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Angel, épisode 312 saison 3

Transcript français par : Jackie (redac@buffyfan.org)
Thanks to : Joan the English Chick (pisces@englishchick.com)
 
 

~~~~~~~~~~ Copyrights ~~~~~~~~~~

Transcripts © Buffy Fan 2000/2001 - Merci de respecter les droits d'auteurs
Toute copie, même partielle de ce transcript est interdite. Les personnages ainsi que les droits de la série télévisée "Angel" ne nous appartiennent pas. Ils ont été crées par Joss Whedon, et lui appartiennent, ainsi qu' à Mutant Enemy, Sandollar Productions, Kuzui Enterprises, 20th Century Fox Television et the WB Television Network. Pour toute demande de diffusion, de n'importe qu'elle manière, veuillez vous adressez au webmaster de ce site.

~~~~~~~~~~ Prologue ~~~~~~~~~~

Précédemment dans Angel :

Wes : Le fils d'Angel est une partie de la prophétie.

Linwood : Les manuscrits Nyazian disent que l'enfant ne naîtra jamais !

Gavin : Darla est morte durant l'accouchement.

Darla se plante elle-même.

Holtz : Elle s'est sacrifiée pour sauver l'enfant.

Angel : Je suis sa seule famille. Mon travail est maintenant de tout faire pour lui.

Gavin : Nous devons avoir ce bébé.

Gunn : Bougez vers la porte arrière !

Wes : Tout et tout le monde va venir pour lui.

Angel : Personne ne mettra la main sur cet enfant.

Cordy est jeté dans le cabinet d'armes par une vision.

Cordy : Ces visions me tuent.

Skip : Les humains ne sont pas assez forts pour supporter les visions ! Les démons sont les seuls à pouvoir leur résister.

Cordy : Alors...démonisez moi.

Cordy : On doit déchiffrer ma vision maintenant. Celle que j'ai eue maintenant.

Angel : Cordy...

Cordy, flottant au dessus du sol : Quoi ?

Fichiers et rapports : Holtz, Daniel, tueur de vampires, etc. 1754.

Holtz montre à Justine la nécrologie de sa soeur, Julia Cooper.

Holtz : Justine, je sais ce que c'est de peiner. Je veux t'aider.

Justine : Je veux que vous fassiez partir l'enfer de moi.

Justine combat le vampire dans le cimetière et Holtz l'embroche avant qu'il ne la morde.

Holtz : Je suis ici pour t'apprendre à te battre.

Justine : Que puis-je faire pour vous ?

Holtz : Tu vas m'aider à tuer un vampire.

Vue sur Angel et le gang quittant l'hôpital avec Connor dans la poussette que Gunn a acheté.

Justine : Vous n'avez pas besoin de moi pour ça.

Holtz : Si. Ce vampire est fort.

Angel compte de l'argent alors qu'il le met dans une tirelire en cochon.

Angel : Soixante, soixante-dix, quatre-vingt. Un, deux, trois.

Cordy, tenant Connor : Angel...

Angel lève la tête pour l'arrêter alors qu'il prend le cochon et l'enferme dans un dépôt de sécurité à côté du bureau. Fred lève les yeux de son ordinateur.

Fred : Comment vont les fonds de Connor ?

Angel : Il y a un dollar quatre-vingt-trois dans les coussins. C'est de l'argent bon à être déposé. (ferme le dépôt) Maintenant, comment ça avance ?

Fred : Un moment.

Angel regarde par-dessus l'épaule de Fred vers le nouveau site web d'Angel Investigations et montre le 'Pas de Affaires Trop Petites' sous la partie 'Nous aidons les faibles'.

Angel : Ah. On peut agrandir ça ? Gras, mais, tu sais, de bon goût.

Fred : Hmm. De bon goût. Bien sûr.

Cordy au bébé : Tu es si mignon ! Oh que oui. Tu es le meilleur petit garçon du monde entier.

Angel arrive derrière elle et sourit à Connor au-dessus de son épaule.

Angel : Comment va mon petit bonhomme ?

Cordy : Oh, il se demande où son père a été.

Angel : Papa a des bouches à nourrir.

Cordy : Oh. J'ai aussi une bouche. Toujours en avoir une. Ca peut s'avérer pour lui et qu'on le nourrisse bien pendant des années. Ouais.

Cordy pose Connor dans un lit portable de bébé.

Cordy : Angel...je suis contente que tu veuilles prendre soin de ton fils. Je le suis. Je veux juste être sûre qu'on ne perde pas de vue notre mission.

Angel : Et bien, on doit gagner une vie. Je veux dire, pas juste pour Connor, mais pour nous tous.

Cordy : Je suis d'accord. Mais d'abord et surtout on travaille pour les Pouvoirs, on aide les faibles. Promet-moi qu'on ne négligera pas ça.

Angel : Je le promet. (voit Gunn qui arrive) Je le promet. (se tourne vers Gunn) Alors ?

Gunn : Et bien, on a engagés quelques gars. Six mille de ces bébés sur toute la ville.

Gunn lève un prospectus avec 'Angel Investigations' et leur logo dessus. 'Nous aidons les faibles'. Pas d'affaires trop petite. Spécialistes du Paranormal. 313-555-0126

Angel : Bien ! (A Cordy) J'aurais du m'appeler, n'est pas ?

Fred : Hé ! Le site web est ouvert. Nous vivons.

Angel prend Connor : Nous vivons, petit gars. Viens.

Angel va vers le bureau et tourne l'ordi pour que tout le monde puisse voir l'écran.

Angel : Là, magnifique. On est en ligne. On a des prospectus, on a des pages jaunes. Mesdames et messieurs, garçons et filles, bienvenus dans la nouvelle aire d'Angel Investigations. Tout ce qu'on a faire maintenant c'est d'attendre...que ce téléphone commence à sonner et que l'argent commence à couler. (au bébé) Parce que quelqu'un doit habiller et nourrir et éduquer ce petit gars, ouais ? (Connor baîlle) Ouaip...tout ce qu'on a faire c'est d'attendre. Juste une question de temps. (Connor s'agite) Ne t'inquiète pas, cette ville est pleine de gens ayant des problèmes.

Un homme cours sous la pluie tombante. Il regarde en arrière par dessus son épaule vers des sortes d'ombres menaçantes le suivant sur le mur de l'allée derrière lui, et cours droit dans une pile de déchets. Alors qu'il se relève, il voit un des nouveaux prospectus d'Angel.

AI est encore autour du téléphone, attendant.

L'homme, prospectus en main, cours vers une cabine téléphonique, compose, écoute la sonnerie.

Homme : Allez, allez, allez !

Ecran fendu...le téléphone de AI ne sonne 'pas'. Triple écran fendu, un gars décroche le téléphone dans ce qui semble être une cuisine.

Gars : Pizza Fabrizio.

