'est pas le gars dans le long manteau noir, n'est pas ?
Gunn : Tu le connais ?
Anne : Ouais. Il a essayé de m'aider il y a quelques semaines.
Gunn regarde Wes et Cordy. Ils se lèvent tous les deux du bureau.
Cordy : Il l'a fait ?
Wesley : Vraiment ?
Cordy se rapproche d'Anne.
Anne : Mais il s'est avéré que c'était juste une arnaque pour emmerder cette firme d'avocats.
Cordy, vivement : Et bien, il n'a pas changé d'un poil.
Se retourne et va à la table. Elle et Wesley retournent à leur livres.
Gunn à Anne : Allez.
On voit Gunn et Anne sortir du bureau baissant les yeux.
Gunn : Alors, dis-moi en plus sur la situation.
Angel les regarde du toit de l'immeuble d'en face et les suit au bord alors qu'ils marchent.
Centre pour Ados des Collines de l'Est, nuit. Un van arrive devant et Anne et Gunn sortent.
Anne : Merci de venir, Gunn.
Gunn : Tu sais que j'ai une dette. Je n'ai pas vu cet endroit depuis longtemps.
Anne : Ouais, ça fait longtemps.
Angel regarde du coin alors qu'ils rentrent dans l'immeuble.
A l'intérieur, Gunn et Anne sont assis sur un sofa parlant à un groupe d'enfants assis sur un autre de l'autre côté.
Ray : Tu vois, les flics ont trébuchés., G.
Gunn : Défini-moi trébucher.
Fille : Dehors pour du sang. Les a eu son bras cassé.
Ray : Les flics m'ont arrêtés l'autre nuit. Il est allé pour son flingue, il cherchait à l'amorcer dans mon cul, mec !
Anne : C'est outrageant. Ces flics vont tuer quelqu'un. On doit faire quelque chose pour ça.
Gunn : Anne, tu peux nous donner une minute ?
Anne regarde Gunn et se lève.
Anne : Ouais. J'ai quelques paperasseries à faire.
Gunn attends qu'elle soit partie.
Gunn : Vous essayer de jouer avec elle les gars ?
Fille : Quoi ?
Ray : Hors de question, G.
Gunn : Anne n'et pas idiote, mais elle est un peu aveugle. Elle veut tous vous faire confiance. Maintenant, si je découvre que vous prenez avantage de ça....
Ray : C'est pas une arnaque, G. On est les victimes, mec !
Gunn : Des victimes. C'est vrai. Alors qu'est-ce que vous étiez en train de faire quand ce flic a sorti ce truc sur vous ?
Ray : Franchement rien.
Gunn : Oh, alors je t'ai pas vu faire des affaires sur Normandie et Fifth ? Tu vas me dire que c'est pas toi que j'ai vu ?
Ray : C'est de l'histoire ancienne, mec. J'ai arrêté ça.
Gunn : Et bien, les flics doivent savoir ça ? Parce qu'ils ne t'ont peut-être pas envoyé d'e-mail.
Fille : Hé, on est pas en train de parler de quelques trucs de rues la police fait taire les mères. Oh, c'est une guerre, et tout le monde est une cible.
Ray : Elle dit vrai, G. A cent pour cent vrai.
Angel s'éloigne de la fenêtre où il apparement en train de regarder et d'écouter et se tourne pour marcher sur le trottoir.
Flic : Les mains en l'air et visibles.
Angel se tourne et déploie ses mains : Je suis désolé, officier, est-ce que j'ai quelque chose de mal ?
Flic sort sa matraque : Tournez vous. Face à la haie. Mettez vos mains sur la tête.
Angel : C'est une erreur.
Le flic frappe Angel dans la machoire avec sa matraque et le claque contre la haie.
Flic : Vous êtes en état d'arrestation.
Angel : Croyez-moi, vous n'allez pas faire ça.
Eloigne le flic de lui, mais le flic rebondit sur une voiture garée et se remet droit, faisant tourner son baton.
Flic, calmement : Vous avez le droit de garder le silence.
Angel arrête le tour et repousse encore le flic. Le flic rebondit contre la haie et revient en tournant.
Flic : Tout ce que vous direz pourra...
Angel le frappe dans la poitrine, le poussant dans la haie. Le flic rebondit encore tournant son baton.
Flic : ...et sera utilisé contre vous devant un tribunal.
Angel frappe le flic dans l'estomac, puis l'arrière de sa tête. Le flic se pose contre la voiture, puis s'effondre par terre et ne bouge pas. Angel continue de marcher sur le trottoir, mais n'a pas fait quelque pas avant que le flic revienne et continue sans passion.
Flic : Vous avez droit à un avocat.
Angel s'arrête et se tourne, bloquant un autre tour du flic et le frappe encore dans les boyaux.
