Apocalypse Nowish
Angel, épisode 407 saison 4

Transcript français par : Jackie (redac@buffyfan.org)
Thanks to : Joan the English Chick (pisces@englishchick.com)
 

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Transcripts © Buffy Fan 2000/2002 - Merci de respecter les droits d'auteurs
Toute copie, même partielle de ce transcript est interdite. Les personnages ainsi que les droits de la série télévisée "Angel" ne nous appartiennent pas. Ils ont été crées par Joss Whedon, et lui appartiennent, ainsi qu' à Mutant Enemy, Sandollar Productions, Kuzui Enterprises, 20th Century Fox Television et the WB Television Network. Pour toute demande de diffusion, de n'importe qu'elle manière, veuillez vous adressez au webmaster de ce site.

~~~~~~~~~~ Prologue ~~~~~~~~~~

Précédemment dans Angel :

APPARTEMENT DE WESLEY
Wesley parle à Lilah dans le living-room.
Wesley : Je dois partir, en fait.
Après que Fred soit partie, Lilah remarque que le magazine que Wesley lisait est ouvert sur un article intitulé 'Super Symétrie et Sous Espace P-Dimensionnal' par Winifred Burkle.

HOTEL/ANGEL INVESTIGATIONS
Fred parle à Angel et Gunn dans le hall de l'hôtel.
Fred : J'ai été demandée pour présenter mon article à l'Institut de Physique.

AUDITORIUM DE LA CONFERENCE A L'INSTITUT DE PHYSIQUE
Le vieux professeur de lycée de Fred la présente.
Seidel : Winifred Burkle.
Fred : Merci, professeur.
Lilah entre dans l'auditorium et regarde autour d'elle qui est là. Elle voit Wesley.

BUREAU DU PROFESSEUR SEIDEL
Quand le professeur revient dans le bureau, Fred est horrifié.
Fred : C'était le Professeur Seidel qui m'a envoyée sur Pylea.

LABO A L'EXTERIEUR DU BUREAU  DU PROFESSEUR SEIDEL
Fred a une arbalète pointée sur le professeur Seidel, qui se tient maintenant contre une des tables du labo. Fred a ouvert un portail dans le sol devant le professeur, et il l'aspire dedans. Il s'accroche à la table de labo alors que Gunn arrive dans le labo.
Gunn : Si tu le tues, je vais te perdre.
Gunn brise le cou du professeur, et le pousse dans le portail. Il se ferme derrière le professeur. Fred et Gunn se regardent, essayant de comprendre ce qui s'est passé.

HOTEL/ANGEL INVESTIGATIONS
Angel, Fred et Gunn viennent juste de découvrir que Cordy est revenue, dans le hall de l'hôtel.
Angel : Cordelia ?
Cordy : Qui êtes-vous ?

HOTEL/ANGEL INVESTIGATIONS
Cordy est assise dans sa chambre, se regardant dans le miroir. Elle fouille dans ses affaires et trouve une photo d'elle portant Connor bébé à côté d'Angel.

Angel : Elle est juste apparue sans mémoire, sans savoir qui elle est et où elle a été.

HOTEL/ANGEL INVESTIGATIONS :
Angel, Fred, Gunn et Lorne parlent à Cordy dans le hall.
Angel : Chante une chanson.
Gunn : Tu chantes, il voit ton avenir.
Cordy chantant médiocrement : Parce que le plus grand -
Pendant que Cordy chante, Lorne a l'air choqué et retourné.

HOTEL/ANGEL INVESTIGATIONS :
Angel parle à Lorne à la porte de sa chambre.
Lorne : Ce que j'ai vu était brouillé. Le mal arrive, Angel, et il a prévu de rester.

HOTEL/ANGEL INVESTIGATIONS :
Cordy, effrayée, parle à Connor, qui vient juste de la sauver de l'attaque d'un monstre.
Cordy : Tu peux me faire sortir de là ?
Connor lui tend la main, et ils partent ensemble.

RUE DE LOS ANGELES :
Cordy plonge le pieu dans le cœur du vampire avec précision, et le vampire se change en poussière devant ses yeux. Connor se lève, et Cordy courre vers lui pour une étreinte de célébration. Il la fait tourner. Quand il la repose, elle lui fait un bisou innocent, amical et rapide sur la bouche.

Angel : Elle est avec Connor, mon fils.

HOTEL/ANGEL INVESTIGATIONS :
Angel, Fred et Gunn trouvent Lorne attaché à une chaise, bâillonné, avec un gros trou saignant dans la tête. Il est évanoui.
Angel : Wolfram & Hart étaient après ce que Lorne a vu quand elle a chanté.
Fred : Ils l'ont aspiré de sa tête ?
Angel : Combien ils en ont ?
Lorne : Tout.

HALL DE L'HOTEL/ANGEL INVESTIGATIONS :
Dans le hall de l'hôtel, Lorne donne à Cordy une goutte de potion magique de mémoire pendant qu'Angel et Connor regardent. Elle fait une grimace et puis part en courant du hall.
Lorne : J'ai trouvé un sort de mémoire qui garantit de nous ramener notre Cordy comme elle était avant.

COULOIR DE L'HOTEL/ANGEL INVESTIGATIONS :
Cordy s'éloigne, mais Angel vient après elle.
Angel : On était amoureux ?
Cordy : Oui. (s'éloigne)
 

PROLOGUE
 

HOTEL/ANGEL INVESTIGATIONS
Gunn prend une hache dans le hall pendant qu'Angel descend les escaliers avec Lorne, parlant avec empathie.
Angel : Non.
Lorne : Pourquoi ?
Angel : Non.
Lorne : Pourquoi ?
Angel : J'ai dit non.
Lorne : J'ai dit pourquoi. Maintenant, allons au milieu avec un 'pourquoi non' ?
Angel : C'est trop tôt. (va vers le bureau)
Lorne : Mais elle a retrouvé la mémoire. Tu n'es pas un tout petit peu curieux de savoir si Cordy se souvient de sa petite part de travail en tant que Miss Pouvoir Supérieur. Oh, dis, peut-être quelque chose sur le truc tellement mauvais que Wolfram & Hart a aspiré de ma caboche.
Angel : On doit lui laisser du temps pour d'adapter avant qu'on vienne à elle avec un million de questions.
Lorne : Et pour une ? Une bonne.
Angel : Dans quelques jours quand elle sera plus elle-même.