Fred prend un prospectus sur le bureau et jette un coup d'oeil dessus.

Fred : Est-ce que c'est le bon numéro ?

Tout le monde se tourne pour regarde Wesley.

Intro

Hypérion, jour, Wes rentre, portant un tas de prospectus.

Wes : Ce sont les derniers. Six mille nouveaux.

Wes s'arrête pour voir ce qui retient tellement l'attention de Gunn. Fred est dans le hall cajolant Connor.

Wes : Adorable.

Gunn : Si mignon.

Wes : Je pensais au bébé.

Gunn : Je pensais à la mama chaude.

Gunn et Wes se regardent.

Angel entre.

Wes : Désolé pour l'embrouillage hier soir.

Angel : Ce n'est pas important. Mais on ne peut pas se permettre d'avantage d'erreurs. Faire des erreurs coûte de l'argent, et se faire de l'argent est maintenant notre priorité numéro une. (Lorne descend les escaliers en robe de chambre en soie) Hé, Lorne.

Lorne : Si c'est pour le lait maternisé du bébé que j'ai pris du frigo hier soir....désolé.  J'avais un peu faim et c'était ça ou un verre de sang de porc. A ce propos, lait maternisé pour bébé ou Kaluha ? Pas aussi mauvais que ça semble.

Angel : Lorne, j'ai besoin que tu utilises tes contacts pour découvrir ce que Holtz prépare. Il est quelque part dehors. On peut jamais oublier ça. Le trouver est notre priorité numéro une.

Gunn : J'ai cru que tu avais dis...

Angel : Trouver Holtz et se faire de l'argent sont nos deux priorités numéro une.

Cordy rentre derrière lui et éclaircit sa gorge.

Angel : Aider les faibles, trouver Holtz, et se faire de l'argent sont nos 'trois' priorités numéros une.

Cordy : Hé, regardez ! On a quelques succès sur notre site web.

Le téléphone sur le bureau de Cordy sonne et Wes le décroche.

Wes : Angel Investigations, puis-je vous aider ?

Le téléphone sur le comptoir sonne et Gunn le décroche.

Gunn : Angel Investigations, je peux vous aider ?

Maintenant une troisième sonnerie sonne quelque part.

Angel, souriant : Nous sommes dans les affaires !

Justine est assise à une petite table dans le repaire d'Holtz marchant à côté d'elle.

Justine : Vous devriez me remercier.

Holtz : Pour avoir désobéi à un ordre ?

Justine : Pour avoir tué deux vampires !

Holtz : Deux vampires de qui je t'avais dit de t'éloigner.

Justine : Je crois que j'ai mal compris.

Holtz : Voilà pourquoi nous sommes ici.

Justine : Et en parlant d'ici, est-ce que quelques ampoules et des plombs vous tueraient ?

Holtz : Nous sommes ici pour déterminer si oui ou non...tu....as les responsabilités nécessaires pour le travail à mains.

Justine : A mains ? C'est une blague, non ?

Holtz : Pourquoi est-ce que tu me fais perdre mon temps ?

Justine : Qu'est-ce que vous voulez de moi ?

Holtz : Je viens de te le dire :  des responsabilités. Quelque chose dont tu dois maintenant me convaincre d'avoir.

La caméra descend de Justine levant les yeux vers Holtz pour révéler que sa main gauche est épinglée au bureau avec un poinçon.

Holtz : Bon j'ai expliqué pourquoi je fais ça. Et toi ?

Justine : Disons juste, que ressentir quelque chose...est mieux que de ne rien ressentir.

Holtz : Sort le quand tu veux. Si tu es encore là quand je reviendrais, on va considérera la prochaine phase de notre...partenariat.

Justine regarde Holtz sortir et faire glisser la grille derrière lui.

Le hall de l'Hypérion est plein de monde (pas tous humains)

Fred prend un calepin d'un des non-humains. Angel, tenant Connor, arrive à côté d'elle.

Fred : Bienvenu à Angel Investigations Mr. (regarde le calepin) Blee...Lee...Shushngrung. Hum, je vous en pris asseyez vous et un de nos associés sera bientôt à vous.

Angel : Hé, Lorne. Non humain au pont.

Lorne : J'arrive.

Lorne parle à trois aliens gris, portant des longues robes et des masques en argent dans un langage qui semble être surtout des clics, des vrombissements, et des bruits secs. Il les laisse pour parler à Angel.

Lorne : Hé, les gars avec les visages de plateau chromés, ils sont appelés Nahdrahs. Je parle leur jargon, en quelque sorte. Si je les comprend bien ils ont un job pour notre leader et une superbe transaction d'argent.

Angel : Oh, ne les fais pas attendre, hein ?

Lorne : Et bien, notre leader en cet instant est Wesley. Ils ont vu ses articles intenet sur les comparaisons de fusion d'ADN dans les populations de démons Tri-ped.

Angel voit Wes sortir du bureau avec quelques autres personnes et se joint à la conversation.

Angel : Hé, Wes. Wes, parle au Nahdrahs.

Gunn vient vers Angel guidant une jeune blonde.

Gunn : Hé, le bureau est libre ? Il y a du personnel.

Angel : Ouais. Vas-y. (A Connor) Si ça se maintient, petit gars, on devra se fusionner, hein ?

Cordy est assise au comptoir, téléphone en main.

Cordy : On est un peu tendu ici, Angel.

Angel : Allez. Balivernes. On peut s'en occuper.

Cordy : Vraiment ? Et bien, alors pourquoi est-ce que tu ne t'en occupes pas en décrochant les lignes deux, trois et quatre ?

 Angel hausse les épaules et va vers les téléphones.

Angel : Angel Investigations, vos problèmes sont nos problèmes. Ok. A quel point c'est urgent ? Uh-huh. Et qu'est-ce que vous faites pour une vie ? C'est une bonne compagnie. Vous la possédez ? Ok, attendez. (pose le combiné) Stylo, papier, vite.

Gunn verse du thé pour la blonde dans le bureau.

Ally : Je ne dors pas. J'ai peur de sortir et de répondre au téléphone.

Gunn : Ouais, je déteste les traqueurs. Ecoutes, ne vous inquiétez pas. Nous allons mettre un frein à tout ça. (lui tend le thé) Asseyez vous.

Ally : Merci.

Gunn : Alors, vous savez qui est ce type ?

Ally : Ouais, et bien, c'est...c'est Brian, mon ex-petit ami.

Gunn : Etes-vous...allée voir la police ?

Ally : Ouais. Ils agissent comme si je n'étais rien. Juste...comme si j'avais tout inventé.

Gunn : Ouais, vous allez chez les flics pour de l'aide et ils ne font rien jusqu'à ce qu'il y ait un mort.

Ally : Quelqu'un 'est' mort.

Gunn : Qui ?