Flic : Si vous n'avez pas les moyens pour un avocat (tourne chez Angel, qui le bloque) vous en aurez un commis d'office.
Le flic tourne encore, et Angel le bloque encore. Le flic titube. Angel se tourne et frappe la tête du flic en plein dans le cou.
Le flic rebondit sur le pare-brise, Angel le regardant.
Décapité et délabré : Vous connaissez vos droits comme j'ai...
Les mots ralentissent et s'arrêtent.
Angel baisse les yeux sur le badge LAPD sur la poitrine du cadavre maintenant indifférement délabré.
Pause.
Refuge des Collines de l'Est, nuit, deux ados noirs marchent là où Anne et Gunn sont assis et un des deux tape Gunn sur l'épaule.
George : Et bien, si ce n'est pas Charles Gunn, grand frère.
Gunn et Anne se lève.
Gunn : Anne, je vous présente Rondell et George.
Anne : Salut.
George : Salutations. J'ai ramené ton caméscope. T'as besoin de quelque chose ?
Gunn : D'accord, j'ai ce petit problème de voisinage que j'ai promis à Anne qu'on résoudrait.
Rondell : Ca a quelque chose à voir avec la police qui fend des cranes ?
Gunn : T'es au courant ?
George : Qui ne l'est pas ?
Gunn : Moi jusqu'à aujourd'hui. Quelqu'un aurait pu me mettre au courant.
Rondell : T'était pas dans les environs pour dire quelque chose.
George : T'as déménagé, toutou...jouant au détective de démon avec ta nouvelle famille.
Rondell : Appartement de luxe dans le ciel.
George : Quand j'ai eu l'appel j'ai cru que c'était Noël ou autre chose.
Gunn : Peut-être que j'aurai pas du appeler du tout. Au fait, tu sais quoi ? Vous êtes libres de partir.
George : On a déjà fait le voyage, on peut autant aller jusqu'au bout.
Gunn : Tu ne me dois pas de faveurs.
George : Non. La faveur est pour ces gamins. Maintenant t'as un plan ou pas ?
Gunn après un moment : D'accord, tu vois, le plan est simple. Je veux que tu fasses marcher le caméscope et attende que les flics nous provoquent.
Anne : Comment est-ce que tu sais qu'ils vont le faire ?
Gunn : Parce qu'on va être les seulsà marcher en noir. (George rit) Allez.
Gunn, Rondell et George partent.
Quartiers généraux du LAPD, nuit.
Kate marche vers son bureau lisant un dossier pour trouver Angel assis sur le bord de son bureau.
Kate : Ca fait longtemps que je ne t'ai pas vu.
Angel : J'étais occupé.
Kate : Ouais, moi aussi.
Kate passe à côté de lui et sort un autre dossier de son tiroir.
Kate : Beaucoup de dossiers ouverts sur lesquels je travaille. Deux femmes tuées dans un magasin fermé. Treize avocats de Wolfram et Hart massacrés dans une cave à vins.
Angel : Un vraie tragédie.
Kate : Ouais, tu sembles vraiment brisé par la perte. De toute façon, on regarde encore dans celui-là.
Angel : Bonne chance pour ça.
Kate : Je crois que tu n'as jamais attrapé tes copines vampires à temps.
Angel : Je l'ai ait traqué récemment et les ait mis au feu.
Kate : Je vois comme tu as aimé ça. Mais là encore...tous les meurtres et le grabuge ont toujours été dans ton allée.
Angel : Si c'est comme ça que tu le sens, je crois que ce n'est pas le bon moment pour te dire...que je viens de tuer un flic.
Kate : Je ne voulais pas rigoler à propos de ça dans cette immeuble, peu importe à quel point tu te sens immortel.
Angel : Bien sûr, c'est le genre de flic qui continue de parler même après avoir été décapité. (Sort le badge du flic (numéro 4226) et le montre à Kate) Prie pour qu'il ne t'apprenne pas ça à l'académie. Tu veux me dire à qui ce badge appartenait ?
Kate prend le badge et le regarde.
Kate sort le fichier sur le badge.
Angel : C'est lui.
Kate : Officier Peter Harkes.
Angel : Tu le connais ?
Kate : Assez bien pour avoir été à ses funérailes il y a sic mois.
Angel : Tu veux faire une balade ?
Cordy au téléphone du bureau : Bien sûr qu'on peut s'occuper de cette histoire d'oeil sans toi. Ce n'est pas le sujet. Jusque qu'on devrait peut-être te soutenir sur ça. Parce que je ne veux pas que tu sois blessé. Bien sûr que oui, mais...Allo ? (raccroche le téléphone avec un soupir) Ok, Gunn est en train de faire une chose vraiment stupide.