Lorne à Fred et Gunn : Carillon à tout heure.
Fred et Gunn sont au cabinet d'armes, sortant des armes.
Fred : J'adore.
Gunn : Vraiment.
Fred : On a une affaire.
Angel : Besoin d'aide ?
Gunn : Nan. Une femme à Hancock Park qui entend des apparitions dans sa tuyauterie. Je ne sais pas non plus si je dois prend ma hache ou une ventouse.
Fred et Gunn partent.
Angel : Tu vois ? Des choses pires se passent dans des toilettes hantés, alors laissons un peu d'espace à Cordy. C'est pas comme si la fin du monde allait arriver dans une seconde.

ATTIQUE AU MUSEE D'HISTOIRE NATURELLE
Quelqu'un crie hors écran. Ça vient de la télévision que Cordy regarde. Connor vient dans la pièce avec les mains pleines de nourriture diverse.
Connor : Des chocodiles. Et quelques autres trucs.
Cordy : Quoi ?
Connor va s'asseoir sur le lit : J'ai pensé que tu aurais faim. Tu veux quelque chose d'autre ? Je pourrais -
Cordy : Non. C'est super.
Connor : Qu'est-ce tu regardes ?
Cordy : Un vieux film. Personnes Enceintes ou Mutant Enceinte de Champignons ou quelque chose, je ne sais pas. Je n'arrive pas à m'en souvenir. Je veux dire, je ne me souviens plus parce que j'étais petite quand je l'ai vu, alors c'est un peu flou, mais un flou naturel. (éteint la TV) Ne t'inquiète pas. Je ne vais pas redevenir une Figurine d'Action Cordy Amnésique. (commence à déballer une glace Chocodile)
Connor : Elle était pas si mauvaise.
Cordy : Ouais, un vrai coup de klaxon, aussi, qui panique et qui crie et qui courre partout comme une folle. (prend un morceau de glace) Mmm...je les adore.
Connor : Ouais, je sais.
Cordy : Merci.
Connor : De rien.
Cordy : Pas juste pour la bonté des sucreries. Merci pour... Mon dieu, merci pour tout. Je ne sais pas ce que j'aurais fait sans toi, Connor.
Connor : Paniquer, crier, être folle.
Cordy : Sûrement.
Connor va vers Cordy, s'agenouille devant elle, touche son genou : Tu devrais te reposer.
Cordy : Je vais bien.
Connor enlève tendrement les cheveux de son visage : Tu n'as pas dormi depuis que tu es revenue.
Cordy : Je sais. Chaque fois que je ferme les yeux, je...
Connor : Quoi ?
Cordy :  …le vois. Quelque chose d'horrible qui se déplace en profondeur, essayant de monter.
Connor : C'est juste un rêve.
Cordy : Je peux sentir le sang de tous les gens qu'il va tuer, sentir la chair brûlée.
Connor : Ca va. Tu es en sécurité avec moi.
Cordy : Personne n'est en sécurité. Tu ne comprends pas ça ? Ca arrive, et personne ne peut l'arrêter. Je voulais avertir Angel, mais les mots ne voulaient pas sortir. Pourquoi je ne peux pas lui dire ? Je le sens. La chose dans mes rêves...C'est réel, et c'est presque ici.
Connor se lève. Quand Cordy lève les yeux, il y a un démon bestial qui se tient devant elle là où était Connor.
Bête : Je sais.
La Bête attrape sa gorge, et Cordy halète, se réveillant de son rêve. Connor arrive en courant dans la pièce, venant vers elle.
Connor : Qu'est-ce qu'il y a ?
Cordy : Oh, G -
Connor : Tu vas bien ? Cordy !
Cordy sanglote et se penche sur Connor, qui met ses bras autour d'elle.

HOTEL/ANGEL INVESTIGATIONS :
Lorne est assis au bureau, parlant au téléphone.
Lorne : Des serpents ? Uh-huh. Et ils sortent de votre quoi ? Ok, ok, eh bien ils sont arrivés là d'eux-mêmes, ou c'est une partie de, vous savez, une chose. (rit nerveusement) Non, je ne juge pas. (met le téléphone sur son torse, demande Angel) On se bat avec les serpents ?
Angel est assis sur une chaise dans le hall, astiquant son épée.
Angel : Seulement s'ils sont géants. Ou démons. Ou des démons géants. (se tourne pour faire face à Lorne) Ce sont des serpents démons géants ?
Lorne : Eh bien, à moins que ce type fasse 30 pieds de haut, je pense qu'ils sont dans la variété de jardin.
Angel soupire : Oh. (se lève) Ils pourraient encore être démoniaque. Ils font des bruits bizarres de démons ?

COULOIR DE LA MAISON DU CLIENT
Fred et Gunn sont dans le couloir de la maison, parlant au riche client qui la possède. C'est une jolie femme blonde dans la trentaine.
Femme : Les bruits sont horribles. Les martèlements, les grognements - c'est impossible de dormir la nuit.
Gunn : Depuis combien de temps ça dure ?
Femme : Euh, une semaine, peut-être.
Fred : Bien. Si c'est hanté, plus longtemps le spectre occupe un endroit, plus c'est dur de les convaincre de partir.
Gunn : Ouaip, Casper fait affaire avec les grands garçons maintenant. On est vraiment persuasifs.
Femme : Faites tout ce que vous pouvez pour cette horrible pièce. Je serais dans la cuisine. (s'éloigne rapidement)
Gunn à Fred : Tu es prête ?
Fred : C'est pas une réponse acceptable ?
Gunn : Dans ce business ? Toujours.
Avec la hache en place, Gunn ouvre la porte.

SALLE DE BAIN DE LA MAISON DU CLIENT :
La salle de bain est immense et décorée avec luxure. Il y a une immense baignoire à l'arrière de la pièce, de riches cabinets en bois, et des éviers doubles.
Gunn siffle et regarde autour de lui : Punaise, regardez moi cette pièce.
Fred : Une famille de quatre personnes pourrait vivre dedans.
Gunn : Avec une chambre pour l'Oncle Laruel. Mec, des éviers en marbre, un jacuzzi, un bidet...(souriant) c'est le genre d'endroit où je nous vois toute la journée.
Fred timide : Ouais.
Gunn : Eh bien, j'ai pas dit demain.
Fred : Je sais, je -
Gunn : C'est juste, ça serait une belle journée. C'est tout.
Fred : Charles - (des grondements de tuyaux) Ok, c'est pas un bidet.