Ally : Brian. (lève le prospectus) Ce n'est pas le genre de trucs dont vous vous occupez ?

(Le numéro en bas du prospectus se termine maintenant en 0162)

Gunn : Ouais. Tout le temps. Alors...Brian, votre petit ami mort, vous traque ?

Ally : Et bien, je veux dire, ce n'est plus mon petit ami 'maintenant'.

Wes parle au Nahdrahs avec Lorne traduisant.

Wes : L'article Internet que j'ai écrit montre une formule sur la fonction de génome de créatures qui n'ont pas de gènes. C'est une arène excitante.

Lorne : Je suis sûr qu'on peut tout télécharger sur 'je ne connaîtrait jamais l'amour d'une femme.com' (Wes le regarde) Ah, pouvons nous retourner aux affaires ? Ils veulent acheter votre tête. Un peu bloqué avec le langage. Je devrais sûrement clarifier ça.

Lorne clique vers les Nahdrahs. L'un d'entre eux lève une valise en métal.

Lorne : Ils veulent votre âme. Ils célèbrent leur princes, euh....c'est..c'est..c'est comme un anniversaire, seulement ils ne sont pas nés autant que dégorgés. Ils...ils ont besoin de toi pour résoudre un de leur puzzles traditionnels alors ils pourrons le lui donner. C'est un honneur.

Wes : Ca pourrait être intéressant.

 Fred arrive et regarde les robes des Nahdrahs.

Fred : Bien sûr. Ce sont des gens en puzzles. Vous avez remarqués le design de leur tuniques ? (trace le design) Des formes géométriques. Chaque nombre principal, si vous comptez leur bords, rangés en ordre ascendant d'accumulation exponentielle.

Wes, lui souriant : Oui, je n'avais...pas...du tout remarqué ça.

Fred lui sourit, pendant que les Nahdrahs commencent à cliquer vers Lorne.

Lorne : Ah, ils voudraient savoir pourquoi ta petite amie vient de les montrer. Je ferais mieux de leur dire ce qu'elle a dit avant qu'on ait un incident international.

Wes : Ah, ce n'est pas ma...

Beaucoup de clic excités arrivent des Nahdrahs.

Wes : Stupide.

Les Nahdrahs partent à la hâte.

Fred : J'ai dit quelque chose de mal ?

Lorne : Non. Non, ils t'ont appréciés.

Fred : Tellement qu'ils sont partis ?

Lorne : Ils doivent chacun consulter leur prince et aller manger du singe au fromage. Est...est-ce j'ai mentionné le blocage avec le jargon ?

Gunn : Wes ? Je crois que je vais avoir besoin de toi avec celle-là.

Angel au téléphone : Super. Je suis en chemin.

Angel raccroche le téléphone et prend le morceau de papier sur le bureau. Va vers Cordy et fourre Connor dans ses bras.

Angel : Grosse affaire. Je dois y aller.

Cordy : Oh...

Angel, partant déjà : Je crois qu'il doit être changé. Oh, et le biberon, trois heure pile.

Cordy à Connor : Et bien, salut toi.

Vur sur une voiture roulant dans la rue la nuit.

Un homme en costume parle au téléphone dans un grand bureau alors qu'Angel rentre par les portes vitrées. Le côté du mur de la fenêtre a des grandes fenêtres surplombant un sol de fabrication.

Harlan : Ouais. Ok. C'est bon pour nous. Dis lui six million de dollars de garantie et qu'on couvrira les coûts spéciaux. Ouais. Non, j'ai compris, mais on doit prendre une décision pour demain. Ecoute, quelqu'un vient de rentrer dans mon bureau. Je te rappelle. (ferme le téléphone) Mr. Angel.

Angel : Juste Angel.

Le type se lève pour serrer la main d'Angel.

Harlan : Harlan Elster. Merci d'être venu me rencontrer.

Angel : Pas de problème. Je sais ce que c'est que d'avoir son nom sur un tableau de chasse...

Harlan : Hmm. Je dois dire, vous n'êtes pas exactement ce que j'avais en tête.

Angel : Non ?

Harlan : Vous êtes vraiment bien coiffé, je crois. Vous n'avez pas peur d'être un peu dérangé, n'est pas, Mr. Angel ? Parce que vous devriez déjà être dérangé pour mettre les pieds là-dedans.

Angel : Dans quoi ?

Harlan : Quatre-vingts trois et Vermont. (tend un dépliant à Angel) Utilisé pour être un logement à revenus bas. Maintenant c'est un nid. Des fenêtres avec des cartons. Pas d'électricité. Accès au égouts. Ils l'aiment sombre.

Angel : Des vampires.

Harlan : Un gang entier d'entre eux. Ces photos ont été prises par le dernier gars que j'avais pour ce job.

Angel : Qu'est-ce qui lui est arrivé ?

Harlan : Il a été dérangé. Vous avez beaucoup d'expérience avec les vampires ?

Angel : Un peu.

Harlan : Ouais, et bien, pas comme eux. Ils ne sortent pas pour du sang. Ils veulent de l'argent.

Angel : De l'argent ?

Harlan : Ouais. Je sais. Quiconque entend qu'un vampire sort pour un dollar, hein ?

Angel rit à moitié et se met dans une chaise.

Harlan : Bref, ils mettent la pression sur des hommes d'affaires locaux. On leur paye un droit de protection et ils ne mangent pas nos employés. Ils demandent cinq mille dollars par minuit.

Angel : Whoa.

Harlan commence à faire un chèque : Maintenant, je suis prêt à vous payer dix pour faire partir ce problème. Cinq mille maintenant (arrache le chèque) le reste quand le boulot sera fini.

Angel : Ca va faire dix.....ce qui est plus qu'ils ne vous demandent.

Harlan : Mais ce n'est pas pour l'argent.

Angel : Non, non, bien sûr que ce n'est pas...pour...ça. (prend le chèque) Argent. (rit un peu alors qu'il regarde le chèque) Je vais y aller tout de suite.

Harlan resserre la main d'Angel : Merci.

Angel : Bien sûr.

Harlan regarde les portes se refermer derrière Angel. Une porte derrière Harlan s'ouvre et un vieil homme rentre.

Homme : Qu'est-ce que vous foutez dans mon bureau ?

Harlan : Mr. Elster.

Avec l'imposteur va assommer le vrai Harlan Elster.

Pause

La tête de Justine repose sur la table du repaire d'Holtz, sa main encore épinglée à la table par le pic de glace. Holtz rentre, s'accroupit et pose sa tête sur la table, pour que leur yeux soient au même niveau.

Justine : J'ai décidée de rester.

Holtz : Tu m'as demandée ce que je voulais de toi. (met sa main autour du manche du pic de glace) Je veux que tu sortes et que tu trouves d'autres personnes comme toi. Des gens qui ont souffert comme nous, des gens avec la même rage, le même feu. Tu les reconnaîtras quand tu les verras. Leur yeux...vont ressembler à ces sentiments.