Wesley lisant un livre : Qu'est-ce qu'il a dit ?
Cordy : Juste qu'afin de découvrir si la police brutalise et tue des gens dans les environs de chez Anne, il va enregistrer les flics essayant de le brutaliser et de le tuer.
Wesley lève les yeux : Tu ne peux pas être sérieuse.
Cordy : Rien ne dit 'je ne suis pas pour toi comme être sur le recel de fin d'une police vicieuse qui mort"
Wesley : Tu ne pouvais pas l'arrêter ?
Cordy : Allo ! Gunn, têtu, synonymes.
Wesley : Ca ne peut pas être son plan, n'est pas ? Je veux dire, c'est...un plan vraiment bête.
Cordy : Hé, Gunn est diplômé avec une mention en bétise élaborée par l'Université d'Angel. Il s'asseoit au pied du maitre et apprends bien comment devenir bête.
Wesley : Nous avons juste à le laisser faire ça.
Cordy : Oh. Je suis sûre qu'il va bien.
Wesley : S'il veut notre aide, il sait où nous appeler.
Cordy : On va faire notre boulot, Gunn peut faire le sien.
Wesley : C'est vrai. Allons y descendre et le sauver de lui-même.
Cordy : Ce n'est pas comme si ce troisième oeil allait vraiment aller quelque part.
Angel et Kate marchent vers la tombe de Peter Harkes.
Kate : Celle là. Jamais vu le gars qui lui a tiré dessus.
Angel : Le tueur est attrapé ?
Kate : Oh, ouais. Pas vraiment un génie criminel. Il est bon pour la peine de mort.
Angel : Tu as dit que ses funérailles était il y a six mois.
Kate : Environ. Pourquoi ?
Angel : Cette terre a été retournée dans les dernières semaines. Quelqu'un a fait un peu de creusement.
Kate : Comment tu le sais ?
Angel la regarde.
Angel : Beaucoup de flics sont enterrés ici ?
Kate : Ouais.
Angel va vers une autre tombe.
Angel : Et pour lui ?
Kate : Kevin a travaillé à la brigade. (Angel hoche la tête à lui-même) Qu'est-ce qui s'est passé ici ?
Angel : Je crois que quelqu'un déterre des flics morts et les remet dans la rue.
Kate : Quoi ? Comment ça ?
Angel : Des zombies. Des cadavres réanimés magiquement. Ils marchent, ils parlent, mais quelqu'un d'autre leur tire les ficelles.
Kate baisse les yeux sur la tombe et va à une autre, Angel suit.
Kate : C'est...mon père, est-il....
Angel : Non. Sa terre n'a pas été retournée.
Kate : Tu en est sûr ?
Angel : J'en suis sûr.
Kate met une main sur sa bouche et fait de son mieux pour ne pas pleurer.
Angel : Ca va ?
Kate : Qui fait ça ?
Anne descend les escaliers encombrés du refuge portant un tas de couvertures.
Anne à un ado : Tu peux donner un coup de main à Emma dans la cuisine ?
Il y a un coup à la porte et Anne va ouvrir.
Anne : Désolé, pas plus...(voit que c'est Cordy et Wes) Salut, qu'est....
Cordy : Gunn est encore là ?
Anne : Non, il est parti avec ses amis il y a quelques temps. Pourquoi ?
Wesley : Il a dit où il allait ?
Anne : Quarante-cinquième rue, je crois.
Wesley se tourne pour partir : Je vais commencer là. J'ai mon portable si tu l'entends.
Cordy : Arrive avec moi.
Wesley : C'est vrai.
Cordy regarde dans le refuge.
Cordy : Euh, on dirait qu'on pourrait avoir de l'aide.
Anne : Tout mon personnel régulier est trop effrayé de rentrer ce soir.
Cordy : Où tu veux que je commence ?
Anne tends ses couvertures : Comment sont tes compétences dans le pliage du linge ?
Cordy : Je suis une actrice. Je peux...le truquer.
Cordy se tourne et voit une fille portant la blouse qu'Angel a donné au refuge dans 'Blood Money' descendre les escaliers.
Cordy : Hé ! C'est ma...(la fille la regarde) Désolé. J'ai une chemise comme ça. (A Anne) L'escroc du magasin a dit que c'était un du genre ! Gros bobard !
Anne se tourne pour fermer la porte mais un gars noir portant une veste noir en cuir saute les escaliers de la rue, bloquant la porte.
Anne : Je suis désolé, je n'ai plus de lit.
Jackson : Oh, allez, petite mignonne. Tu sais que ce n'est pas pour sauver l'homme où faire la bête dehors.
Anne essaye encore de fermer la porte : Je suis vraiment désolé, mais je n'ai vraiment aucun (le gars rentre) lit de libre.
