Le grand Bilan
(Titre VO : Reprise )
Angel, épisode 215 saison 2

Transcript français par : Jackie (redac@buffyfan.org)
Thanks to : Joan the English Chick (pisces@englishchick.com)
 

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Transcripts © Buffy Fan 2000/2001 - Merci de respecter les droits d'auteurs
Toute copie, même partielle de ce transcript est interdite. Les personnages ainsi que les droits de la série télévisée "Angel" ne nous appartiennent pas. Ils ont été crées par Joss Whedon, et lui appartiennent, ainsi qu' à Mutant Enemy, Sandollar Productions, Kuzui Enterprises, 20th Century Fox Television et the WB Television Network. Pour toute demande de diffusion, de n'importe qu'elle manière, veuillez vous adressez au webmaster de ce site.

~~~~~~~~~~ Prologue ~~~~~~~~~~

Précedemment dans Angel :

Angel : Vous êtes Denver ?

Denver : Y a pas un chat à par moi.

Denver : Un vampire qui attend de tuer un démon afin de sauver quelques humains crasseux ? Je ne comprendrais pas ça.

Thesulac : Il y a un hôtel entier ici plein d'âmes torturés qui peuvent vraiment se servir de ton aide.

Angel : Prends les tous.

Angel : J'essaye de réparer cent ans de mal impensable. Nouveau flashs ! Je ne peux jamais ! Jamais faire assez. Maintenant j'ai Wolfram et Hart qui me suivent, c'est trop !

Holland : Tu avait fait un travail stellaire Lindsey. Ne pense pas que les partenaires seniors ne l'aurons pas remarquer.

Angel : Darla a un coup de rédemption, mais ils le lui prenne.

Lila : Pour l'amour de Dieu, aide nous.

Holland : Des gens vont mourir.

Angel : Je ne peux juste pas sembler m'en soucier.

Angel ferme les portes.

Darla mord Holland.

Une pile de cadavre jonchant le sol de la cave.

Wesley s'élance derrière le flic dans "The Thin Dead Line."

Wesley : Attendez ! Officier attendez !

Le flic abat Wesley.

Kate : Tu apprends à vivre avec beaucoup de choses, n'est-ce pas ? Ce job me rend folle.

Angel : Je connaîs le sentiment.

Nous voyons un peu d'obscurité, un couloir abandonné mise en désordre avec des ordures et on entends quelque chose d'étrange, des petits cris. Angel arrive au coin d'une rue, cherchant la source des sons. Il ouvre une porte, marche dans la pièce et tire la chaîne de l'ampoule ballante allumée au plafond pour révélé la pièce où est empaillé plein de chèvres. Il voit une porte de l'autre côté de la pièce.

Angel ouvre la porte pour voir deux hommes préparant le sacrifice des chèvres.

Homme n°1 : Qu'est-ce qu'il y a ensuite ?

Homme n°2 lit un livret : Soit sûr que tous les troth soient fermement attachés et les sacrifices penchés comme c'est montré sur le diagramme F-12 pour garantir le pleine assèchement en une coupe d'offrande sacrée.

Homme n°1 : Oui, oui et ?

Homme n°2 : Utiliser une propre incision de la gorge en mouvement diagonal de sacrifice avec la dague sacré pour le pré-cérémonial. Je ne vois pas ça dans la boîte.

Homme n°1 : Regarde sous l'emballage, dépêche-toi !

Homme n°2 fouille à travers la boîte : Il n'est pas ici.

Il va regarder  une autre boîte.

Homme n°1 atteint le livret : Juste...juste donne...donne ça.

Angel jouant avec la dague : Vous savez...(les deux hommes se tourne face à lui) Je suis (glousse) remonté, je ne peux pas vraiment aider mais je remarque les chèvres. Ouais. Beaucoup de chèvres (se balade) les chèvres. Beaucoup. Ce sont des chèvres, les mecs !

Homme n°2 : Hey, c'est notre pré-cérémonial...(Angel claque la dague dans le mur et la pli dessus) dague de cérémonie ?

Angel : Alors poursuis-moi en justice. Ou mieux encore, fais ça a ton boss. Ce building est la propriété de Wolfram et Hart, vrai ?

Homme n°1 : Qu'est-ce que, qu'est-ce que tu veux ?

Angel : Je veux savoir qu'est-ce qu'ils vous font vénérer.

Homme n°1 : C'est pas tes affaires. Qui est-tu ?

Angel souriant : Moi ?

Angel se projete à travers la pièce et épingle les deux mecs contre le mur par leur gorge.

Angel en visage de vampire : Et bien, je suis juste le type de gars qui déteste voir du bon sang être gaspillé.

Homme n°1 : Regarde, mec, nous recevons juste de l'argent pour faire l'abattage et dire la prière.

Angel : Qu'est-ce que vous prier ?

Homme n°2 : Nous ne savons pas !

Angel : Comment vous ne pouvez pas savoir ?

Homme n°1 : Le rituel. C'est, c'est tout en latin. Ils disent, nous devions juste, une espèce de, tu sais, ils sont hors de là.

Angel : Ils ?

Homme n°1 : Comme tu dis, Wolfram et Hart.

Homme n°2 : Nous savons tous que le sacrifice doit être fait à minuit ou quelque chose là dehors doit vraiment en avoir marre.

Angel les regarde autrement : Bien.

Il les laisse partir et commence à saccager l'endroit aussi les deux hommes s'enfuient par la porte.

Intro.

Gunn est en train de vérifier l'arrière de la tête à Stéphanie.

Gunn : Je ne vois rien.

Wesley est assis dans un fauteuil roulant à côté d'eux : Pas une piste.

Cordy à Francine : Quand elle va derrière l'école les autres enfants ne doivent jamais remarquer qu'il y a un troisième oeil grandissant là derrière. (Tapote la tête de Stéphanie) Et ça devrait revenir avant vous savez ça.

Francine : Quoi ?

Cordy : Les cheveux ? Les...j'indique les cheveux, c'est dans, dans le dos, là... Pas le troisième oeil ! Parce que ça ne devrait pas revenir (à part chez Wesley) Hein ?

Wesley : Pas de raison. (la main de Stéphanie une ventouse) Le charme curatif semble avoir marché, comme un charme, vraiment.

Francine : Nous ne pouvons vous remercier.

Wesley : Oh, ne donnez pas une autre pensée.

Gunn : C'est ce que nous faisons.

Cordy : Enfant d'une mission.