Gunn : D'où ça vient ? (commence à regarder autour de lui)
Fred : Hum, de partout. Peut-être qu'on aurait du ramener un prêtre.
Gunn écoute à côté de l'évier : Ou un Drano consacré. Je crois que ça s'est arrêté.
L'armoire à pharmacie avec miroir se brise au-dessus de l'évier, révélant des rats. Il y en a partout maintenant. Des douzaines dans le cabinet, arrivant de l'égout, dans la baignoire dans le sol.
Fred : C'est pas des fantômes. C'est définitivement pas des fantômes.
Gunn : Eh bien, ils vont le devenir.
Fred essayant de sortir par la porte, mais elle ne veut pas bouger : Ca ne s'ouvre pas. (cri)

COULOIR DE LA MAISON DU CLIENT :
Fred et Gunn ouvrent finalement la porte et retournent dans le couloir. Gunn enlève sa veste au cas où il y aurait encore des rats dessus. Fred l'inspecte.
Gunn : Enlève les. Enlève les.
Fred : Tu vas bien. Tu vas bien. (sortant, vers la femme) Hum, vous devriez chercher un exterminateur.
Gunn : Ou juste faire brûler l'endroit.
Fred : L'un ou l'autre.

APPARTEMENT DE WES
Wesley rentre dans son appartement, trouvant Lilah.
Lilah :  Dure journée au bureau ?
Wesley : J'ai eu pire.
Lilah : Qu'est-ce qui s'est passé ?
Wesley : Des insectes.
Lilah : Géants ?
Wesley : Fourmillant. Pourquoi tu es habillée comme ça ?
Lilah est assise à son bureau à côté de la fenêtre. Elle s'est fait deux nattes avec des flots bleus, elle porte des lunettes, une jupe courte, une chemise blanche et un cardigan bleu. Elle balance ses pieds comme une écolière qui joue les timides.
Lilah avec l'accent du Sud : C'est pas ce que tu aimes ? Intelligente et une petite -
Wesley roule des yeux : Lilah…
Lilah avec l'accent du Sud : Oh, oublie cette méchante sorcière. Parlons de moi. Je suis bonne et pure et la science tourne autour de moi, et - et un jour (met ses mains ensemble pour prier) si je prie assez et mange tous mes légumes, je pourrais être dans le vent.
Wesley sourit : Tu as fini ?
Lilah se lève et va vers lui : Ça t’a excité ? La regarder devant tous ces intellos en sachant qu'elle était la plus maligne dans la pièce ? (croise les bras)
Wesley : Ses théories méritent attention.
Lilah : Juste ses théories ? (se rapproche de lui) J'ai vu la façon dont tu l’ as regardé. Oh, allez. Tu crois que je m'intéresse à ton petit béguin ? Soupire autant que tu veux sur la brindille du Texas parce que je sais dans quel lit tu vas grimper à la fin de la journée. (met ses bras autour de son cou) Ou au milieu. (commence à l'embrasser)
Wesley : Tu crois que tu me connais ?
Lilah : Plus qu'elle ne le saura jamais.
Wesley l'embrasser passionnément, et ils vont sur le canapé. Wesley soulève la chemise de Lilah et s'assoie sur le canapé avec elle sur ses genoux, lui faisant face. Elle déboutonne sa chemise, révélant son soutien-gorge rouge. Elle commence à enlever ses lunettes, mais Wesley l'arrête.
Wesley : Laisse-les.
Lilah remet les lunettes, et ils continuent leur affaire…

HOTEL/ANGEL INVESTIGATIONS :
Fred et Gunn arrivent par le jardin en rentrant de la maison de leur client. Ils montent les escaliers, Fred en premier, vers la porte d'entrée.
Gunn : Sales bâtards au nez rose. Je peux encore les sentir grimper sur moi.
Fred : Je vais prendre un long bain et me frotter jusqu'à ce que ma peau arrête de s'agiter.
Gunn excité : On peut avoir des bulles ?
Fred se tourne pour lui faire face : En fait je pensais à prendre un bain calme seule.
Gunn : Oh. Ouais, ok.
Fred : C'est juste que - la baignoire n'est pas si grande...(rit nerveusement) Oublie ça. On se serrera.
Gunn : Non, non, vas-y d'abord. J'en prendrai un plus tard.
Fred soupire : Est-ce qu'on peut ne pas faire ça ?
Gunn : Tu veux dire avoir une conversation qui en dit long de la manière dont deux personnes qui s'aiment sont supposées en avoir ?
Fred baisse les yeux : Bien. On fera ça.
Gunn : Fred, qu'est-ce que tu veux de moi ?
Fred : Rien.
Gunn : Ouais, c'est vraiment clair.
Fred : C'est pas ce que je voulais dire.
Gunn : T'es sûre ? On ne parle pas. On dort aux côtés opposés du lit. On s'est même pas touchés depuis -
Fred (ils baissent tous les deux les yeux, évitant de se regarder) : Depuis qu'on a tué le Professeur Seidel.
Gunn : Non, depuis que je l'ai fait.
Fred : Pour moi.
Gunn : Je ne pourrais pas te laisser porter ça.
Fred : Ce n'était pas ton choix.
Gunn : Fred, ce n'est pas qui tu es. Ce n'est pas dans ton cœur.
Fred : Mais c'est dans le tien ?
Gunn : Maintenant ça l'est.
Fred commence à pleurer et redescend les escaliers : Je suis désolée.
Gunn : Fred !
Fred quitte le jardin, Gunn ne suit pas, mais la regarde juste partir.

HOTEL/ANGEL INVESTIGATIONS :
Angel inspecte les armes dans le cabinet d'armes. Lorne travaille aux téléphones au bureau. Ils sonnent tous en même temps, plus vite qu'il ne peut répondre.
Lorne au téléphone : Non, non, ce n'est certainement pas normal pour un garçon de ton âge. Ecoute, on t'enverra quelqu'un dès qu'on pourra. Juste, hum - ne le pousse pas. (raccroche)
Gunn entre dans le hall, et tend la hache à Angel.
Angel : Hey. Comment ça s'est passé ?
Lorne : Où est Fred ?
Gunn : Mal. Dehors. (le téléphone sonne) Je prends.
Lorne : Je te bénis toi et tout ton corps. (tend le bloc de messages à Gunn)
Gunn au téléphone : Angel Investigations. Uh-huh. Et quelle est la nature de votre manifestation ?