Jackson : Oh, ne t'inquiètes pas pour moi. Je suis sûr que je trouverai quelqu'un de disposé à partager. (regarde deux filles montant les escaliers) Oh, oui. Beaucoup de candidates.
Cordy jette le tas de couvertures sur le côté et s'approche du gars.
Anne : Je pense vraiment que ça serait mieux si vous partiez.
Cordy : Vous devez probablement partir.
Jackson : C'est un refuge, hein ? Et bien, ça tombe bien. J'ai besoin d'un petit refuge ce soir.
Eloigne Cordy de son chemin et s'enfonce dans le refuge.
Cordy : Hé ! Hé !
Cordy va arrêter le gars mais Anne la stoppe.
Anne : Laisse-le. Je ne veux pas de problème.
Le gars noir en cuir rentre dans le gamin ancien dealer de drogue avec qui Gunn parlait.
Ray : Oh, fait attention mec...Jackson.
Jackson : Lookee ici. Tu m'as baissé avant, Ray ? Hmm ?
Ray : Non.
Jackson : Non ?
Ray : Non.
Jackson : Tu ne penses pas encore que je t'ai pissé dessus, n'est pas ?
Ray : Je ne sais pas.
Jackson : Pourquoi t'es secoué, Ray ? T'es nerveux à propos de quoi ? Tu ne penses pas que je vais te tuer, ou autre chose, n'est pas ? Hein ?
Ray : Non.
Jackson rie et tape sur l'épaule de Ray.
Jackson : Je ne te tuerai jamais ici, Ray. Pas devant toutes les belles nanas. Tu sais que je ne te tuerai jamais ici, hmm ?
Rit et part.
Gunn et ses deux potes marchent dans un rue sombre.
George : D'accord, tu vois, tout ce que je dit c'est que tu vas me laisser installer alors ils ne me verront pas avec ça. Les flics me voient avec ça , il n'y aura plus moyen pour qu'on les Rodney King.
Gunn : Ouais, c'est si on en trouve un. Je n'ai jamais cherché si dur pour avoir des problèmes avant.
George montre un panneau.
George : Hé, surveille ça. Quarante cinquième rue, mec.
Gunn : Et alors ?
Rondell : Tu me fais marcher. C'est la terre d'un gang. Ils nous prennent en train de rouler ici ils vont nous foutre dehors.
George : C'est pour ça qu'on ne voit pas de flics. Ils ne sont même pas venus ici.
Gunn : J'ai dit que tu étais libre de partir.
George : Hé, mec j'ai dit que j'allais faire quelque chose, je vais le faire.
Gunn regarde la rue deserte.
Gunn : Merde. Quelqu'un a une apocalypse et oublie de nous inviter ?
Un flic vient dans la rue derrière eux tapant sa matraque contre le mur de l'immeuble et les trois se tournent pour le regarder.
Flic : Qu'est-ce que vous faites ?
Gunn : Faire ? Rien, mec, juste une balade.
Flic : Mettez vos mains sur le mur, reculez et écartez vos jambes.
Gunn : Vous nous arrêtez ?
Gunn baisse les yeux pour être sûr que George enregistre tout avec la caméra dans sa veste.
L'image de la caméra montre Gunn et le flic avec un petit REC dans le coin gauche en haut.
Flic : Fait comme tu es intruis.
Gunn : Officier, j'aimerai juste savoir si nous sommes arrêtés.
Officier : Touunez-vous face au mur. Maintenant.
Gunn : Hé, je n'essaye pas de me disputer avec vous, mais...j'aimerai savoir ce qu'on a fait mal. Vous savez, quelles lois ont a enfreint ? Parce que si on en a enfreint une, je crois qu'on devrai savoir laquelle alors on ne ferait pas deux fois la même erreur.
Flic lève son baton : Je ne vais pas me répêter.
Wesley arrive dans la rue derrière le flic.
Wesley : Attendez ! Officier, attendez ! Cet homme est un de mes amis, un vraiment bon ami. Je suis sûr qu'il commis aucun...
Le flic se retourne et tire dans le ventre de Wesley. Wesley titubant au cause de l'impact, regarde le flic avec incrédulité puis tombe contre le mur de l'immeuble.
Pause.
Gunn : Wesley !
Gunn tacle le flic, frappant l'arme dans sa main. Rondell fonce dedans et attrape l'arme. Le flic frappe Gunn et attteint sa cheville.
George : Il a une autre arme !
Le flic sort son arme planquée et Rondell lui tire deux fois dessus, le faisant tomber au sol.
Rondell : Oh mec ! Oh mec !
George : Laisse sortir l'enfer d'ici.
Gunn : Aide moi avec Wesley.
Alors que Gunn fonce sur Wesley, Rondell pose l'arme, la regardant.