Francine : Non, je veux dire, nous ne *pouvons* pas vous remercié, et nous ne pouvons pas vous payer non plus. (prends un morceau de papier) Cette facture est ridicule.

Cordy la prend : Qu'est-ce que vous voulez dire ? Nous ne vous avons pas facturé pour la mandragore.

Francine : Mon mari dis que c'est inadmissible.

Wesley : Qu'est-ce qu'il a ? Et justement qu'envisage votre mari pour que se sois un prix honnête pour la suppression du troisième oeil de derrière la tête de votre enfant, madame Sharp ?

Francine : Ben, rien, Steve dit que puisque c'est impossible d'être mordu par un démon et d'avoir un, troisième oeil qui pousse derrière une tête, et que manifestement vous êtes des gens de contrebande, quelques sorte d'arnaques, et vous nous soutirer de l'argent. (Elle empoigne la main de sa fille) Viens allez, Stéphanie.

Cordy : Arnaque ? L'arrière de la tête de l'enfant était en train de clignoter !

Wesley : Non, laisse la partir. Franchement c'est facile pour les Sharp de se débarrasé de nous comme des artistes plutôt attrape-nigaud qui accepte la sinistre réalité qu'un Skilosh pond et éclot presque en entier dans le crane de leur enfant.

Gunn : Zut, pourquoi s'étonner ?

Cordy : Formidable. Alors pendant qu'ils sont satisfassent de leur refus, nous avons une facture à régler.

Gunn : Tu sais qu'elle a raison.

Gunn marche et empoigne son manteau.

Wesley : Peut-être, donne du temps, les Sharp voudrons changer d'avis.

Gunn : Vraiment ! Parce que c'est ce que ces gens font, changer d'avis.

Cordy : Où est-ce que tu va ?

Gunn : Je pense que je vais voir ce qui se passe dans le quartier. Je me procurerais une sensation en faisant plus de bien *là-bas* qu'en restant assis ici avec vous deux.

Wesley : Les choses vont se rattraper. Ils sont obligés de...

Cordy : Ouais. C'est L.A. Le mal est probablement juste lié au trafic ou quelque chose.

Gunn : Bon, tu me laisse savoir quand il arrive ici, hein ?
 
 

Le couloir des bureaux de Wolfram et Hart sont perquisitionné avec les gens. Les portes d'ascenseur s'ouvrent un peu et Lilah fait un pas dehors, elle marche dans le couloir.

Lilah : Lindsey, je t'ai cherché partout. (Lindsey continue de marcher et elle tombe à côté de lui) Où est-ce que tu va ?

Lindsey : Déjeuner.

Lilah : Tu pense vraiment que c'est le moment pour déjeuner ?

Lindsey : Tu veux dire le temps de déjeuner ?

Lilah :  L'examen est dans deux jours.

Lindsey : Je suis au courant de ça.

Lilah : Alors tous le monde l'est. Regarde chez eux. C'est comme s'ils avaient eu la peur de...et bien "Dieu" serait probablement être le mauvais mot.

Lindsey : Ils sont juste apeuré.

Lilah remet à Lindsey une enveloppe en papier kraft.

Lilah : Ils devront être. Je deterre tout ce que je pourais trouvé sur les soixante-quinze ans compte rendu. Ils sont tous la dedans. Fais les soixante-huit purge de 68 comme le passé amusant. Presque la moitié de mi-management était saccager. Et Lindsey, ils se servent du véritable pillage.

Lindsey : Je vais éclaircir ça, Lilah.

Lilah : Mieux toi, parce que ce n'est pas seulement ton cul en ligne. C'est le mien, aussi. Nous sommes supposé être en train de fuir ce partage ensemble, tu te rappeles ?

Lindsey : Exact.

Lilah : J'ai inclus quelques suggestions sur comment nous pouvions laisser tomber notre porte document avant jeudi.

Lindsey : Regarde, nous passerons les examens, ou non. Tu pense vraiment que les quelques minutes qui restent de rites et riuels sombres vont faire une différence maintenant ?

Lilah : Autrement tous le monde donnerait l'impression de penser ainsi. Jai entendu réellement Henderson traîner sa première-née hors de la compagnie jour de surveillance pour l'offir pour...faire roussir un nez. Ma mère avait raison. J'aurais du avoir des enfants.

Lindsey : Nous devrons supporté notre rapport. C'est la seul chose que nous avons.

Lilah : Alors  nous sommes mort ! Je dois te rappeler notre arnaque collective ? Lesquelles des deux sont encore quelque part là dehors...tu n'as pas entendu quelque chose, hein ? Tu me le dirait le dirait s'ils te contactait.

Lindsey : Il les a mis au feu, Lilah. Une paire de vampires aussi résistant que Darla et Drusilla ont besoin de temps pour recouvrer quelque chose tel que ça.

Lilah : Bon, elles voudront juste être comme ça pour s'éclater maintenant !

Lindsey : Je ne voudrait pas m'inquiéter.

Lilah : Quelqu'un se l'était procurer ! Nous ne recevrons pas un second coup de ça, Lindsey. Rien ne pourra arrivé entre maintenant et jeudi pour gâcher ça.
 
 

Angel est en train de parler alors que nous suivons Kate autour des officiers de police.

Angel : Sang sacrifice, des clandestins collectifs, des totems...Je ne sais pas ce que ça signifit, mais c'est une histoire de toutes part de la ville. Je veut dire, ça peut être un relèvement, mais, tu sais...Je...Je ne sais pas vraiment. Je veux dire les prières, les rituels, je pense qu'ils sont trop générique pour ça, tu sais, chaudière blinder. Ils peuvent être en train de préparer la manière pour quelque chose.

Kate : Peut-être qu'ils sont juste fatigué de faire pleuvoir ça. Pourquoi est-ce *si* important pour toi ?

Angel la suit derrière le bureau.

Angel : Parce que c'est important pour eux.

Kate : oh bien ! Et donc il *devra* être stoppé.

Angel : Kate, regarde, j'ai besoin de ton aide. Je n'ai pas les ressources...

Kate : Mon aide ? Tu as besoin de *mon* aide ?

Angel : Ouais...(soupir) Au plus petit ils charcutent les animaux sans permis. Tu peux les avoir pour ça.

Kate : Non, je ne peux pas. Je ne peux les avoir pour rien, Angel. Je suis de service en attendant une audition sur jeudi.

Angel : Audition ?