Justine crie alors que Holtz libère le pic de glace.

Holtz lui tend un mouchoir.

Holtz : Nous sommes clairs ? On a appris nos leçons, Justine ?

Alors que Justine se lève elle frappe Holtz au menton avec son poignet gauche enroulé, l'assommant.

Justine : Espèce de fils de pute.

Elle se remet dans sa chaise, respirant fort, alors que Holtz la regarde, palpant son menton.

Angel marche dans le hall de l'Hypérion, qui est désert, excepté quelques papiers ici et là et Cordy et Fred vautrées dans le canapé à côté du berceau de Connor.

Angel : C'est super terrien ou quoi ? Cinq mille dollars et tout ce que j'ai à faire pour en collecter cinq mille de plus, c'est de nettoyer un nid de vampire en ville. Ou sont Wes et Gunn ? Je veux leur montrer ça.

Cordy : Partis pour une affaire.

Fred : Il y a une jeune femme de qui le petit copain mort la traque.

Angel : C'est terrible. Est-ce que vous...

Cordy : J'ai emmenée son crédit. Elle est solvable.

Angel : Bien. (s'accroupit pour regarder dans le berceau) Hé, comment va mon petit magnum, Notre Dame, classe de deux mille vingt ?

Cordy : Angel....Je ne crois pas que ce soit une si bonne idée de travailler sur tellement d'affaires à la fois. Je veux dire, et si on étaient tous dehors se faisant de l'argent et qu'un pauvre diable trébuche ici et a besoin de notre aide ?

Les portes s'ouvrent et Lorne trébuche à l'intérieur.

Lorne : Bon giorno, tout le monde, bon giorno.

Angel : Tu as bu ?

Lorne : Oh, je peux tenir ma liqueur, Monsieur. Malheureusement je ne peux dire de même pour ma gnôle.

Lorne rit.

Fred : Ce n'est pas la même chose ?

Lorne : Hé, Fred-girl ! Non, c'est de l'eau de vie spéciale, utilisé pour délier la langue de mon mouchard Gar-wak. Ils mettent le feu à l'eau et il y a du chant et un bong, et regarde dehors, Houston !

Angel : Tu as appris quelque chose sur Holtz ?

Lorne : Oh ouais. Il n'est vraiment pas épris de toi. J'ai été amené à croire que lui et ses démons Grapplar ont des plans pour (fait un bruit et un mouvement de coupure vers sa gorge) toi. (Angel se recule un peu fermant les yeux un moment) Je put de la gueule ?

Lorne expire au visage d'Angel.

Angel : Ouais.

Angel évente l'air devant lui avec sa main et se recule.

Angel : Holtz utilise les Grapplars comme soldats.

Lorne : Pas vraiment, Bucko. Il les a empoisonnés et il cherche des remplaçants. Des humains.

Angel : Est-ce qu'on sait où il est ?

Lorne : Frère, je suis dessus. J'ai des rats qui cherchent dans toute la ville. Et bien, pas vraiment des rats...excepté deux d'entre eux. Ooh, je ne me sens pas très bien.

Cordy sort Connor de son berceau.

Cordy : Euh, on a de la compagnie.

Angel se tourne pour voir les Nahdrahs entrer, cliquant dès qu'ils sont entrés.

Cordy : Lorne ? C'est tout clac, crac, pop pour moi.

Angel : Ah, c'est les types qui voulaient Wesley.

Lorne : Pas vraiment. Maintenant ils veulent Fred.

Angel : Pour quoi ?

Lorne clique vers les Nahdrahs puis se retourne vers Angel.

Lorne : Son cerveau énorme. Ils sont convaincus qu'elle peut résoudre le puzzle qu'ils veulent donner à leur prince. (à Fred) Ils n'étaient pas offensés par toi avant, ils étaient honorés.

Fred : Vraiment ?

Angel : Où devra t'elle aller et combien de temps ça va prendre ?

Lorne après avoir cliqué vers les Nahdrahs : Ils vivent sur une péniche, souvent amarrée à la marine. Et un jour ou deux, ça dépend de combien de temps ça va lui prendre pour le résoudre.

Angel à Fred : Tu joues ?

Fred hausse les épaules : Bien sûr.

Angel à Lorne : Tu va devoir aller avec elle pour traduire. Dis leur que ça ne sera pas bon marché. Ils prennent deux de nos meilleurs employés. C'est du salaire, par diem, heures supplémentaires...

Lorne : Ok, ok.

Clique et pop vers les Nahdrahs. L'un d'entre eux lève la valise en métal.

Lorne : Ils s'excusent pour leur piètre offrande et espèrent que tu accepteras (le Nahdrah ouvre la valise pour révéler des paquets d'argent) Cinquante mille dollars ?!

Angel : Cinquante...

Cordy : ...mille...

Fred : ....Dollars ?

Angel va prendre la valise, un grand sourire sur le visage : On accepte.

Gunn et Wes gardent la blonde d'avant chez elle.

Ally : Vous savez, je me considère moi-même indépendante et c'est dur pour moi de demander de l'aide, mais...c'est vraiment que vous soyez chez moi les gars. Vous savez la femme avec qui vous travaillez avait raison. Vous inspirez la confiance.

Wes : Quelle femme ?

Ally : Brune, vraiment mignonne, peut-être Texane ?

Gunn et Wes sourient : Fred.

Ils se tournent pour se regarder.

Gunn : Elle a dit que j'inspirais la confiance.

Wes : En fait, je..je crois que le commentaire était adressé à moi.

Gunn : Vraiment ? Parce que je ne crois pas.

Ally sort une photo : Là, c'est Brian. Pas exactement un scientifique en herbe, mais, ah, il est si mignon. Vous n'avez jamais rencontrés quelqu'un et vous saviez tout de suite que vous étiez fait l'un pour l'autre ? Ca semble juste...

Gunn et Wes : Confortable.

Ils se regardent.

Wes : Vous lisez tous les mêmes revues scientifiques.

Gunn : Vous riez aux mêmes blagues idiotes.

Ally : Et le sexe. Oh, mon dieu, j'ai oublié le sexe.

Gunn à lui-même : Parlez-moi s'en.

Wes : Hmm.

Ally : Alors, expliquez moi quelque chose. Comment Brian peut-t'il me traquer s'il est mort ?

Gunn ouvre la bouche mais Wes, regardant par la fenêtre répond avant qu'il ait une chance de dire quelque chose.

Wes : Il y a beaucoup d'explications. La sorcellerie, la magie noire, le vaudou, la zombification, la possession démoniaque, même le vampirisme.

Ally : Mais pourquoi ? Pourquoi traîne t'il dans le coin ? Qu'est-ce qu'il veut ?