Wesley à Gunn : Est-ce que quelqu'un d'autre a froid ?
Gunn : Ca ira maintenant. On va t'emmener dans un endroit chaud. Aidez-moi à le porter ! Allez ! Allez !
Gunn et George soulève Wesley pendant que Rondell regarde le flic mort.
Rondell : Je lui ait tiré dessus ! J'ai tiré sur un flic !
Gunn : Y avait pas vraiment le choix.
George : On doit y aller.
Rondell : J'ai tué un officier de police. Regardez le. Il est mort !
Cela pendant que l'officier de police se lève.
Gunn : Il n'a pas l'air si mort.
George : Allons y !
Ils courent tous les cinq du mieux qu'ils peuvent avec Wesley porté entre Gunn et George.
Le flic atteint sa radio clippé sur son épaule.
Flic : On a un endroit.
Radio : Il y a des fins grasses ?
Flic : On a des témoins. J'ai besoin de faire marche arrière.
Gunn et les autres se dépêchent dans la rue.
Gunn : Attendez. Attendez. Je dois essayer et arrêter ce saignement.
Montre un trou dans une palissade, et ils se glissent à travers ça, puis autour du coin de l'immeuble.
Gunn : Dans les environs. Posez-le. Doucement ! Portez doucement !
Wesley : Neuf un un. Tu dois appeler le 911.
Rondell : Emmerde les flics ! C'est eux qui t'ont fait ça !
Gunn : Une ambulance.
Rondell : Oh.
Wesley sort son portable.
Gunn : D'accord. (A Rondell) Descends et continue à surveiller.
Rondell se rue dans le trou dans la palissade, pendant que Gunn compose le numéro.
George : Dis-leur pas de sirène.
Téléphone : 911 Quelle est votre urgence ?
Kate et Angel entrent dans un bureau d'une enceinte de police.
Kate : C'est assez calme ici.
Le bureau est désert. Angel frappe la sonnette sur le comptoir et une porte dans le fond s'ouvre et un officier en sort.
Officier : Je peux vous aider jeunes gens ?
Kate montre son badge : Ouais. Je fais des recherches sur les plaintes sur la façon dont quelques officiers traite les choses dans cette enceinte.
Officier : Ce n'est pas plus un travail pour les affaires internes ?
Kate : Et bien, je prend un interêt personnel.
Le capitaine passe derrière l'officier et disparait dans le bureau du fond.
Kate : Où est tout le monde ?
Officier : Oh, seulement quelque uns montent le bureau ce soir.
Angel : Beaucoup ne partent pas ?
Officier : Le crime descend dans cette enceinte. Nous faisons les choses justes.
Angel : Qui prends crédit de ça ?
Officier : C'est un effort d'équipe. Mais, le capitaine est vraiment le seul qui fait rouler la balle.
Angel : On peut lui parler ?
Officier : Il n'est pas là. Mais vous êtes libres d'essayer plus tard.
Kate : Votre capitaine, il fait marcher les choses par le livre ?
Officier regarde d'Angel à Kate : Je n'ai pas à vous dire qui régie ces rues, détective. Les merdeux le font. Par l'enfer, j'..j'étais effrayé de conduire pour travailler moi-même.
Kate : Oh, vraiment ?
Officier : Nous avons une police resistante maintenant.
Gun press un chiffon sur la plaie de Wesley alors que Rondell revient.
Rondell : Ambulace ne viendra pas ici.
George : Ferme là avant qu'ils t'entendent.
Rondell se rue de nouveau à son poste alors que Gunn enlève son manteau pour couvrir Wesley.
Wesley : Je ne crois pas que je vais vraiment bien.
Gunn : Hé, ça va aller, mec, d'accord ? Recevoir une balle comme ça...Ouais, j'ai beaucoup de gens se faire tirer dessus pire que ça et ça ne les a même pas ralenti.
Rondell revient : Ca arrive !
Gunn : Allez, dépêchez, bougez !
Wesley est chargé dans l'ambulance et par un paramédical noir et blanc.
Gunn à George et Rondell : Rendez-vous au refuge, d'accord ? Surveillez vos arrières !
George et Rondell partent.
Gunn alors que le paramédical allait fermer les portes arrières : Hé, hé ! Je suis avec lui.
Gunn va à l'arrière de l'ambulance et elle démarre.
Gunn : Ca va, Wesley, accroche toi. On y presque, ok ?
Alors que l'ambulance se rapproche de la fin de l'allée deux voitures de polices avec les giraufars bloquent sa sortie.
Conducteur : Quelque chose est arrivé ici. Je vais voir ce que c'est.
Gunn se lève pour regarder à travers le pare-brise avant pour voir le conducteur parler aux flics.