Kate : Tu te souviens Atkinson ? Le capitaine chez les deux-trois ? Il m'a blamer pour l'accord d'accès à quelques hallucinés qui casse dans ce bureau et frappe toujours le saint de merde hors de lui. Il a classé une plainte officiel.

Angel : Il avait augmenter les zombis flics et les envoyait se perdre dans la rue.

Kate rit : Et je suis certaine qu'une fois que j'aurais expliqué ça aux Affaires Internationales tout ça va partir. Et ils ont juste été *chercher* une excuse...Et tu sais ce qu'ils disent me concernant. Je suis un flic. C'est à dire tous ce que j'ai toujours...Je ne peux pas endurer une suspension...Je voudrait juste...

Angel observe son allure pendant un moment.

Angel paisiblement : Je suis désolé.

Kate : Qu'est-ce que tu as ? (ouvre un tiroir et sort un dossier) Parce qu'ils veulent juste savoir ça, aussi.

Elle laisse tomber une photo après l'autre sur le bureau. Tous sur les cadavres dans la cave à vin.

Angel : Tu n'as rien à voir avec ça.

Kate : Je ne sais pas.

Angel : Non.

Kate : Hmm, c'est tellement drôle comment ces gens sont mort menacé par un intrus à leur bureau. Un intru que *J'ai* attrapé et libéré dans la rue trois heures avant les plaignants qui ont été trouver massacré.

Angel : Tu sais qui est responsable pour ça.

Kate : Ouais. Mais je ne peux cependant pas comprendre pourquoi le laboratoire me dit maintenant qu'il semble que le suspect ou les suspects *n'ont pas* enfoncer...ils ont forcé un fourgon dehors...les victimes étaient enfermé dans cette cave à vin avec leur attaquants et je pense que j'ai *fini* de t'aider maintenant.

Elle part.
 
 

Lindsey entre dans son appartement.

Lindsey : Désolé je suis en retard. J'ai voulu rentrer à la maison pour déjeuner mais...tout est insensé au bureau avec le compte rendu qui arrive.

Il pose son attaché caisse sur une chaise, il conserve une bouteille dans un sac recouvert de papier brun il va jusqu'au rebord de canapé s'asseoir.

Lindsey : Et j'ai voulu t'appeler, mais je ne voulait pas avoir à te réveiller pour répondre au téléphone. Comment te sent-tu ?

Darla est couchée sur le canapé couverte dans un afghan bleu ciel, couverte de cicatrice encore visible sur sa figure, regarde faible.

Darla : Résistante aujourd'hui, je suppose.

Lindsey : Bien. Tu es devenu résistante tous les jours.

Darla : Seulement parce que tu m'as sauver...Si j'avais encore été dans ces égouts tu ne m'aurait pas trouver...Je ne sais pas comment te remercié.

Lindsey : Drusilla...elle vient à moi...Tu te rappelle ce que je te disait ?

Darla : Elle est parti.

Lindsey : Ouais, elle va revenir.

Darla soulève un peu sa tête : Non...Tu es le seul qui ne ma pas abandonné.

Lindsey : Et je le voudrait jamais.

Darla caresse le côté de son visage. Lindsey tire la bouteille hors du sac et la lui donne.

Lindsey : Là.

Darla ouvre la bouteille.

Darla : C'est froid.

Lindsey : Ouais. C'est le seul moyen de garder ça frais.

Darla : Pas le seul moyen. (renifle ça et sourit) Hmm, au moins c'est humain.

Lindsey se lève : Je vais prendre une douche.

Darla : Tu prends toujours une douche quand tu revient de cet endroit. Je ne sais pas pourquoi. Tu n'es jamais sale.

Lindsey déboutonne sa chemise : Je suis toujours sale.

Darla roule ses yeux, lorsque Lindsey ferme la porte de la salle de bain après lui, elle pousse la couverture de côté et se lève. S'étire. Pose la bouteille par terre et comme la douche commence à se mettre en marche elle commence à aller vers la sacoche de Lindsey. Trouve l'enveloppe de Lilah et vérifie ça tandis qu'elle avale une gorgée de sang.
 
 

Angel est en train de marcher dans le Caritas, où le Host bavarde avec le barman.

Host : Le remplacer avec quelque chose. Je n'aime pas. Être moderne. Je sais que tu peux. (À Angel comme il s'installe à côté du Host) Peux-tu croire ceci ? Il est même pas dix heures et nous avons déjà mis en marche des paroles inutiles sur la bile.

Angel : Nous avons besoin de parler.

Host : Et tu devait réservé en avance. Je ne pense pas que nous pouvons te recevoir sur scène ce soir.

Angel : Je ne suis pas ici pour chanter.

Host : Oh, c'est comme que l'on appelLe ça maintenant ?

Angel : Quelque chose vient.

Host : Vraiment ? Je pensais juste que c'était les élogieux machos ramenés moralement dans la foule ambigu.

Angel se tourne aussi pour voir que l'endroit est rempli d'humains en vêtement d'affaires.

Angel : Les avocats.

Host : Facile, à abattre. Je sais ce que tu es en train de penser. Et la projection de toi-même de l'autre côté des six tables et la partie de torsion de leur cou ? C'est pas une bonne idée.

Angel : Tu les as compris. Tu les a vu. Tu sais ce qui vient.

Host : Maintenant, gâteaux d'Ange, tu n'apprécierais pas si j'étais en train de parler de tous tes trucs personnels à tous les Tom, Dick et les vampires qui passeraient par cette porte, n'est-ce pas ?

Angel : Est-ce que c'est mal ?

Host : Oy. Mais je ne peux vraiment pas te divulguer ce que je lit dans un autre être. Mais je peux te dire ce que j'entends dans les toilettes des hommes. Ca vient vendredi. Et ça donne toutes leur affaires légales dans un tournant sur ça.

Angel : Quoi ?

Host : Et bien, tous les soixante-quinze ans tes amis de Wolfram et Hart ont cet examen. Je pense que la peur générale n'est pas tellement pour l'examen, mais plus pour l'examinateur. Et disons juste que ce n'est pas Rex Reed.

Angel : Qu'est-ce que c'est ?

Host : C'est le mal. C'est sombre. C'est impitoyable. En fait, maintenant que je dit ça fort ça semble un affreux tas comme Rex, n'est pas ?

Angel : Peut-être que tu pourrais juste me dire en un mot ce que c'est.

Host : Pas vraiment. Mais je peux te le dire en deux. Partenaires...Seniors.

Pause.