Gunn essaye de répondre, mais Wes gagne encore.

Wes : Peut-être qu'il y a quelque chose qu'il n'a pas fini de faire, quelque chose qu'il veut vous dire.

Gunn : Ou peut-être qu'il veut juste manger vos tripes.

Wes : Gunn. On ne sait pas si c'est un zombie, et en plus les mangeurs de chair sont un mythe. Les zombies déchiquètent seulement, mutilent et occasionnellement portent de la chair humaine. Alors il n'y a pas de raison d'avoir peur jusqu'à ce qu'on ait une meilleure idée...

La porte, à côté de laquelle Wes se tient, s'ouvre en craquant et une main pâle attrape Wes. Wes se jette contre la porte, essayant de la forcer à se refermer.

Wes : Gunn !

Gunn accoure et commence à battre ce qui est visible de Brian avec une batte de base-ball. Brian recule et ils claquent la porte.

Wes : Justement. C'est un zombie.

Lorne gémit et lui et Fred sautent sur la péniche des Nahdrahs.

Fred : Tu vas bien ?

Lorne : J'avais le mal de mer quand on était encore sur la terre ferme. Est-ce que je suis plus vert que d'habitude ?

Fred : Un peu.

Ils sont menés à une grande pièce ouverte sur le pont de la péniche.

Lorne : Oh, joli décor ! C'est une sorte de Jules Verne mélangé avec Leona Helmsly.

Les Nahdrahs cliquent alors qu'ils sont menés plus loin dans la pièce.

Lorne : Oh, super ! Ils veulent prendre notre photo.

Lui et Fred posent et l'un d'entre eux prend la photo.

Lorne : Terrifiant. Hé, c'est le puzzle qu'il veulent que tu résolves.

Il y a des morceaux de verres de formes irrégulières, brillant à l'intérieur, éparpillés sur une table.

Fred : Je crois que ça s'ajuste ensemble dans une sorte de série d'algorithmes ? Aucun conseils ?

Lorne clique vers les Nahdrahs.

Lorne : Ouais, juste un. Il a dit que s'ils savaient comment le faire eux-mêmes tu ne serais pas ici.

Fred s'assoie à la table, ouvre son ordi et jette un coup d'oeil rapproché aux pièces.

Fred : Alors. Relation de cause à effet. Corollaire. Cause corollaire. Est-ce qu'on parle de courbe resserrée de longueur limitée dans un simple domaine de zéro connecté ? Ca serait trop facile, n'est pas ?

Un des Nahdrah arrive avec un plateau.

Lorne : Oh, hors d'oeuvres. (en français) (voit que c'est des yeux et des insectes sur des biscuits ronds) Oh, vraiment je ne peux pas. J'ai eu des yeux et des insectes pour le petit déjeuner.

Angel marche dans la tanière des vampires, regardant autour de lui.

Angel : Ooh, n'est-on pas juste les effrayants vampires en série...avec la tanière qui donne la chair de poule...et la prise de trophées de nos victimes ?

Angel prend quelque affaires (comme des montres, des porte-feuilles, des bourses, etc) sur une des tables puis les repose.

Angel : Pitoyable.

Angel sort un pieu et se met contre le mur à côté de la porte alors que des bruits de pas se rapprochent. Un homme entre, portant plus de butin, et Angel l'attaque par derrière. La gars jette les affaires et se tourne vers Angel, révélant son visage de vampire et ils se battent tous les deux. Angel est un peu jeté aux alentours. Il est par terre et attrape un pied de table brisé.

Angel : La prochaine fois que tu attaques les dépôts de ventes, j'évite les fournitures de bois. (Angel embroche le vampire alors qu'il l'attaque à nouveau) J'entend l'osier c'est joli.

Angel se lève pour voir deux autres vampire se tenant là.

Angel : Oh, super. Deux de plus.

Vamp 1 : Osselets sur le manteau.

Angel retourne dans le bureau de Harlan Elster. Le vrai Harlan Elster regarde quelque papiers.

Angel : Excusez-moi.

Elster : Qu'est-ce que vous voulez ?

Angel : Je..je cherche Harlan Elster ?

Elster : Je suis Harlan Elster.

Angel : C'est mauvais.

Elster : Comment ça c'est mauvais ?

Angel : Et bien, parce que le Harlan Elster que je cherche (sort le chèque) m'a donné ça.

Elsters se lève pour regarder de plus près, puis montre son menton.

Elster : Vraiment. Et bien, il m'a donné ça. (tend de nouveau le chèque à Angel) Au moins le mien est réel. L'homme qui a falsifié mon nom, de votre taille, moins battu ?

 Angel : Ouais, c'est lui.

Elster : Sam Ryan. Il a l'habitude de travailler pour moi. Chef de Presse. Je l'ai viré il y a six mois. Il continue de venir chez moi pour faire fortune de son plan d'énergumène.

Angel : Plan d'énergumène ?

Elster : Ce gars a un peu perdu la tête depuis qu'il a perdu son ami. Il voulait que je paye une sorte de charlatan chasseur de fantôme pour nettoyer un trou à rats abandonné en ville. Il était convaincu que des 'vampires' faisaient leur nid là-bas. Certaines personnes auraient pris avantage sur un gars comme ça.

Angel : Ouais. (lève le chèque et le déchire en deux) Ouais.

Commence à partir.

Elster : Des créatures immortelles vivent dans un immeuble infesté de rats, gardant leur trésors. C'est vrai.

Angel se retournant : Trésor ?

Fred met quelque uns des morceaux de verre ensemble.

Fred : Il y a une causalité ascendante et descendante immédiatement prouvé par (les pièces se mettent ensemble) ça ! (rit) Je crois que je suis sur quelque chose là.

Lorne : Ouais, moi aussi. Malheureusement ça requiert un vomitoire.

Fred : Oh...je suis désolée.

Lorne clique vers les Nahdrahs regardant Fred progresser. Les Nahdrahs montrent et cliquent en réponse.

Lorne : Je vais juste utiliser les facilités. Continue comme ça.

Lorne part et Fred glisse une autre pièce en place, faisant s'en aller les Nahdrahs.

Lorne monte quelques escaliers et tourne sur une passerelle. Il entend quelque bruits et des clics et tourne vers l'autre chemin. Il piste les sons vers une alcôve voilée. Séparant un peu un des rideaux il voit un Nahdrah à l'air malade sans masque assis sur une chaise, soigné par plusieurs autres. Lorne regarde alors que l'un des Nahdrahs tourne l'ordi pour que le grand sur la chaise (et Lorne) puissent voir l'écran. Ca montre une image de la tête de Fred glissé sur les épaules du gars assis dans la chaise.

Sous-titres : Elle résout la puzzle, sire. Nous avons trouvés une tête digne de reposer sur vos nobles épaules.