Conducteur : Hé les gars, vous allez nous laisser traverser. On a...
Gunn : Non ! Pas ça !
Conducteur : ...un homme blessé à l'arrière. On doit lui donner...
Gunn s'élance de l'arrière et sur le siège du conducteur alors que les flics ouvrent le feu sur le conducteur, le criblant de balles.
Gunn : Arrêtez !
Gunn fait marche arrière, jusqu'à ce que sa route soit bloquée par une autre voiture de flic. Tourne l'ambulance et s'enfonde dans le trou où ils se sont glissés avant. Trois flic court après lui, tirant sur l'arrière de l'ambulance. Gunn sort de l'allée et commence à speeder sur la route.
L'ambulance arrive devant le refuge. Gunn ouvre les portes arrières et commence à détacher Wesley.
Flic noir : On s'arrête ? Qu'est-ce que tu fais ?
Gunn : J'essaye de survivre. Aide-moi à le sortir. Allez, Wes. Allez, mec.
Gunn soulève Wesley pendant que le paramédic attrape le sac IV attaché et le tend à Gunn.
Paramedic : Là prend ça.
Gunn tend ses mains vers Wesley alors qu'il vacille aux portes de l'ambulance.
Gunn : Allez, mec. Je te tiens.
Anne va ouvrir aux coup à la porte du refuge.
Gunn : Annie ! Ouvre. C'est G. Ouvre ! Dépêche !
Anne ouvre les portes.
Anne : Oh mon dieu ! Qu'est-ce qui s'est passé ?
Gunn : Ils lui ont tirés dessus.
Anne : Qui a fait ça ?
Gunn : Les flics. Ils ne sont pas humains.
Anne regarde un moment puis va fermer la porte.
Dehors une autre voiture de flic arrive de l'autre côté de la rue. Le conducteur atteint sa radio.
Flic : Tous les passager sont à bord, monsieur.
Le capitaine de police écoute sur sa radio.
Flic : On a un endiguement plein.
Capitaine : Attendez pour y aller. Sécuriser tout le secteur. Nettoyer les maisons.
Le paramédic fait une pression sur le sang de Wesley pendant que Wesley se cramponne à une des mains de Gunn.
Wesley : Nous n'avons pas le droit.
Gunn : Je sais mec, shh.
Cordy se rue vers le sofa.
Cordy : Wesley, je...(au paramédic) Qu'est-ce que je peux faire ?
Le paramédic lui tend un coussinet : Faire une pression sur la blessure.
Cordy à Wesley : Ok. Je l'ai. Accroche-toi. Ca va.
Gunn va voir à la fenêtre.
Anne : On est en sécurité ici ?
Gunn : En sécurité comme dehors. Mais on doit verrouiller toutes les portes, d'accord ? Et éloigner tout le monde des fenêtres !
Anne : Vous l'avez entendu ! Allons-y ! Allez !
Jackson voit la blessure de Wesley alors que tout le monde fait comme il est dit.
Jackson : Oh ! Putain. Maintenant ça semble méchant.
Gunn : Jackson ? Qu'est-ce que tu fous ici ?
Anne dans le fond : Comment est-ce qu'on va garder les flics dehors ?
Jackson : Je dit qu'il fait les laisser venir, frère. Je sais comment m'occuper des flics.
Sort sa chemise pour réveler une arme caché à la taille de son pantalon.
Gunn : Ce style de vie t'a réussi ?
Jackson : Ne devient pas tout grand et puissant avec moi, joueur. Je sais d'où tu viens.
Gunn : Là d'où viens tu n'as pas ramené une communauté. Tu essayes et le fais mieux.
Jackson : Je fais juste mon truc, mec. Pourquoi...pourquoi tu pars pas et dégage de ma vue ?
Gunn : Ton truc blesse tout le monde ! Pourquoi est-ce que tu penses que personne ne se soucie qu'ils s'accrochent dans les environs ?
Jackson : Parce que c'est un tas de porcs racistes.
Gunn : C'est ça. Et il y a des gens comme toi...tch ! Un loubard avec un flingue, faisant continuer le cercle.
Jackson : Pas mon problème.
Gunn : Non ! Tu vois, c'est mon problème, d'accord ? Parce qu'ils tirent sur mes amis ici !
Jackson : Oh. Ouais. L'homme blanc meurt. Je vais pas vraiment perdre le sommeil pour ça.
Gunn pousse Jackson contre le mur mais Anne arrive.
Anne : Hé. On ne peut pas se permettre ça. Pas maintenant.
Le capitaine de police écoute la radio.
Flic à la radio : Toutes les unités sont en place.
Capitaine : Partez. Et gardez ça calme. Pas de coup de feu.
Paramédic : Il va mal.
Cordy : Non. Allez.