Deux avocats chantent un duo de 'Reunited' sur la scène du Caritas. Angel va vers la table où le Host est assis regardant la scène et s'asseoit à côté de lui.

Angel : J'ai besoin de plus.

Host : Et bien, on a tous besoin de plus, chéri.

Angel : Plus d'informations.

Host : Ce que tu as besoin de plus est une attache. Parce que tu es à la fin des tiens.

Angel : Tu vois, je sais comment ça marche. Je ne te demande pas de moucharder leurs destinées. Je me fous de ça. Mais aller chez les Partenaires Seniors, c'est ma destinée.

Host : Ah oui ? Parce que je n'ai pas vraiment présenté une destinée avec toi dedans récemment. C'est une sorte de ténèbres. Tu vois, tous ces rites et rituels sales que tu es allé cracher sur toute la ville ? Ils ne veulent rien dire. Enfants  nerveux. Essayant de marquer autant de points qu'ils peuvent avant que papa ne rentre. J'ai des nouvelles. Papa ? Pas impressionné. De toute façon, les stopper ne va pas prévenir ça de passer dans notre monde vendredi.

Angel : Qu'est-ce que 'ça' et comment faire pour l'arrêter ?

Host : Je ne sais pas et tu ne dois pas.

Angel : Est-ce que ça peut être tué ?

Host : Le plus qui peut se manifester afin de bouger dans cette dimension peut être tué. Un genre de bas-côté d'être ici. Ca et le tellement nommé 'musical' de Andrew Lloyd Webber.

Le Host prend une gorgée de sa boisson pendant qu'Angel continue de le regarder.

Host avec un soupir : La bande de Blacknil. Ne me demande pas ce que ça veut dire. Je ne sais pas. Je ne devrais même pas t'en dire plus.

Angel : Merci.

Host : Bien sûr.

Angel commence à se lever, mais le Host met une main sur son bras pour l'arrêter.

Host : Hé, Agence d'intérieur. J'ai attrapé ça d'une douzaine d'entre eux ce soir.

Angel : Qu'est-ce que ça veut dire ?

Host : Ca peut être la source. Qui sait. Maintenant arrête de me harceler.

Angel se lève et s'en va.

Host l'appelant : Oh, et j'ai attrapé une autre chose. (Angel se retourne pour regarder en arrière) Ils aimeraient vraiment te voir mort.

Angel se tourne pour voir un groupe d'avocats lui lançant des regards hostiles.

Angel cherche dans ses livres à l'Hypérion. Grattant sa tête il marche vers la bibliothèque presque vide, regarde les quelques livres, les jetant par terre, puis regarde autour de lui avec un soupir.

Angel ouvre les portes et rentre les bureaux du nouveau Angel Investigations, ne s'ennuyant pas à fermer les portes derrière lui.

Wesley : Doux Jesus.

Cordy : Angel.

Wesley : On peut...t'aider ?

En ne les regardant même pas, Angel marche vers la bibliothèque derrière le bureau et commence à regarder les livres.

Wesley : Excuse-moi, cette...cette zone est seulement pour les employés !

Angel : Ouais. Vous avez pris tous les livres.

Cordy : Ouais, et bien, tu as le gaufrier.

Angel prend un livre et commence à partir mais Cordy le lui prend des mains.

Cordy : Hé ! Non ! Tu ne peux pas prendre ça, je..je..je suis entre ça. (remet le livre sur l'étagère et lui montre l'annuaire) Là, prend celui-là.

Angel prend l'annuaire, le jette sur le côté et se rapproche de Cordy, qui refuse de bouger entre lui et l'étagère.

Angel : Ne me fais pas te pousser.

Wesley : Donne-lui le livre, Cordélia.

Quand Cordy ne fait que regarder Angel, Wesley se lève de son fauteuil roulant et se met sur ses pieds.

Wesley : Donne-lui juste ce putain de truc ! Laisse-le sortir.

Cordy regarde Wesley, puis fait reculer Angel, se tourne, prend le livre et le lui montre.

Angel le prend et marche vers la porte.

Cordy : Ici. Je ne veux même plus savoir ce que tu es.

Angel : Je suis un vampire. Fais gaffe.

Angel claque la porte derrière lui et Wesley s'affale doucement dans sa chaise.

Cordy : Quel crétin.

Wesley : Cordélia...

Cordy : Je veux dire si c'étais quelqu'un d'autre j'aurais juste dit 'pose-ça tout de suite' !

Wesley : Cordélia...

Cordy marchant : Mais...non, pas lui. Un moment décent et il se change en méchant vampire psychopathe. (faché) Ce qui, en passant, serait mieux pour tout le monde. Mieux pour lui parce qu'il aura eu un peu, et mieux pour nous parce que là on pourra (fait un mouvement de plantage) le planter après.

Wesley : Cordélia, ambulance ?

Cordy regarde avec horreur à la grande tache de sang sur la chemise de Wesley.

Cordy : Oh, mon dieu.

Quartiers généraux du LAPD, jour.

Homme : Si vous avez quelque chose à dire pour votre défense, Detective Lockley, rien du tout, c'est le moment.

Kate reste silencieuse.

Lieut : Pour l'amour de Dieu, Kate, dit quelque chose.

Kate : Qu'est-ce que je suis supposé dire, Lieu ? Ils ont raclés tous les détails moches des huit dernières semaines. Renversé ça sur la table comme si rien n'avait de contexte et je suis supposé expliquer ? Je faisais mon job.

Homme : Ce qui parait que vous étiez en train de faire, détective, c'est vous isoler. Vous vous êtes retirée de l'influence stabilisante de vos camarades officiers, développée cette fascination morbide pour des dossiers d'une nature macabre et bizarre, et vous ne semblez même pas pouvoir donner une explication de pourquoi. Maintenant votre père, il était un vétéran respecté de ce département. Et vous étiez celle qui a découvert son corps après qu'il ait été tué, c'est vrai ?

Kate : Oui.

Homme : Et l'affaire n'a jamais été élucidée ?

Kate : Il n'y a pas d'arrestation qui ont été faites.

Femme : Ca doit être frustrant pour vous ?

Kate : Je fais avec.

Femme : Vraiment ? Vous n'avez pas pris de congés après sa mort. Vous êtes tout de suite revenue travailler.

Kate : Ce n'est pas vos affaires.

Homme : Ca devient nos affaires quand ça affecte les performances.