Lorne va chez Angel : Le business est vraiment bourdonnant, hein ?
Angel : Ouais, on peut le dire, je pense que, c'est dû à mon retour. Tu crois que je devrais les laisser par ordre alphabétique, ou les ranger selon les dégâts qu'ils causent ?
Lorne : Les dégâts. La nomenclature sort du portail quand, euh, l'entaille est prête.
Angel : C'est encore bon de savoir à quoi tu sers. Je veux dire, et si je me bats avec un Glurgg, et que je demande un Khopesh pour le finir.  Qu'est-ce que tu me jetterais ?
Lorne : Euh, un torchon. Les Glurggs sont fait de 90 % de pus. Ouais, euh, sans parler des fluides gluants, peut-être qu'on devrait demander de l'aide pour le bureau. Une certaine personne avec une bonne compréhension des dimensions supérieures. Et pourrait me dire ce qui a été aspiré hors de ma tête. Hum, son nom commence par un 'C'.
Angel lève les yeux : Connor.
Lorne : Non, je me penchais plus vers un muffin d'amour guilleret, mais - Oh. (voit que Connor est entré dans le hall)
Angel : Hey.
Connor : Hey.
Angel : Ca va. Le sort a disparu. Merci de ne pas me laisser blesser Cordy.
Connor : Eh bien, je ne sais pas, elle t'aurait sûrement embroché. Elle est vraiment rude.
Angel : Ouais, c'est vrai.
Connor : Elle est chez moi, maintenant. Tu le sais, non ?
Angel : Ouais, c'est bien. Elle a besoin d'un endroit où elle se sent en sécurité. Ça lui donne la chance de faire aboutir les choses. Quelques jours, et tout redeviendra comme avant.
Connor : Tu devrais lui parler.
Lorne : Oh, alléluia.
Angel : Maintenant c'est pas un bon moment. Après tout ce qu'elle a traversé, la dernière chose dont elle a besoin -
Connor : Papa, s'il te plait ?

ATTIQUE AU MUSEE D'HISTOIRE NATURELLE :
Cordy regarde loin de la porte quand Connor et Angel entrent dans la pièce.
Cordy soupire : Je vais le tuer.
Angel va vers elle, Connor reste derrière : Il s'inquiète juste pour toi. On s'inquiète tous.
Cordy : C'est le ‘nous’ royal, ou le populaire ?
Angel : J'ai toujours voulu être prince. (s'assoie à côté d'elle, tient sa main) J'ai entendu dire que tu naîtras dans ça.
Cordy sourit : Comment tu fais ça ?
Angel : Quoi ?
Cordy : Faire comme si tout ne se séparait pas. (Connor sort de la pièce)
Angel : Tu vas bien ?
Cordy : Ca va ici.
Angel : La façon dont tu as quittée l'hôtel -
Cordy : Je sais.
Angel : Est-ce que j'ai fait quelque chose, ou -
Cordy : Oh, Angel...je t'aime. Je t'aimerais toujours. Tu le sais.
Angel : Je ne crois pas qu'on puisse s'arrêter ici.
Cordy : Je le voudrais - plus que tout - mais je ne peux pas. (bouge pour lui faire face) Quand j'ai retrouvé ma mémoire, tout s'est rué à l'intérieur. Sunnydale, déménager à Los Angeles, te rencontrer à nouveau. Je voulais te le dire, mais c'était beaucoup trop.
Angel : Me dire quoi ?
Cordy : Ce que je me suis souvenue quand j'étais un être supérieur.  Je me souviens de t'avoir vu - ton passé - quand tu étais Angelus.
Angel : Je n'ai jamais essayé de cacher qui j'étais et ce que j'ai fais. Tu le savais déjà.
Cordy : Le savoir c'est différent que de le vivre. Quand j'étais là-haut, je pouvais regarder en arrière et voir tout ce que tu as fais en tant qu'Angélus - plus que voir, je l'ai ressenti. Pas juste leur peur et leur douleur. Je t'ai ressenti et combien tu aimais les faire souffrir. Je t'aime, Angel, (touche son visage) mais je ne peux pas être avec toi. C'est trop tôt. Peut-être que si on laisse un peu de temps....
Cordy commence à hyperventiler, convulser, et ses yeux deviennent blancs. Angel attrape ses épaules pour la maintenir. Elle a une vision de la Bête sortant de la Terre.
Angel : Cordy !
Cordy : Il arrive. Il arrive maintenant.

ATTIQUE DU MUSEE D'HISTOIRE NATURELLE :
Cordy est couchée dans le lit. Connor est assis à côté d'elle, et Angel marche de long en large devant elle.
Angel : Tu as encore tes visions. Je pensais qu'elles étaient supposées ne plus te faire de mal.
Cordy : Ce n'était pas normal. (soupire, Angel s'assoie sur le lit à côté d'elle) Si ce mot s'applique à tout ce qui m'est déjà arrivé. Les visions sont d'habitudes comme un arroseur de pelouse. Celle là était comme le Niagara.
Connor : Tu devrais la laisser se reposer.
Cordy : Non, je vais bien. (tient la main de Connor)
Angel : Qu'est-ce que tu peux me dire d'autre ?
Cordy : Grand, puissant, il grimpe dans les boyaux de la Terre pour tous nous massacrer. Ouais, c'est assez bien résumé.
Angel : Tu as vu quelque chose qui pourrait nous donner une idée de l’endroit ?
Cordy : Non, juste la grosse bête. (s'assoie dans le lit) Ca arrive, Angel, et ça ne va pas s'arrêter - pas jusqu'à ce qu'on soit tous - Ca ne s'arrêtera pas.
Angel : Il a raison. Tu devrais sûrement dormir un peu.
Cordy : Ouais, parce que le destin fatal - c'est presque aussi bon que du lait chaud.
Angel se lève : Peut-être ce qui arrive, je vais trouver un moyen de l'arrêter.
Cordy : Il sera trop tard. Je peux le sentir. Ca arrive - je ne sais pas. Je crois que j'en sais davantage sur cette chose - ou, j'en savais plus quand j'étais toute haute et puissante, mais je ne peux pas l'atteindre.
Angel : Peut-être si Lorne te lit de nouveau.
Cordy : Tu crois qu'il le fera après ce qui s'est passé la première fois ?
Angel : Je pourrais le tenir.
Cordy : Angel, on doit en savoir plus. J'ai besoin de savoir.