Le prince dans la chaise hoche la tête. Lorne se détourne...juste pour être frappé derrière la tête avec une barre de métal.

Sous-titres alors qu'on zoome sur la photo de la tête de Fred sur le corps du prince : Nous allons la coudre cette nuit.

Pause

Cordy saute sur ses doigts de pieds et se pose de nouveau devant le berceau de Connor. Elle abandonne après quelques essais et se penche pour prendre Connor.

Cordy : Hmm. Et bien, j'ai pensé que ça durerai longtemps. Mais je peux vraiment flotter, tu sais. Et bien, j'ai fait ça une fois durant ma dernière vision. Qui...ee...quelqu'un a besoin d'être changé. (le repose) Mais avant ça, crois moi, il n'y avait pas de d'esprit flottant dans ma vision. Non il y avait juste....la douleur de tueur. Et malheureusement, ce n'est pas exagéré. Ils me tuaient vraiment. (elle bouge le plateau à thé et pose un drap) Alors, les Pouvoirs Qui Sont ont mis un peu de démon en moi, et aussi loin que va l'effet (relève Connor) les visions sont une brise maintenant. (le pose sur le drap et commence à le changer) Je ne sais pas quoi d'autre peut être en réserve. Je garde un oeil sur des cornes et une queue. Wow. Il m'arrive juste de penser qu'elle drôle de vie tu as, petit gars. Ta tante Cordy reçoit des visions et ton papa est un...Et bien, tu ne le verras pas beaucoup vieillir, ou faire du surf et bronzer à Malibu. Mais c'est un bon type, un champion, il t'aime beaucoup. En plus, il est s'habille vraiment chic. (le changement fait, elle soulève Connor) Et ton papa est sorti maintenant pour combattre le mal...pour de l'argent.

Sam Ryan marche dans le nid de vampires et regarde autour de lui. Il prend une montre sur une des coiffeuses et la regarde. Angel attrape le bras de Sam par derrière et éloigne la montre de lui.

Sam : Redonnez ça.

Angel : Non, je crois que je l'ai gagné, n'est pas ? Qu'est-ce que c'est ? Une Rolex ?

Sam : Une Timex.

Angel : Oh. (tourne le bras de Sam un peu plus fort) Qu'est-ce que c'est, vraiment ? Considérant tous les problèmes que vous avez eu pour l'avoir, nous savons tous les deux que ce n'est pas juste une montre.

Sam : C'est vrai. Ca ne l'est pas.

Angel : Ca vaut sûrement plus que dix mille, aussi.

Sam : Un peu plus.

Angel : Qu'est-ce que ça fait ? Ca ouvre un portail ? Ca élève une armée ?

Sam : Ca brille dans le noir. Elles le font sûrement toutes maintenant. On dirait qu'ils l'ont fissurés quand il lui ont pris. (Angel s'éloigne de Sam et Sam se tourne pour lui faire face) Je lui ait dit que les laisser l'avoir, mais...ce n'était pas sur le fait de le donner. C'était la première chose que je lui ait jamais acheté.

Angel : Ses vampires ont tués votre ami.

Sam hochant la tête : Vous voyez. Je suis désolé pour ce que j'ai fait. J'avais besoin d'aide. Je ne savais pas quoi faire d'autre.

Angel : Alors vous m'avez menti.

Sam : Je suis désolé.

Angel : Je n'ai pas tué trois vampires pour rien. Dix mille...c'était le marché.

Sam : Sept.

Angel : Ok. Bien. Je prendrais sept.

Sam : Non, non, non. Vous avez dit trois vampires. Il étaient sept.

Ils regardent tous les deux autour d'eux.

Angel : Ce qui ferait quatre de plus.

Sam : Quatre de plus.

Cordy se penche sur le berceau : Tu vas découvrir qu'il y a beaucoup de trucs cool dans ce monde. (lève deux mains pleines d'argent des Nahdrahs avec un grand sourire) Cinq mille...attendent sur la liste.

Cordy va remettre les billets dans la valise avec les autres.

Cordy : On va juste verrouiller ça dans le coffre-fort et....

La caméra se rapproche alors que Cordy se gèle, les yeux écarquillés.

Cordy : Juste après cette vision.

On reçoit des images floues de Fred résolvant le puzzle, du prince et de l'écran d'ordi, puis d'une lame de couteau venant vers Fred.

Cordy : Oh mon dieu. Fred, ne résout pas ce puzzle.

Fred met un autre morceau de verre en place, souriant : Ca ne devrait plus être long maintenant.

Ally : Vous savez combien de temps ça va prendre les gars ? J'avais des plans pour ce soir.

Wes : On a pris toutes les précautions, sécurisés toutes les entrées...

On entend du verre se briser et Gunn et Wes se lèvent, armes prêtes.

Gunn : Avec l'exception possible de la lucarne dans la cuisine.

Brian entrant : Ally ! Ally...bébé, j'ai juste....

Ally trésaillit alors que Gunn frappe Brian à la tête avec la batte de base-ball.

Wes : Dans la chambre.

Brian éloigne Wes et Gunn de lui, alors que Ally coure dans la chambre. Ils se relèvent et Gunn matraque de nouveau Brian avant qu'ils ne courent après Ally.

Cordy raccroche le téléphone.

Cordy : Et bien. Ton oncle Wes et ton oncle Gunn ne répondent pas non plus. Et ton papa, il ne sait pas comment faire marcher son répondeur (soulève Connor) ou tenir un promesse. Alors on va aller à la marine, redonner l'argent et expliquer que c'était juste une grosse erreur.

Cordy, tenant Connor avec un bras, prend la valise d'argent avec sa main libre et sort.

Gunn et Wes pousse une coiffeuse devant la porte de la chambre alors que Brian martèle dedans.

Brian : Ally, pourquoi tu ne veux pas me parler ?

Ally : Parce que tu es mort. Maintenant, part ! (A Wes et Gunn) Vous savez, je paye bien. Est-ce que vous pouvez vous débarrasser de lui s'il vous plait ?

Gunn et Wes essayent de soutenir la coiffeuse, mais elle est doucement repoussée par Brian qui tient sa tête dans la fente de la porte.

Brian : Donne moi une seconde chance, bébé. (regarde Wes et Gunn) Qui sont ces types ?

Wes : Nous sommes ici pour la protéger de vous, en fait.

Brian : Une protection ? (laisse sortir une grande inspiration et sourit à Ally) Je pensais que tu leur avais donné rendez-vous.

Ally : Tu sais, c'est exactement pour ça que j'ai rompu avec toi. Tu me fais suffoquer ! Maintenant, part !

Ally essaye d'aider à pousser la coiffeuse. Gunn lève sa batte avec une main et frappe la main et la tête de Brian avec. Ils parviennent à fermer la porte. Ils attendent et écoutent tous pendant un moment, puis Wes bouge vers Gunn pour jeter un coup d'oeil alors qu'il éloigne la coiffeuse.