Femme : C'est vraiment important quand vous souffrez d'une perte de cette nature de prendre du temps pour avoir de la peine. Alors, nous comprenons. Nous voulons savoir, nous ne vous jugeons pas.

Kate : Non, vous me virez juste.

Homme : Vous avez arrêtée d'être une part de la force il y a longtemps.

Kate : Qu'est-ce que je suis supposé faire ?

Femme : Nous allons bien sûr mettre à votre disposition un conseiller psychologique au frais de l'état comme part de votre rupture.

Kate prend une grande bouffée d'air et la laisse sortir.

Kate : Vous les gens n'avez aucune idée de ce qui se passe dans cette ville.

Homme : C'est la partie où vous commencez à parler des monstres ? (Kate ne répons pas) Nous avons besoin de votre arme et votre badge.

Kate avale, prend son arme et badge et de son porte-document et le ferme. Se lève et va poser son arme et badge sur la table devant l'homme. Lieu la regarde.

Lieu alors que Kate marche doucement vers la porte : Je suis juste content que votre père ne soit pas dans les environs pour voir ça.

Un vieil homme portant des lunettes dans une librairie regarde la TV.

Angel : Vous êtes Denver ?

Denver lève les yeux : Je le crois pas.

Angel et Denver regardent des livres dans l'arrière salle.

Denver : Tu sais que tu as changé ma vie ce jour. Je veux dire, un vampire vient chez moi cherchant à tuer un démon pour sauver l'existence des humains ? J'ai pensé si quelque chose comme ça pouvait arriver alors il devait vraiment être bon dans le monde.

Angel : C'est vrai. Alors tu n'as jamais entendu ce terme avant 'agence d'intérieur' ?

Denver : Hé, au fait comment ça a marché ? C'était un Thésulac, démon paranoïaque, si je me rappelle ?

Angel : Ouais. Je ne sais pas. Je pense qu'il a tué tout le monde.

Denver : Oh. Et bien, au moins, tu as essayé.

Angel : En fait, j'ai suis assez sorti et laissé le démon avoir l'endroit et tout le monde dedans. Alors on ne peut pas être sûr de l'endroit de cette agence d'intérieur, mais tu crois que ce Partenaire Senior est un démon Kleynach ?

Denver arrête de regarder Angel et baisse les yeux sur son livre.

Denver : C'est vrai. Kleynach. Beaucoup d'entités sombres utilisent la forme d'un Kleynach pour se manifester parce que le Kleynach n'a pas besoin de faire confiance pour être conjuré ou mis en avant. Ils peuvent aller et venir comme ils veulent avec cet anneau.

Angel : Parle moi de l'anneau.

Denver montre une illustration.

Denver : La bande de Blacknil. Chose simple, évidente. Tu ne lui donnerais pas un second regard dans une boutique de prêteur sur gages, mais c'est la source de son pouvoir pour aller entre les dimensions, et c'est ce qui va être utilisé pour le ramener...et le faire partir.

Angel : Partir ?

Denver : Oui, bien sûr.

Angel : Bien, est-ce que quelqu'un peut utiliser l'anneau ?

Denver : Qu'est-ce que tu veux dire ?

Angel : Est-ce que ça va me ramener à l'agence d'intérieur ou d'où vient t'il ?

Denver : Ca se pourrait...si tu es fou ! Tu réalises ce qu'est probablement cette agence d'intérieur ?

Angel : Je crois que j'ai une assez bonne idée.

Denver : Enfer ! Pourquoi est-ce que tu veux aller en enfer ? (Angel ne répond pas) Tu vas aller essayer et descendre là-bas et les détruire tous, n'est pas ? Et bien, ça a certainement rattrapé le temps que ça...(Angel lève les yeux sur lui et Denver se traine) Encore, pas une idée terrifiante. C'est du suicide, vraiment.

Angel : Tu vois, est-ce que l'anneau va m'y emmener ou pas ?

Denver : Et bien, tu dois l'avoir en premier. Et pour avoir l'anneau tu dois tuer le Kleynach.

Angel : Comment ?

Denver : Tu arrives à regarder le seul gars qui peut te dire comment.

Angel : Comment ?!

Denver : Pour tuer le Kleynach et avoir l'anneau tu as besoin du gant.

Denver part chercher un autre livre d'une étagère.

Angel : Ok, maintenant tu prépares ça.

Denver portant un livre ouvert : La légende dit que le Kleynach s'est élevé de leur monde de démon, a rapté et pillé tous les villages d'hommes et tous ceux qui se battaient contre eux étaient incinérés, soit ils frappaient avec le poing ou l'épée. Mais un chevalier courageux et digne...il avait le gant. (Pose le livre devant Angel, montrant une interprétation du gant) Modelé et béni par tous les pouvoirs de la lumière. Et quiconque porte ce gant peut tuer le Kleynach juste en l'attrapant par la gorge.

Denver marche dans une autre partie de son magasin et revient portant un gant correspondant.

Denver : Attrapé en soixante-cinq dans un vide-grenier à Covina. A été utilisé comme un gant de cuisine. Maintenant, je te le donne. Pas de prix. Parce que la vérité est que tu as fait changer ma vie. Et j'ai un sentiment que c'est ces choses du temps vont partir...

Les yeux de Denver s'ouvrent soudainement et du sang sort de sa bouche. Angel baisse les yeux pour voir le bout d'une épée ensanglantée sortant du ventre de Denver. Il parvient à attraper Denver alors qu'il commence à tomber et quelqu'un conduit l'épée à travers Denver et dans Angel. Darla se dresse derrière Denver.

Darla : C'est vrai, Angelus, va vers le saignement mortel, parce que c'est malin.

Angel s'affaisse en arrière par terre et Darla attrape le gant.

Darla : Cet anneau n'est pas pour la vengeance, Angelus, c'est pour le pouvoir. (frappe Angel au visage) On passera à la partie vengeance bientôt.

Avec ça Darla sort pendant qu'Angel sort doucement l'épée de son corps. Il regarde dans la direction où Darla vient de disparaitre, puis se couche juste là le souffle coupé.

Pause.

Wesley est assis dans le sofa de son appartement portant un peignoir.

Wesley : Et c'est la chose importante.

Virginia : Mais tu ne pouvais pas avoir fait ça métaphoriquement ? Tu sais, avec un mot dur ? Tu dois le faire dans la façon je-me-lève-maintenant-et-saute-a-six-point-de-suture ?

Virginia met un plateau de thé sur la table alors qu'elle s'asseoit sur le sofa et commence à verser du thé.