HOTEL/ANGEL INVESTIGATIONS :
Gunn répond aux téléphones au bureau. Les téléphones sonnent tous en même temps. Lorne est aussi au téléphone au bureau sur une autre ligne.
Gunn au téléphone : Je suis désolé. Je sais, mais on est vraiment submergés en ce moment. Eh bien, si Snowball n'a pas encore essayé de manger votre dos, frappez le avec l'herbe à chats jusqu'à ce qu'on arrive. (raccroche)
Lorne au téléphone : Non, je - je crois qu'autant de mucus n'est jamais un bon signe. Uh-huh. Oh, s'il vous plait, s'il vous plait, s'il vous plait, décrivez le en détail. (tient le téléphone sur son torse, à Gunn) Hey, euh, ça ne s'arrête pas. Ca te dirait de, euh, se débrouiller pour chercher quelques adorables renforts ?
Gunn : Je ne sais pas où elle est.
Lorne : Eh bien, euh, c'est là où le débrouillage arrive.
Gunn : Eh bien, si Fred voulait être ici, elle le serait.
Lorne au téléphone : Euh, ouais, ça a l'air horrible. Ne quittez pas. (raccroche, a Gunn) Vous deux ça va ?
Gunn : Demande le lui. Peut-être qu'elle te parlera à toi.
Lorne répond au téléphone : Angel Investigations. Ne quittez pas.  (A Gunn) Hey, je ne sais pas ce qui se passe entre petit gâteau et son glaçon, mais tu sais ce qu'elle ressent pour toi. Pas besoin de cornes et d'une belle voix pour être capable de lire ça.
Gunn : C'est juste - c'est dur depuis ce truc avec son Professeur.
Lorne : Eh bien, être aspiré dans Pylea c'est vraiment affreux, mais être envoyé là-bas dans le but d'une personne dont tu as confiance - Hey, au moins Dr. Ego a eu le goût de son propre portail.
Gunn : Ouais. Il a eu ce qu'il méritait, non ?
Il y a un bruit sourd contre les fenêtres des portes d'entrées. Gunn va investiguer; il ouvre la porte pour voir ce que c'était. La porte s'ouvre un peu plus grand alors qu'il va dehors.
Gunn : C'est un moineau. Claqué dans la vitre.
Lorne alarmé : Ferme la porte.
Gunn : Il pourrait ne pas être mort.
Lorne : Ferme là !
Des centaines de moineaux de plus se claquent dans la vitre si fort qu'ils explosent, laissant des taches de sang sur les portes et les fenêtres. Finalement ça s'arrête.
Gunn : Je crois que c'est pas un bon signe.
Lorne : Ouais, comme les présages ne vont - pas si bien.

COULOIR DE WOLFRAM & HART :
Lilah est dans sa suite d'affaire modeste maintenant, ayant une coupe élégante à la place des nattes. Elle parle dans son portable, semblant un peu agitée.
Lilah au téléphone : Une hausse de 300 % ? Il y a une heure ? Uh-huh. Oh, vous croyez ? Eh bien, non. Fermez-la. Amenez moi un rapport d'incident référencé par régions, milieu économique et social, et spécialités. Oh, et allez chercher Gavin. Quelqu'un essaye de s'immiscer dans notre apocalypse et ça n'arrivera pas pendant -

BUREAU DE LILAH A WOLFRAM ET HART :
Lilah ouvre la porte de son bureau et s'arrête dans sa phrase quand elle voit Angel assis à son bureau.
Lilah au téléphone : Laissez moi revenir vous voir. (raccroche)
Angel : Ferme la porte.
Lilah : Comment tu es rentré ici ? (ferme la porte) Les détecteurs de vampires, mon cul. Et bien, nous y voilà, bien et confortable. Parlons de - hmm, mince, laissez moi deviner - Lorne. Comment va-t-il ? Toujours vert ?
Angel : Je t'ai dit qu'on aurait une conversation.
Lilah : Chic, mais j'ai pas beaucoup de temps, alors disons qu'on saute les deux pas habituels, tu me menaces, je te menace, et patati, et patata. On saute directement à toi qui me jette hors de ta tête étoffée et charnue. Parce que, tu sais quoi ? Tu n'obtiendras rien de moi non plus cette fois.
Angel : Je ne pensais pas le faire, mais Gavin - il était plus commode.
Lilah regarde derrière elle vers Gavin, attaché et bâillonné sur le canapé : Tu n'aurais pas pu au moins le torturer un peu plus ?
Angel : Je le voulais vraiment, mais il n'aurait pas parlé assez longtemps pour y aller.
Lilah : J'ai un remède pour ça.
Angel : La vengeance sur ton propre temps. Je suis à l'heure.
Lilah : Qu'est-ce qu'il t'a dit ?
Angel : Que tu essayes de déchiffrer ce que tu as sorti de la tête de Lorne. Des centaines d'investigations psychiques - Eh bien, pas vraiment autant maintenant, parce que dès qu'ils découvrent une partie, leurs cervelles finissent par décorer les murs.
Lilah : Tu devrais voir la facture de nettoyage. Maintenant c'est terrifiant.
Angel : Ce que tu as eu sur ce qui arrive - maintenant ça serait le bon moment.
Lilah : Je partage pas trop.
Angel : Tu crois que je rigole ?
Lilah : A moins que tu aies fait apparaître un sens de l'humour pour aller avec cette âme. Ecoute, tu l'a reçu de la bouche de la belette. Peu importe ce que Lorne a glané en lisant Wonder Girl - c'est protégé. Essaye de le déverrouiller - ka-booey. Merci d'être passé. (va derrière le bureau)
Angel : Tu essayes de le cacher. Je peux le sentir sur toi ?
Lilah s'assoie à son bureau : Du Chanel ?
Angel se lève : La peur.
Lilah : Eh bien, tu es vraiment imposant dans cette lumière.
Angel fait le tour pour se tenir près de Lilah : Tu n'as pas peur de moi, Lilah. Tu as peur de ce qui arrive. Peut-être qu'on pourrait s'aider, hein. L'ennemi de mon ennemi -
Lilah : Tu peux aussi me lécher le cul ! Tu veux jouer au héros ? Va trouver un autre tas de sable.
Angel : Normalement, ça serait la partie où je fais une grande menace, mais merci à Gavin -
Lilah : Comme s'il savait quelque chose.
Angel : C'est le point. Cette chose t'a pris par surprise, aussi. Tu n'avais aucune idée que ça arrivait.