Gunn tient encore Jackson contre le mur tourne sa tête pour regarder le paramédic.
Gunn : Quoi ?
Paramedic : Je crois qu'il y a un saignement interne, mais on ne peux pas l'aider ici. On doit le ramener à St John, vite.
Gunn lache Jackson et va vers le sofa : Tu vois, on ne peut pas aller dehors, d'accord ? Tu as vu ce qu'ils lui ont fait.
Cordy : Il va mourir. On l'emmène dans un l'hopital, maintenant. Je me fous de qui est dehors !
Gunn : D'accord. Prenez la porte.
Cordy se dépêche alors que Gunn met un des bras de Wesley sur ses épaules essayant de le soulever.
Gunn : Allez.
Wesley : Où est-ce qu'on va ?
Gunn : A l'hopital.
Wesley : Ca me semble sensible.
Cordy ouvre la porte juste alors que deux voitures de flics arrivent. Le ferme de nouveau et se rue vers Gunn.
Cordy : Ils sont là.
Pause.
Les flics sortent des voitures et vont vers le refuge.
A l'intérieur les gamins essayent de barricader les fenêtres et les portes.
Gunn : Prends cette batte. Je veux que tu l'utilises, d'accord ? Allez. Tout contre les fenêtres ! Bougez ! Bougez ! Faites ça vite.
Plus de flics se rapprochent.
Anne et un autre gars mettent une batte en place sur la porte.
Anne : Ok. Cloue ça. (bouge, voit un autre gamin) Surveille la porte de la cuisine.
Le capitaine de police pose sa radio et s'assoie derrière son bureau alors que les portes s'ouvrent et qu'Angel rentre.
Capitaine : Je peux vous aider ?
Angel rentre juste et regarde quelques trucs sur un des bureaux.
Capitaine : Excusez-moi, que faites-vous ?
Angel : Je regarde aux alentours.
Capitaine : Qui êtes vous ?
Angel prend une boite de médaille ouverte : Angel.
Capitaine lui prend la boite : Et bien, Angel, si vous avez besoin de quelque chose je suis sûr que quelqu'un au rez-de-chaussée pourra vous aider.
Angel : En fait j'ai besoin de vous parler.
Capitaine : A propos de quoi ?
Angel : A propos de quelque uns de vos plus...flics morts ?
Le capitaine rie et se lève.
Capitaine : Peut-être qu'on devrait parler de vous à la place.
Sort son arme et tire deux balles dans le torse d'Angel.
Angel se recroqueville autour des blessures un moment puis se met en visage de vampire.
Angel : Comment est-ce que je les arrête ?
Le capitaine pointe encore son arme, mais Angel agrippe sa main et le jette à travers la pièce. L'attrape par la gorge et le pousse contre le mur.
Angel : Je vais répéter la question.
Les flics rentrent par les fenêtres du refuge.
Gunn : Bougez, les gens, bougez.
Quatre flics essayent d'ouvrir la porte d'entrée.
Voix au téléphone : Tous les circuits sont occupés. S'il vous plait raccrochez et essayez à nouveau votre appel.
Cordy au portable : C'est pas le moment d'occuper les circuits ! Alors, ne me dites pas que les circuits sont occupés. Si les cicuits sont occupés...recevez quelques nouveaux circuits maintenant !
Les flics enlèvent les barres le long des fenêtres fermées.
Gunn aux gamins bougeant les fournitures : Allez, mettez les là.
Les flics se battent contre la porte d'entrée, sautant sur les rebords de fenêtres, se battant contre le porte arrière.
Angel : Comment je les arrête ?
Capitaine : Ce sont des bons flics. Il mettent leur vie sur la ligne. Ils meurent dans les rues.
Angel : Vous auriez du les éloigner de cette voie.
Capitaine : Je ne voulais pas les trahir !
Frappe la main d'Angel de sa gorge et fuit vers le fond de son bureau, pousse une armoire à dossier sur le côté et se glisse derrière une porte cachée derrière lui. Angel le suit.
Les gamins mettent des bibliothèques contre les fenêtres. Les flics brisent les vitres et un d'entre eux rentre et jettent un des gamins poussant la bibliothèque à travers la fenêtre.
Gunn : D'accord. Mettez les gamins au fond.
Anne : Mettez les en haut.
Les flics essayent de rentrer à travers les fenêtres et les gamins les frappent avec leur battes de base-ball.
Anne va surveiller une autre porte et un des flics rentre par le dessous de la fenêtre à côté d'elle et attrape son pied, essayant de la trainer dehors.
Anne criant est couché sur lui avec sa batte.
Cordy, portant un marteau, vient et frappe la main portant Anne, la faisant partir. Anne avance péniblement et elles poussent une chaise devant la fenêtre, juste pour avoir le flic prendre sa main par la fenêtre du dessus. Cordy lui file des bons coup avant qu'elles partent.