Virginia : Je crois...qu'avant que tout ça soit arrivé je n'ai jamais vraiment considéré comment ton travail était dangereux.

Wesley : Et bien, bien sûr que ce que je fais est dangereux. Tu as oubliée comment on s'est rencontré ? Tu était attaché à un autel sacrificiel pendant que la déesse Yeska était appelé des régions basses pour te manger.

Virginia : Mais j'ai grandi avec toutes ces sortes de trucs. Les trucs rampants et les monstres effrayants je peux m'en occuper. Mais les armes ? Une genre de façon de rendre ça un peu trop réel, tu sais ?

Wesley : L'arme était tiré par un zombie, si ça peut te faire te sentir mieux.

Virginia : Tu sais, érangement, non.

Virginia se penche soigneusement et pose sa tête sur la poitrine de Wesley. Wesley embrasse sa tête et touche ses cheveux.

Virginia : Est-ce que ça doit toujours sembler comme une bataille méritant d'être combattue ?

Wesley : Certaine moins que d'autre.

Virginia : Collectivement je veux dire. Beaucoup de personnes, ils ne reconnaissent même pas le mal, laisse seul essaye de le combattre. Et ils n'ont pas à s'enrouler eux-mêmes dans les bandages pour empêcher leur intérieur de s'écrouler.

Wesley : C'est vrai.

Virginia : Je ne crois pas que tu l'envisages...peut-être abandonner ça....pour quelque chose d'autre ?

Wesley : Tu pourrais être un quelqu'un qui le voudrait ?

Virginia : Je ne sais pas. Mais parfois je me sens comme si je devais être enrouler dans les bandages...pour empêcher mon intérieur de s'écrouler.

Wesley avale : C'est difficile pour toi, n'est pas ?

Virginia : Je n'aime juste pas te voir blessé.

Wesley : Non. Je veux dire...je veux dire rompre avec toi.

Virginia lève les yeux sur Wesley, mais ne dit rien.

Kate marche dans son appartement portant un carton avec les trucs de son bureau.  Pose le carton, enlève sa veste et se serre une boisson forte. Voit les étagères portant ses trophés et plaques et va les enlever pendant qu'elle essaye de retenir ses larmes. Attrape une photo de son père et commence à pleurer.

Une voiture noire arrive devant les bureaux de Wolfram et Hart la nuit et Lilah et deux gardes du corps en sortent.

Lilah : Vous restez proches tous les deux.

Alors qu'ils sont près des portes avant, Angel saute derrière le trio et frappe les deux gardes du corps inconscients avant qu'il ne sache qu'il est là.

Lilah : Merde ! (frappe un des gardes inconscient) Je savais que vous étiez un gaspillage d'argent les gars.

Angel : J'ai remarqué que tu ne te gare plus au sous-sol Lilah.

Lilah : Ce n'est pas sûr. Qu'est-ce que tu veux ?

Angel : Je veux la même chose de toi que j'ai pris à Lindsey.

Avec ça il prend sa main droite.

On voit Lilah presser son pouce droit sur un scanner dans l'ascenseur sécurisé.

Voix : Bonsoir Miss Morgan. Quel étage s'il vous plait ?

Lilah : Quinzième. Tu sais très bien que tu vas mener la sécurité où tu iras du moment que tu es à l'intérieur.

Angel : Je le considère.

Angel grimace un peu de douleur et Lilah remarque qu'il glisse sa main vers son ventre là où Darla la poignardé avant.

Le téléphone sonne au nouveau Angel Investigation et Cordy répond.

Cordy : Bonsoir. Angphlel Investigations, nous aidons les faibles, en quoi pouvons-nous vous aider ?

Wesley au téléphone : Qu'est-ce que c'est que ce nom Angphlel ?

Cordy : Oh, il y a juste quelque noms que je ne dit pas en ce moment. Et bien, qu'est-ce qu'il y a, Wesley ?

Wesley : C'est juste...je ne sens pas ça vraiment super.

Cordy : Oh, et bien, tes boyaux sont ouverts.

Wesley : Hum, je pense que je ne viendrait pas peut-être demain.

Cordy : Pas de grosse affaire. Ce n'est pas comme s'ils abattaient la porte. Non, tu devrais rester à la maison, passer du temps avec Virginia.

Wesley après un moment : Oui. Euh, et toi. Tu devrais te sortir. Tu es jeune, seule. C'est une nuit de Vendredi dans la ville de...Angphleles ? Il doit y avoir quelqu'un que tu peux appeler.

Cordy : Oh, non, parce qu'alors je devrais avoir quelque amis. Je n'en ai pas.

Wesley avale : Ce n'est pas vrai.

Cordy après un moment : Tu ne calcules pas.

Wesley : Merci.

Cordy : Tu sais ce que je veux dire.

Wesley : Les choses vont aller mieux Cordélia...pour nous tous. Tu vas voir.

Cordy : Je t'appellerais demain. Pour voir comment tu te sens.

Wesley : Ca devrait aller.

Cordy : Bonne nuit, Wesley.

Raccroche le téléphone.

Wesley : Nuit.

Cordy est sur le point de sortir quand le téléphone sonne encore.

Cordy se retournant : Oh, zut, Wesley. Zippity dou da, d'accord ?

Décroche le téléphone : Allo ?

Francine tourne ses cheveux avec une main pendant qu'elle tient le téléphone avec l'autre.

Francine : Ms. Chase ?

Cordy : Oh. Mrs. Sharp !

Francine : Nous espérions que vous étiez encore au bureau.

Cordy : L'arrière de la tête de votre fille va toujours bien, hein ? Parce que, ce n'est pas comme si on offrait une paye de garantie. Mais alors, vous ne nous avez jamais payé, n'est pas ? Si ? Maintenant ? Non, c'est super ! Hum, vous êtes sur ma route, donnez ou prenez...trente miles. Chèque personnel, uhh...normalement non, mais..mais mais bien. Hum, vous pouvez me redonner l'adresse ?

Allume la lumière du bureau et écrit l'adresse sur un bloc de papier.

Cordy : Uh-huh. Ok. Super, à bientôt.

Francine raccroche le téléphone et se tourne pour lever les yeux sur un démon moche à la peau blanche.

Francine : Hum, une d'entre eux...et en route maintenant.

Le démon parvient à toucher les cheveux de Francine et elle regarde au loin. Le démon met son autre main sur son menton et brise son cou avec un claquement rapide.