Lilah soupire : Alors, quoi - je suis supposée me jeter chez Mr. Gentil parce que le grand inconnu va me les pomper ?
Angel : C'est gagnant pour toi, Lilah. Tu m'aides, je l'arrête, Wolfram et Hart te fait ‘employée du mois’ pour avoir protégé tout ce qu'ils ont mis en place depuis les derniers mille ans. Tu m'aides et je ne l'arrête pas, eh bien, je crois que la seule façon pour que ça arrive c'est si cette chose me tue. (s'assoie sur le bureau devant elle) Et si ça se passe comme ça, tu gagnes encore. Alors, tu peux continuer à jouer difficilement, ou tu peux jouer intelligemment. C'est à toi de voir.
 
ATTIQUE DU MUSEE D'HISTOIRE NATURELLE
Cordy marche de long en large dans l'attique. Puis elle décide de partir quand Connor l'arrête en sortant de nulle part.
Cordy : Ca doit être génétique.
Connor : Quoi ?
Cordy : Suivre les gens. Ton père est un expert.
Connor : Je passais juste. Où tu vas ?
Cordy : Etre à l'intérieur toute la journée. J'ai pensé faire une ballade, nettoyer les toiles d'araignées, recharger les batteries. (pause) Ok, j'arrête. J'ai reçu un sentiment plus fort.
Connor : Pour la vision.
Cordy : Ouais. Des flashs, des images, ça se secoue en moi, ça tire.
Connor : Où ?
Cordy : Je ne sais pas. Peut-être là où les choses vont se mettre en boite.
Connor : Alors tu allais aller lui faire face de toi-même.
Cordy : Ca va. J'étais un être supérieur. (commence à s'éloigner)
Connor : Etait. (Cordy s'arrête) Tu ne l'es plus.
Cordy : Non, c'est vrai. Je me souviens de vouloir rentrer chez moi, être capable de toucher, de ressentir, (s'assoie sur le lit) redevenir humaine.
Connor : Tu l'es.
Cordy : Mais je ne me souviens pas comment. Je suis en vacances ? Je vais au AWOL cosmique ? Est-ce que j'ai fait quelque chose pour emmerder les Pouvoirs Qui Sont et être larguée ? Pourquoi est-ce que je suis ici ?
Connor : Parce que tu es importante.
Cordy : Oh, ouais. Le monde a vraiment arrêté de tourner sans moi.
Connor : Eh bien...tu es importante pour moi.
Cordy : Je crois que le pistage n'est pas le seul truc que tu as eu d'Angel. Tu es aussi vraiment bon pour dire les bon mots.
Connor : Des phrases complètes. Je travaille dessus. (sourit timidement)
Cordy : Peut-être que tu as raison. Peut-être que j'ai été renvoyée parce que j'étais importante ou nécessaire - pour ça, pour arrêter quoi qu'il arrive. Je dois découvrir si c'est pour ça que je suis ici. (se lève)
Connor : Et je dois aller avec toi.
Cordy : Non, c'est dangereux.
Connor : C'est pour ça que je viens.

ENTREPOT DE LOS ANGELES :
Cordy et Connor marchent l'un à côté de l'autre parmi des cartons et autres choses.
Connor : T'es sûre de savoir où on va ?
Cordy : Exactement ? Non. Mais, pour la première fois depuis que je revenue, j'ai l'impression d'avoir un but, comme une raison d'être ici. Avant, tout ce que je ressentais était vide - comme si j'attendais que ma vie commence.
Connor : Je sais ce que ça fait. Ne pas savoir pourquoi tu es là, quelle est ta place dans ce monde...
Cordy : Ca s'appelle avoir 18 ans. Si tu le fais après 21 ans, les choses vont beaucoup mieux.
Connor arrête de marcher : Elles l'ont déjà fait.
Cordy se tourne pour lui faire face : Tu vas vraiment devenir affreusement bon avec les mots.

ALLÉE QUELQUE PART DANS LOS ANGELES :
Connor et Cordy marchent l'un à côté de l'autre.
Connor : C'est quoi ça ?
Cordy : Cet endroit. J'ai été là avant.
Connor : Dans ta vision ?
Cordy : Non, je - (ils arrêtent de marcher) Oh, mon dieu. Darla.
Connor : Ma mère.
Cordy : Elle est morte ici. Connor, c'est là que tu es né.
Quelque chose jaillit du sol devant eux, entouré de lumière rouge. Ça a deux énormes cornes sur la tête, et c'est une bête énorme - celle que Cordy a vu dans ces visions.
 
Pause

La Bête est immense, et il jette une ombre cornue sur le trottoir humide. Connor va vers lui avec une épée, mais la Bête le jette dans l'allée contre une poubelle en acier.
Cordy : Connor !
Cordy était accroupie par terre, mais la Bête l'attrape par la gorge et lève ses plusieurs pattes dans les airs au niveau de ses yeux et regarde le visage de Cordy. Elle ne crie pas et ne frappe pas, mais le regarde juste en ayant l'air un peu effrayée. Connor arrive à son secours, attaquant de nouveau la Bête. La Bête repose Cordy et jette de nouveau Connor dans l'allée.
Cordy : Non !
La Bête va vers Cordy. On voit les énormes pieds à sabots de la Bête. Cordy essaye de ramper au loin derrière son dos, mais elle ne peux pas s'éloigner de lui. Là où la Bête a tenu son cou avant, la peau est rouge et lacérée.
De l'autre côté de l'allée, Connor se tient faiblement et dit : Eloigne toi d'elle !
La Bête regarde Connor, puis Cordy et rit. Puis en un seul effort, il saute au sommet de l'immeuble à proximité. Quand la Bête est partie, Cordy rampe vers Connor, qui semble blessé et saigne de la bouche.

HOTEL/ANGEL INVESTIGATIONS :
Gunn parle au téléphone dans le hall. Lorne est aussi au téléphone.
Gunn au téléphone : Si tu vois Fred, tu pourrais lui dire de me rappeler ? Charles Gunn, avec deux N. Oui, c'est mon vrai nom. Juste - s'il te plait, dis lui de me rappeler.
Lorne au téléphone : Eh bien ça pourrait prendre plusieurs jours. Vous êtes le cinquième sur la liste des murs qui saignent. Vous savez quoi, aspergez le avec un petit 409. On viendra vous voir. (raccroche) Hey, pas encore de mot ?
Gunn compose encore un numéro.