Jackson a vers une des portes de côté, sortant son arme il l'ouvre, juste pour être matraqué par un flic attendant de l'autre côté de la porte. Gunn arrive et frappe le flic pendant un moment avec sa batte, le faisant sortir, puis claque la porte et la verrouille.
Gunn tend une main vers Jackson, qui la prend, et se met debout.
Cordy : Gunn ! Gunn ! A l'aide.
Elle et Anne essayent de tenir la porte d'entrée fermée. Gunn et Jackson se dépêchent d'aller aider.
Le capitaine de police est dans une pièce arrière avec des bougies sur des étagères le long des murs devant des photos de numéros d'officier de police. Il fouille frénétiquement dans une malle, sortant une croix et quelque autre trucs quand Angel rentre.
Angel : Comment est-ce que vous les contrôlez, hmm ? (va inspecter les trucs sur la table, sort quelques trucs d'un bol) Les entrailles ?
Les laisse tomber alors que le capitaine ne réagit pas.
Deux des gamins sont bizarres, abandonnant la porte arrière et les flics passent à travers.
Les autres portes et la porte d'entrée s'ouvrent et des flics rentrent par les fenêtres. Un flic pousse Gunn contre le mur, un autre attrape Cordy.
Angel aperçoit une statue : On y est. C'est l'idole de Granath. Le dieu Zombie.
Prend l'idole alors que le capitaine charge en criant, la croix en l'air pour frapper. Angel brise l'idole sur la tête du capitaine et alors qu'il tombe au sol, couvert dans ses pièces, comme les zombies au refuge, se changeant en cadavres pourris.
Anne se rue dans les escaliers : Les enfants.
Cordy : Wesley !
Elle court vers le sofa et Gunn et Jackson suivent.
Gunn au paramedic : Préparez l'ambulance. (A Jackson) Aide-moi à le transporter.
Jackson : Hm-mm. Désolé. On dirait que les rues sont juste un peu trop sûres pour moi. Il est temps d'aller travailler.
Jackson part.
Cordy vient aider Gunn avec Wesley : Allons-y.
Cordy alors qu'ils soulèvent Wesley : Allez, mignonne.
Gunn : On y va.
Cordy : Ok.
Quartiers généraux de police, Angel va vers le bureau de Kate et s'asseoie.
Angel : Salut. J'ai pensé que tu voudrais savoir que j'ai réglé ton petit problème de flics.
Kate tend un dossier à Angel : Les crimes rapportés de cette enceinte. Depuis trois mois il y avait un meurtre toutes les deux semaines, un viol tous les deux jours, un vol toutes les demi-heures. Et c'est juste ce qu'on rapporté des gens de la communauté.
Angel : Je peux vivre avec ça.
Kate : Tu apprends à vivre avec beaucoup de choses, n'est pas ?
Angel lui redonne le dossier : Ouais.
Kate : Ce job me rend folle.
Angel : Je connais le sentiment.
Une femme donne un dossier à Kate : Pour vous, détective.
Kate : Merci. (regarde le dossier) Wyndham-Price, ce n'est pas le gars qui travaille pour toi ?
Wesley est couché dans un lit d'hopital avec Gunn assis dans une chaise à côté de lui. Wesley ouvre doucement les yeux. Gunn se rapproche.
Gunn : Hé.
Wesley le regarde doucement.
Wesley : Hé.
Gunn : Comment tu vas ?
Wesley : Oh, je sens que je suis dans une super affaire de douleur.
Gunn : Recevoir une balle va te faire ça.
Wesley : Et maintenant...(regarde l'IV dans sa main gauche) C'est de la morphine ? (Gunn hoche la tête) Et bien, c'est adorablement sanglant ! Rit.
Gunn sourit et attrape la main de Wesley pour un moment avant de retourner s'asseoir dans sa chaise avec un soupir.
La caméra passe à travers la fenêtre dans la chambre de Wesle, dans le couloir pou réveler Angel se tenant au bureau des infirmières regardant. Angel se tourne pour partir juste pour trouver Cordy derrière lui.
Cordy : Qu'est-ce que tu fais ici ?
Angel : J'ai entendu pour Wesley.
Cordy : Et bien, c'est super. Trop bête qu'il faille un blessure par balle pour te faire donner une merde. Wesley n'a pas besoin de toi maintenant. Nous n'avons pas besoin de toi. Tu es parti. Fais-nous une faveur et part.
Après un moment Cordy passe à côté d'Angel dans la chambre de Wesley. Angel regarde alors qu'elle donne une tasse de café à Gunn puis se penche pour balayer les cheveux de Wesley. Puis se tourne et part le long du couloir.
FIN