De retour à Wolfram et Hart.

Quelque figures volées marchent autour d'un pentagramme peint par terre secouant des brûloirs à encens. La pièce est remplie d'avocats. Lindsey regarde sa montre. Reed vient à côté de lui.

Reed : Je ne vois pas to co-vice-présidente ici, Lindsey. Ca ne semble pas bon.

Lindsey : Oui, monsieur.

Un homme arrive et murmure quelque chose à l'oreille de Reed.

Reed : Et bien, trouve-le. Négocie avec ça !

L'homme part.

Lindsey : Il y a un problème ?

Reed : Quelqu'un a juste laissé un vampire sur ce sol.

Lindsey balaye la pièce remplie et voit Lilah venir avec Angel.

Lindsey montre : Là !

Lilah donne un coup de coude à Angel dans les boyaux et part. Angel se force après elle, encore courbé. Lindsey se rue dans la pièce, écartant les gens de son chemin.

Reed : Sécurité.

Les hommes de sécurité commencent à bouger, écoutant leur oreillettes.

Angel repère une autre partie de la pièce et balaye la foule. Sort une bouteille d'eau, et, enlevant le bouchon, barbote dans la foule. Attrape les longs cheveux noir d'une petite femme et l'enlève pour réveler des cheveux blonds en dessous. Jette l'eau dans le visage de Darla alors qu'elle se tourne et vampe.

Angel : Vampire !

Alors que la foule de moud autour d'eux Angel essaye d'enlever le gant des mains de Darla. Darla frappe dans sa tête l'envoyant voler. Deux gardes de sécurité le tacle avec des pieux, mais elles les chassent et avance vers Angel.

Lindsey les regarde se combattre.

Reed se pose sur ses genoux derrière l'une des figures volées alors que l'air au-dessus du pentagramme commence à trembler et un démon habillé de rouge se matérialise. Angel enlève finalement le gant de la main de Darla et l'envoie sur le côté. La sécurité converge vers Darla avec des pieux pendant qu'Angel met le gant.

Lilah : Plantez la salope !

Lindsey frappe Lilah au menton et va vers Darla, frappant le dernier garde de sécurité.

Le Kleynach habillé de rouge se retourne et Angel se lance sur lui à travers la pièce, l'attrapant par la gorge avec le gant. Dès que le gant le touche, le Kleynach commence à se disolver avec un cri, pendant que lui et Angel tombent en arrière à travers la fenêtre. Lindsey aide Darla à se lever et va vers la porte. Elle se tourne vers lui un moment, puis sort.

Lilah, le coin de sa lèvre en sang, regarde la fenêtre brisée.

Angel dégringole les quinzes étages par terre, et attérit, tenant encore la robe, dans une averse de verre. L'anneau se pose à côté de lui avec un tintement métalique.

Grogant un peu Angel l'attrape et se force à se mettre debout. Il y a un sans-abri assis sur un pot dans le fond, regardant.

Angel : Ok. Agence d'intérieur. (il met l'anneau) Allons finir ça.

Le ding d'un ascenseur qui arrive et Angel se tourne pour voir les portes s'ouvrirent sur le mur extérieur d'un immeuble derrière lui.

Pause.

Holland se tient aux portes ouvertes de l'ascenseur tapant doucement des mains.

Angel se rapproche doucement.

Holland : Felicitations. Super victoire.

Angel : Vous n'êtes...

Holland : Holland Manners.

Angel : ...pas en vie.

Holland : Oh, non. Je suis tout à fait mort. Malheureusement mon contrat avec Wolfram et Hart s'étend bien au delà de ça. (fait un grand sourire à Angel, puis bouge sa tête) Saute dedans. Tu as certainement gagné ça.

Angel rentre doucement, regardant Holland, qui rit.

Holland : Non. Pas de fantôme ici. Non, c'est juste moi. Moi mort. (pousse le col de se chemise de côté pour montrer à Angel la marque de morsure de Darla, puis atteint les boutons de l'ascenseur) Tu vois ? Agence d'intérieur, n'est pas ? Je devrais mentionner que le voyage est un aller simple.

Angel se tient dans l'ascenseur regardant dehors, ne disant rien.

On voit un sans abri chargant un cadis le long de la place devant l'ascenseur.

Holland : Et bien, s'il n'y a rien pas d'objections, je suggère qu'on y aillent. C'est plutôt un long chemin.

Holland pousse le bouton 'bas'. Les portes se ferment et on voit l'ascenseur descendre dans la cage.

Angel et Holland se tiennent côte à côte dans l'ascenseur alors que les lumières du sol font des flashs et que de la musique typiquement ennuyeuse joue dans le fond.

Holland : Et bien, c'est excitant, n'est pas ? (sourit) Aller droit à la source. Alors, quel est le grand plan, Angel ? Détruire les Partenaires Seniors, détruire Wolfram et Hart une fois pour toute ?

Angel : Quelque chose comme ça.

Holland : Hm-mm, maintenant dis-moi juste ce que tu crois que ça va accomplir ? A la fin, je veux dire.

Angel : Ca va être...la fin.

Holland : Et bien, ta fin, certainement. Mais je veux dire au sens large.

Angel : Au sens large je ne me fais vraiment pas chier.

Holland : Maintenant je ne pense pas que ce soit vrai. Soit honnête. Tu as laissé partir le plus petit bout de 'se faire chier'. Sinon tu ne serais pas allé à cette mission kamikaze. Maintenant, laisse-moi voir, il y avait quelque chose...dans une prophétie sacrée, une référence tordue sur toi. Quelque chose que tu es supposé prévenir. Maintenant qu'est-ce que c'étais ?

Angel : L'apocalypse.

Holland : Oui, l'apocalypse, bien sûr. Une autre d'entre elles. Et bien, c'est vrai. On doit avoir un plan. Et j'imagine que si tu étais en train de la prévenir tu voudrais sauver un grand nombre de personnes. Et bien, tu devrais le faire alors. Absolument. Je ne pensais pas...Bien sûr toutes ces personnes que tu sauves de cette apocalypse voudrait alors avoir la prochaine pour regarder en avant, mais, hé, c'est toujours quelque chose, n'est pas ?

La cage d'ascenseur et les cables se disolvent alors que l'ascenseur continue à descendre dans la lumière rouge diabolique.

Angel : Vous n'allez pas gagner.

Holland : Et bien...non. Bien sûr que non. Nous n'avons pas l'intention de faire quelque chose si prosaïque comme 'gagner'.