Gunn : Personne ne l'a vue.
Lorne : Eh bien, peut-être qu'elle s'est baissée et couverte quand nos amis à plumes sont devenus kamikazes.
Gunn raccroche : Tu es bien là ? Je vais faire un tour, voir si je peux - je vais juste rouler. (met sa veste)
Lorne : Laissez la machine fonctionner c'est mécaniquement magique. Allez. Je vais sortir ma tête par la fenêtre, voit si je peux saisir la vibration de Burkle.
Gunn : Tu peux faire ça ?
Lorne : Hum, non, mais ça semble rassurant, et je pourrais prendre l'air.
Gunn et Lorne vont vers la sortie, mais Wesley vient juste d'arriver par les portes d'entrées.
Wesley  : C'est un peu mûr ici. Je proposerais d'ouvrir une fenêtre, mais -
Gunn : Fred n'est pas là.
Wesley : J'ai pas demandé.
Gunn : T'avais pas besoin.
Wesley : Depuis que tu l'as ramenée, où est-elle ?
Gunn : C'est pas tes affaires.
Lorne : Hey, euh, appelez moi drôle d'oiseau, mais peut-être qu'on pourrait épargner les trois rounds jusqu'à ce que le Harcèlement de Chuck Heston se refroidisse.
Wesley : Vous avez remarqué la hausse des activités paranormales ?
Lorne : Ouais, on a marché dedans en rentrant. Des oiseaux, des rats, du sang - les lignes de Ghostbuster n'arrêtent pas de sonner.
Wesley : Je traque des rapports similaires. (soupire) Peut-être que si on unit nos résultats -
Gunn :  Va t'unir toi-même. Je vais chercher ma copine.
Gunn commence à s'éloigner, quand Angel l'interrompt.
Angel : Non, tu n'y vas pas. Si on n'arrête pas ce qui arrive, là où est Fred ça n'aura plus d'importance, ou nous tous.
 
HOTEL/ANGEL INVESTIGATIONS :
Lorne est assis, regardant des papiers qui sont éparpillés sur la table à café. Les papiers sont complètement couverts de symboles mystiques, et il y a des centaines de ces feuilles de papiers. Angel marche. Wesley est assis sur le canapé à côté de Lorne. Gunn est assis sur le canapé en face d'eux.
Angel : C'est tout ce que Wolfram et Hart pouvait déchiffrer de ce qu'ils ont sortis de la tête de Lorne.
Wesley : Ils l'ont juste donné ?
Angel : Lilah - elle peut être vraiment généreuse. (Wesley le regarde du coin des yeux)
Gunn : Tu lui fais confiance sur ça ?
Angel : Non, mais elle a intérêt d'arrêter la fin du monde avant que ça ruine la fin du monde de Wolfram et Hart, alors...
Gunn : Ok, c'est quoi le plan ?
Angel : Tu le tiens. (s'assoie à côté de Gunn) On découvre tout ce que ça veut dire, puis on fait quelque chose de grand et de violent.
Wesley : Je vois que tu y accordes une pensée considérable.
Lorne tenant quelques papiers : Alors tout ça est sorti de ma tête ? Pas étonnant que ça m'ait rendu plus vert.
Angel : Si Wolfram et Hart ne l'avait pas extrait, tu aurais été une ombre pâle de mort.
Lorne : Ouais, eh bien, rappelle moi de leur envoyer une corbeille de fruits. (boit son cocktail, le téléphone sonne) Mm. Sauvé par le gong continu. (se lève, va vers le bureau)
Angel : Tu as enregistré les appels ?
Lorne : Tous les derniers détrempés.
Angel à Lorne : Prends une carte, commence à noter les emplacements. Regarde s'ils sont concentrés dans un endroit. (à Wesley et Gunn) Peu importe ce qui se passe, peu importe ce que Cordy a vue, les réponses sont dans ces pages. On doit les découvrir.

HOTEL/ANGEL INVESTIGATIONS
Wesley, Gunn et Angel sont encore assis sur les canapés, essayant de déchiffrer les donnés contenues dans les papiers sur la table devant eux.
Gunn : On le découvrira jamais.
Angel : On doit continuer d'essayer.
Wesley : Normalement je serais d'accord, mais c'est une perte de temps.
Angel : C'est tout ce qu'on a.
Wesley : Alors on doit avoir oublié quelque chose. C'est du charabia. Des morceaux et des pièces de glyphes, de langages archaïques, de symboles - tous mélangés.
Angel : Tu en reconnais certains ?
Wesley : Euh, chaleur, tombé, tombeau, chair...aucun n'a de sens.
Angel : Ah, on va continuer jusqu'à ce que ça en ait.
Gunn se lève : Vous savez; peut-être qu'on devrait juste faire un pas en arrière. (fait le tour)
Angel : On a pas le temps. Cordy a dit que peu importe ce qui se passe ça arrive maintenant.
Wesley : Alors peut-être que tu aurais pu dire ça plus tôt. (feuillète les pages) On pourrait examiner cette pagaille de maintenant jusqu'au Jugement dernier, si c'est demain ou dans cent ans -
Gunn se tenant derrière Wesley maintenant : Attend, retourne en arrière. La dernière feuille, retourne là.
Angel se lève, va regarder : Qu'est-ce que c'est ?
Wesley : Je ne vois rien.
Gunn : C'est parce que tu regardes trop prêt.
Gunn aligne deux papiers, montrant un symbole triangulaire qui est complété quand ils sont proprement alignés. En plus, le type des symboles et des glyphes n'est pas si absurdes après tout. Ils y a des endroits qui sont écrits plus densément que d'autres. Gunn prend un tas de papiers de Wesley, enlève la table à café, et commence à disposer les papiers par terre, assortissant les endroits denses qui commencent à former des lignes.
Gunn : Ok. Alors c'est quoi ce bordel ?
On zoome pour voir que, quand ils sont proprement arrangés, les papiers forment un symbole qui ressemble à un carré avec des lignes diagonales connectant les côtés opposés. (formant un X sans le carré). Wesley, Angel et Gunn se lèvent et le regardent.
Angel : L'Oeil de Feu.
Wesley : L'ancien symbole alchimique du feu.
Angel : Et de la destruction.
Gunn : Vous m'avez touchés.
Lorne : Euh, les garçons ? (lève la carte) Je déteste être le petit démon qui a pleuré l'apocalypse non désirée, mais euh...