Wes : Qu'est-ce qu'il fait ?

Gunn : Il boude.

Ally : Ok. C'est ça.

Elle passe à côté de Gunn dans le living-room, où Brian est assis, penché.

Ally : Tu sais, c'est tellement typique de ta part. Tu fais rage et puis tu boudes.

Brian : Je pensais qu'on s'étaient amusés ensemble.

Ally : On l'a fait, mais tu es tellement...indigent.

Brian : Indigent ? Parce que je me faisais du soucis ?

Ally : Te soucier ne t'autorise pas à lire mon journal intime, me suivre au travail...

Brian : Je n'ai jamais...Ok, j'ai lu ton journal intime une ou deux fois. Est-ce que c'est une raison de m'empoisonner ?

Ally remarque que Gunn et Wes la regardent.

Ally : Quoi ? Vous allez croire tout ce qu'un zombie dit ?

Wes : Est-ce que vous dites qu'elle vous a tué ?

Brian : Je l'aurais pardonné si elle m'avait ramené.

Gunn : Vous plaisantez, non ?

Brian : Non. (a Ally) Bébé, j'ai vu les types avec qui tu es sortis. Tu ne t'amusais pas du tout ! Allez. Essayons un autre coup.

Ally reste silencieuse, regardant juste Brian. Brian se lève, souriant.

Brian : Qu'est-ce que tu en dis ? Toi et moi ?

Ally, souriant à moitié : Eew, je..je ne peux pas. Ca donne la chair de poule.

Brian : Allez. Tu me manques.

Gunn secoue la tête.

Ally : Oh. Je ne sais pas. Peut-être que j'étais un peu...précipitée.

Ils se sourient puis s'étreignent.

Gunn et Wes se regardent, alors que Brian embrasse Ally.

Wes, se retournant : Ca sera de l'argent ou des frais ?

Sam met son dos contre la porte du nid des vampires alors que quelqu'un martèle dessus de l'extérieur.

Sam : D'accord. Vous me faites marcher, non ?

Angel, assis à une table dans la pièce : Désolé. Je ne suis pas payé je ne peux pas me battre.

Sam : Je ne peux pas que je pourrais tenir tout seul.

Angel : Ouais. Je vois ça.

Sam : Ils traversent.

Angel se lève : Ok. Vous savez quoi, je vais aider à barricader, mais c'est ça.

Angel pose son dos contre la porte à côté de Sam.

Sam : Je suis désolé de vous avoir menti. Je ne n'aurais pas du.

Angel : Non. Vous avez fait le mauvais truc. Mais votre coeur était à la bonne place. Vos motivations étaient nobles.

Sam : Merci.

Angel : Ce n'est pas comme si je n'avais jamais été accusé de noblesse une ou deux fois.

Sam : Alors vous comprenez.

Angel : Ouais. Mais être un champion ce n'est pas que des bons actes et des fins heureuses. Il y a beaucoup de choses qui se passe en coulisses. Les gens ne semblent pas considérer ça.

Le bruit sourd à la porte devient plus fort.

Sam : Je crois...Je crois qu'on a vraiment un problème maintenant.

 Angel : D'accord. Peut-être qu'on peut élaborer quelque chose. Vous avez une voiture ?

Sam : La banque en a une.

Angel : Une maison ?

Sam : Je loue.

Angel : Comment est votre crédit ? Vous pouvez emprunter ?

Sam : Je suis en quelque sort à cours de travail. J'ai dépensé tout ce que j'avais en traquant ces types.

Angel : Je ne sais pas quoi vous dire, Sam. Je ne peux pas tuer sur un report. Mettre un précédent.

Fred met la dernière pièce du puzzle en place alors que la pyramide de verre qu'elle a formée s'éclaire. Les Nahdrahs autour d'elle clique d'excitation. Fred enlève ses lunettes, un grand sourire sur son visage.

Fred : Oh, ce n'était rien. (les Nahdrahs l'attrapent et la poussent) Oh. On va quelque part pour fêter ça ? Dites, quelqu'un a vu mon ami avec les cornes ? Il ne se sentait pas très bien et je m'inquiète un peu pour lui.

Ils entrent dans une autre pièce et Fred voit Lorne attaché par terre.

Fred : Et moi aussi maintenant.

Lorne : Ouais, je sais. On a quelques problèmes ici.

Les Nahdrahs poussent Fred dans une chaise devant leur prince et ferment les attaches pour la tenir en place.

Fred : Oh mon dieu. Je ne dois pas me marier avec lui, n'est pas ?

Lorne : En fait, non. Et c'est quelque chose en quoi on peut être reconnaissant.

Fred : Qu'est-ce qu'il vont faire ?

Lorne : Et bien il semble la ou les têtes du prince, je devrais dire, s'usent très souvent, et ils euh...

Fred : En coupent d'autres et lui en donnent une nouvelle ?

Lorne : Euh, ah...

Un des Nahdrahs lèvent une lame.

Fred : Lorne, au secours. Au secours !

Un sifflement se fait entendre et tout le monde se tourne pour voir Cordy se tenir à la porte, tenant l'argent et Connor.

Cordy : Hé ! J'aurais juste un mot à dire.

Lorne : Oh ho ho, vous allez vous faire botter le cul les gars !

Cordy : Lorne.

Lorne : Désolé. Je rend le sol à la personne qui n'y est pas attaché.

Cordy : Traduit. Il y a une terrible incompréhension. Et je sais que vous êtes des hommes d'honneur et je sais qu'on peut faire un simple échange...d'une...manière civilisée.

Cordy regarde Lorne et il commence à cliquer vers les Nahdrahs. Cordy pose la valise.

Cordy : On vous rend votre gracieux cadeau et vous nous rendez Fred. Désolé pour la confusion, mais nous avons en quelque sorte besoin de sa tête au boulot.

Fred : Fermement attachée à son corps.

Cordy : Ca va s'en dire. (Lorne la regarde) Dis le !

Lorne : Ah, euh...

Il clique vers les Nahdrahs, qui répondent et lèvent leur armes.

Lorne : Je leur ai dit ce qu'ils avaient à faire, et je leur ait ce qui arriverait s'ils ne le faisaient pas.

Cordy : Lorne, on est pas en position de traiter avec ces jolies personnes.

Lorne : Oh, bien sûr que si. Angel, Wes, et Gunn peuvent les prendre ! Je peux les voir d'ici. Où sont-ils au fait ?

Cordy : Sortis se faire de l'argent.

Lorne : Oh. Alors, quand je disais aux Nahdrahs qu'ils étaient entourés par des guerriers tueurs j'étirais un peu la vérité ?

Cordy : Juste assez pour tous nous faire tuer.

Cordy fait un grand sourire aux Nahdrahs.

Pause.