Holland rit et pour la première fois Angel tourne sa tête pour regarder dans la direction d'Holland.

Angel : Alors pourquoi ?

Holland : Hmm ? Je qui désolé ? Pourquoi quoi ?

Angel : Pourquoi combattre ?

Holland : C'est vraiment la question que tu devrais te poser toi-même, n'est pas ? Tu vois, pour nous, ce n'est pas un combat. Ce qui est pourquoi gagner ne rentre pas dans ça. Nous...continuons...peu importe quoi. Notre firme a toujours été là. Dans une forme ou une autre. L'Inquisition. Le Khmer Rouge. Nous étions là quand le tout premier homme des caverses a assommé son voisin. Tu vois, nous sommes dans les coeurs et les esprits de toute existence vivante. Et ça...mon ami...c'est ce qui rend les choses si difficiles pour toi. Tu vois, le monde ne travaille pas dans la rancune du mal, Angel. Il travaille avec nous. Il travaille à cause de nous.

Et avec ça l'ascenseur s'arrête dans un crissement.

Les portes s'ouvrent et Angel regarde dehors pour voir un sans-abri poussant un cadis chargé le long de la place devant l'immeuble des Bureaux de Wolfram et Hart à LA.

Holland : Bienvenue dans l'agence d'intérieur.

Angel : Ce n'est pas...

Holland : Et bien, tu sais que oui. Tu sais ça mieux que personne. Des choses que tu as vues. Des choses que tu as, et bien..faites. Tu vois, s'il n'y avait pas de mal dans chacun d'eux là dehors (Angel regarde quelques personnes sur la place commencant à se crier dessus) pourquoi, ils ne seraient pas des gens. Ils seraient tous des gens.

Le gant tombe de la main droite d'Angel pour se poser sur le sol de l'ascenseur et Angel traine doucement les pieds pour sortir.

Holland l'appelant alors que les portes se ferment : Bonne journée.

Angel marche lentement dans les rues de LA, voyant une prostituée et un consommateur potentiel avoir un désagrément verbal, une femme criant sur une fille.

Kate ouvre les portes de son armoire de salle de bain et sort une boite de pilules.

Angel descend doucement la rue croisant un sans-abri avec une bouteille enballé dans du papier brun sous son bras, un jeune homme se tenant à côté d'une lampe qui ressemble à Gene dans 'Happy Anniversary'.

Wesley est couché dans le noir sur le sofa de son appartement, regardant dans le vide.

Cordy est prête à quitter le bureau.

Angel entre dans l'Hypérion juste quand le répondeur se met en marche.

La voix de Cordy : Salut, vous êtes chez Angel Investigations. Nous aidons les faibles. Laissez un message et on vous rappelera. (Beep)

La voix de Kate : Tu l'as fais, n'est pas ? Bâtard...

Kate est assise sur le sol de son appartement sa main posé sur le siège d'une chaise, tenant le téléphone pour qu'elle puisse parler dedans mais avec l'autre bout sur son front et contre son oreille. Il y a une bouteille vide d'alcool posée à côté du téléphone, et la boite de pilule est posé à côté. Des pilules blanches sont éparpillés par terre.

Kate : Tu m'as fais te faire confiance. Tu m'as fais croire. Non, ce n'était pas toi. (se couche par terre, cognant la bouteille) C'était moi, hein ? Je ne peux pas supporter la chaleur...

Angel va vers l'endroit où est posé le répondeur.

Voix de Kate : C'est ce qu'ils vont dire. Puis tu vas te sentir tout méchant...ou tu t'en foutras. Mais alors, alors je m'en foutrais aussi. Je ne veux pas sentir un truc.

Se penchant sur le comptoir, Angel baisse le volume du répondeur, puis se tourne vers les escaliers.

Angel entre dans son appartement, arrête un peu de rentrer.

Angel : Qu'est-ce que tu veux, Darla ? (prend l'anneau et regarde sur son épaule) Tu veux ça ?

Angel pose l'anneau par terre et Darla se rue dessus pour le prendre. Avant qu'elle puisse, Angel attrape son bras et l'envoit trébucher contre le mur.

Angel : Ou peut-être ce que tu veux vraiment c'est ça ! (la pousse contre le mur et enlève doucement ses cheveux de son visage) Ca peut-être...ce que tu veux vraiment, n'est pas ?

L'embrasse doucement, puis, quand elle ne réagit pas, un peu plus fort. Darla le repousse.

Darla : Ne joue pas avec moi.

Angel : Je ne joue pas. Je veux juste sentir quelque chose à côté du froid.

La pousse sur la table, se baisse sur elle et l'embrasse encore. Darla s'étend et enlève sa veste de ses épaules, l'embrassant. Angel lui enlève sa veste avec son aide, l'embrasant encore. Darla commence soudainement à rire et Angel repousse en même temps qu'elle le repousse et se lève.

Angel : Pourquoi est-ce que tu ries ?

Darla continue à rire, ne lui répond pas, et Angel la frappe, l'envoyant se cracher dans les portes vitrées menant à sa chambre. Angel marche doucement après elle alors qu'elle roule et lève les yeux vers lui.

Angel : Tu ne sens pas le froid ?

Angel l'attrape par les épaules et la soulève.

Darla : Qu'est-ce que tu fais ?

Angel : Ca n'a pas d'importance. (frappe son visage) Rien n'a d'importance.

Il l'embrasse encore et elle réponds. Ils tombent sur le lit et enlève leur vêtements.

La caméra passe par les rideaux d'une fenêtre ouverte, ondulant dans le vent d'un orage dehors, sur quelques livres posés par terre, sur leur vêtements débarrasés et sur le lit. Angel et Darla sont couchés dans le lit endormis, Angel sur le dos, Darla sur le côté lui tournant le dos.

Un fort coup de tonnerre éclate et Angel se lève soudainement le souffle coupé.

FIN



Par Jackie pour Buffy Fan
Pour lui écrire, laissez un message à:  redac@buffyfan.org
Copyright 2000/2002
FONT FACE="Arial,Helvetica">La caméra passe par les rideaux d'une fenêtre ouverte, ondulant dans le vent d'un orage dehors, sur quelques livres posés par terre, sur leur vêtements débarrasés et sur le lit. Angel et Darla sont couchés dans le lit endormis, Angel sur le dos, Darla sur le côté lui tournant le dos.

Un fort coup de tonnerre éclate et Angel se lève soudainement le souffle coupé.

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