De retour au nid de vampire Angel s'éloigne de la porte.

Sam : Euh, ouais, salut ? Qu'est-ce qui est arrivé au barricadage élogieux ?

Angel jète une chaise pour casser une fenêtre en haut du mur.

Angel : Ca va donner. Je vais vous sortir d'ici. Allons y.

Sam ferme ses yeux pendant un moment : Non. Vous partez.

Angel : Quoi ?

Sam : Je ne part pas. Je ne peux pas.

Angel : Vous croyez que vous pourrez tenir avec quatre vampires contre vous ?

Sam : Probablement pas. Mais ces choses ont tuées Jack. Si je m'enfuis maintenant, je m'enfuirais le reste de ma vie.

Angel frotte ses yeux : Ouais, c'est noble, Sam, mais est-ce que vous pensez vraiment que c'est ce que Jack aurait voulu ?

Sam : Non. Je pense que Jack aurais sûrement voulu être ici avec moi. Mais ça n'arrivera jamais.

Angel soupire et ramasse un pied de chaise en bois. Il va vers la porte et éloigne Sam d'elle, lui parlant.

Angel : Vous prenez un job de bonne foi... vous espérez être dédommagé. Vous assurez le meilleur service que vous pouvez offrir.

La porte derrière Angel éclate et quatre vampires se ruent à l'intérieur. Angel enfonce un pieu dans l'un d'eux sans même regarder autour de lui, jetant un autre sur le côté, ne quittant jamais Sam des yeux.

Angel : Un service de qualité... Mais vous savez, il y a les frais généraux.

Le vampire dans l'embrasure de la porte hésite alors qu'Angel saisit un autre et l'embroche, fulminant encore.

Angel : Il y a le loyer, trois lignes de téléphone, la publicité, ça additionne.

Le vampire restant court alors qu'Angel retire la montre et la lance à Sam.

Angel : Ici.

Angel commence à partir.

Sam : Merci. Je ne peux même pas encore commencer à exprimer...

Angel lance le pied de chaise sur le côté à la sortie de la porte. Nous entendons quelque bips. Angel sort son téléphone.

Sam l'appelant : Je vous suis redevable... Vous êtes un vrai... champion.

Angel : Ouais peu importe. (Au téléphone) Allo ? (Les bips continue) Allo ?!

Sam : Hé... Je crois... Je crois que c'est votre messagerie.

Cordy : Lorne... est-ce que ces mecs ont des aines ?

Fred : Est-ce que c'est vraiment important en ce moment ?

Cordy : Travaillez avec moi ici, les enfants.

Lorne : Je le crois. Je n'en ai jamais connu un intimement.

Cordy marche en avant et donne un coup de pied à un des Nahdrahs entre les jambes. Nous entendons un bruit métallique, et Cordy sautille en arrière sur un pied.

Cordy : Oh. Ow ! Ow ! Ow !

Cordy sautille à reculons à travers le rideau, juste pour revenir, encadrée par Wes et Gunn, qui vont attaquer les Nahdrahs.

Le Nahdrah se tenant à côté de Fred tient la lame de l'épée contre sa gorge et Fred commence à crier.

Cordy : Fred ! Aidez la !

Wes et Gunn sautent hors du combat : Fred !

Gunn saisit une tige métallique, pendant que Wes saisit la valise, et leur lance. La tige cogne le Nahdrah avec l'épée vers l'arrière, loin de Fred. La valise décapite le prince avant d'éclater en s'ouvrant contre le mur. Tous les combats et cris s'arrêtent alors que les Nahdrahs regarde vers leur prince sans tête.

Gunn : Eh bien, je crois que tu as coupé la tête de serpent...

Tous les Nahdrahs commencent à cliquer et lèvent leurs armes.

Wes : Tu fout le camp avec les autres serpents.

Wes et Gunn arrivent sous l'assaut. La lucarne éclate et Angel tombe sur eux rejoignant le combat.

Wes et Gunn travaillent sur le déliage de Fred. Il y a des cadavres de Nahdrah jonchant le sol.

Angel à Cordy : J'aurais du t'écouter.

Cordy : Eh bien, ouais.

Angel lui prend Connor : Je n'aurais jamais du te laisser toi et le bébé seuls comme ça.

Cordy : Eh bien... ouais.

Wes et Gunn aident Fred à sortir de sa chaise.

Fred : Si vous pouvez garder vos têtes quand ils ont perdus leurs suppositions sur vous alors vous êtes assez chanceux. Je pourrais vous embrasser tous les deux.

Wes et Gunn se rapprochent tous les deux. Lorne éclaircit sa gorge, et ils baissent tous les yeux vers lui.

Lorne : Uh, encore ficelé par là.

Fred : Oh...

Tous les trois vont déficeler Lorne.

Lorne : Ouais, allez. Mes mains virent au rose.

Angel : Les mecs, puis-je dire quelque chose ? (Angel regarde vers l'argent répandu) L'argent est important mais... ce n'est pas tout... J'ai eu... Je m'étais emporté... J'ai juste (baisse les yeux vers Connor) Je n'ai jamais eu une vie qui dépendait totalement de moi avant. (Regarde encore vers l'argent) Mais ce n'est pas une excuse. (A Cordy) Où en étais-je ?

Cordy : L'argent n'est pas le plus important.

Angel : Non, ça ne l'est pas. Ce qui est... important c'est (regarde de Connor vers les autres) la famille... et la mission.

Cordy après un moment : Ils ont essayés de couper la tête de Fred. Nous avons gagnés chaque penny.

Angel : Tient le bébé.

Cordy prend Connor d'Angel alors que tout le monde sauf elle se ruent sur l'argent répandu et commencent à le fourrer dans leurs poches.

Gunn : Dépenser de l'argent...

Hyperion, nuit, Cordy chantant une berceuse.

Cordy : Va dormir, mon bébé veille...

Elle et Angel s'endorment couchés sur le lit d'Angel avec Connor entre eux, le nourrissant d'un biberon.

Cordy : Je dit juste un bateau.

Angel : Non. Des fonds de collège.

Cordy : Oui. Des fonds de collège... et payer nos factures... et placer un versement sur un bateau.

Angel : Nous n'allons pas avoir un bateau.

Cordy : Hmm, ils sont amusants.

Angel : Ils sont chers. Et quand pourrais-je aller sur ce bateau, hmm ?

Cordy : Navigue au clair de lune... ok... des fonds de collège... payer nos factures... et louer un logement de ski à Aspen.

Angel : Un logement de ski ?

Cordy : Il va y avoir quelques amusements dans nos vies.

Angel : Hmm... J'aimerais un logement de ski.

Cordy : Bien sûr. De la neige. Des arbres. Des robots écureuils sur glace...

Angel : Des robots écureuils... sur glace...

FIN



Par Jackie pour Buffy Fan
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