Lorne fait des gestes sur la carte avec un marqueur. Il a tracé les endroits des perturbations avec un point rouge pour chaque appel, et les points ont formés un carré.

RESTAURANT :
Fred est assise seule dans la cabine d'un restaurant nocturne, tenant une tasse de café. La serveuse arrive vers elle, tenant une cafetière, et remplissant sa tasse.
Serveuse : Je vous en donne encore une fois, et puis je vous coupe.
Fred : Oh, désolée. Je peux payer pour la prochaine.
Serveuse : C'est pas le remplissage gratuit qui m'inquiète. C'est vous qui allez trépider dans une autre dimension après une dixième tasse.
Fred : Personne ne veut ça.
Serveuse : Pourquoi vous ne l'appelez pas ? Vous êtes assise là depuis toute la journée. Il est sûrement malade d'inquiétude.
Fred : Je ne sais pas ce que j'aurais dit.
Serveuse : Je crois que bonjour aurait sûrement marché. J'ai vu la façon dont il vous regardait quand vous veniez tous les deux ici. Cette homme ferait tout pour vous.
Fred : Je sais.
Serveuse : Alors réjouissez vous. Peu importe ce qui se passe - aussi longtemps que vous avez l'amour - ça ne peut pas être si mauvais.
L'immeuble commence à trembler comme s'il y avait un tremblement de terre. Fred sort de la cabine et s'accroupit par terre, baissant la serveuse avec elle.
Fred : Eloignez vous de la fenêtre.

ATTIQUE AU MUSEE D'HISTOIRE NATURELLE
Cordy est assise sur le lit à côté de Connor, soignant ses blessures. Ils ont aussi un petit tremblement de terre.
Connor : Je dois y aller. Je dois arrêter ça.
Cordy : Ouais, te faire tuer devrait vraiment ralentir cette chose. (regarde son flanc pas mal meurtri) Oh, mon dieu. Je crois que tu as plusieurs côtes cassées.
Connor : J'ai jamais été cassé, même pas à Quor-toth. Je ne crois pas que je puisse l'être.
Cordy : Tu es blessé à cause de moi. Parce que j'ai pensé que peut-être j'aurais encore un grand but supérieur, que je sois là pourrait en fait...faire une différence. Maintenant je le sais mieux.
Connor se tourne pour lui faire face : Tout ce que tu sais c'est que cette chose peut te blesser, et si elle essaye encore, je trouverais un moyen de la tuer.
 
HOTEL/ANGEL INVESTIGATIONS :
Angel dessine des lignes diagonales, connectant les coins du carré formés sur la carte quand Lorne a marché les incidents. Angel indique là où les lignes se croisent.
Angel : C'est ça.
Lorne : Quoi ?
Wesley : Le point focal des perturbations.
L'immeuble tremble comme s'il y avait un tremblement de terre.
Angel : Peu importe ce qui arrive, c'est là où on le trouvera.
Gunn : Je connais cet endroit - le vieil immeuble Kimball est là-bas. Ils ont fait un rétro dessus, mis un club sur le toit. Le, euh, Sky Temple ou quelque chose.
Lorne : Ouais, ouais, j'en ai entendu parler. Un trou d'arrosage pour les gens dans le vent. Les acteurs, les top modèles, toutes les hot mamas et les yamas.
Wesley : Un tombeau de la chair. (regarde Angel)
Angel : Alors, qui a soif ? (va vers le cabinet d'armes)
Gunn : Allons le faire. (suit Angel)
Lorne encore assis au bureau : Hey, je sais que l'endroit est tout, mais, hum, peut-être qu'on devrait s'arrêter à l'acompte jusqu'à ce qu'on sache à qui on a affaire ou comment l'arrêter.
Angel : Si c'est vivant, on le tue. Si ça ne l'est pas, on l'enterre. (jette une arbalète à Wesley) Tu viens ?

CLUB SKY TEMPLE SUR LE TOIT DE L'IMMEUBLE KIMBALL :
Angel, Wesley, Gunn et Lorne vont vers l'entrée du club armés et prêts à se battre, mais quand ils voient la Bête, ils s'arrêtent net sur leur route. Encore immense et intimidante même comparée à Angel et son gang, la Bête rit quand elle les voit. Elle se tient à l'intérieur d'un carré fait avec des corps humains qui ont été couchés en position. Au centre du carré, la Bête tient un homme dans les airs, le balançant par le pied. La façon dont le corps plane, ça forme un X.
Lorne : Ooh, euh, je vais avoir besoin d'une plus grosse flèche.
 
Pause

CLUB SKY TEMPLE SUR LE TOIT DE L'IMMEUBLE KIMBALL :
La Bête voit Angel et le gang se tenant à l'entrée du club. La Bête jette l'homme qu'elle tient dans la pièce avant de focaliser son attention sur le gang d'Angel.
Angel lève son épée et courre vers la Bête. Gunn est sur sa droite, pendant que Wesley et Lorne sont sur la gauche avec les arbalètes braquées. Angel fait balancer son épée vers la Bête, mais ça n'a pas d'effet - quand l'épée contacte la peau de la Bête, il y a un tintement, mais ça ne coupe ou ne pénètre pas la peau. Angel continue d'essayer d'utiliser son épée sur la Bête, mais sans résultat. Éventuellement, la Bête éloigne l'épée d'Angel, s'en débarrasse, et jette Angel dans la pièce où il se heurte à une colonne, la brisant en morceaux.
Gunn jette la hache sur la Bête, mais la Bête l'attrape facilement, pliant la lame à moitié et la rejetant à Gunn.
Angel se remet de sa chute, se lève, et brandit deux petites haches. Angel les balance dans les jambes de la Bête, les bras, la tête - mais elles ne le blessent pas du tout.
Wesley et Lorne tirent des flèches avec leurs arbalètes sur la Bête, mais la Bête les fait dévier avec son avant-bras, changeant leur trajectoire pour que les flèches aillent frapper Angel à la place. Angel augmente sa douleur alors qu'une flèche atterrit dans son ventre et l'autre dans son épaule droite.
La Bête regarde autour d'elle vers tout le monde.
Wesley et Lorne rechargent leurs arbalètes quand la Bête ramasse le corps d'Angel et le jette vers eux, les assommant.
Gunn va vers la Bête avec son épée, frappant puissamment sa tête, encore en vain. La Bête attrape Gunn par la gorge et le jette dans la pièce.
Wesley met les deux mains dans son manteau, sortant deux pistolets automatiques. Il tire, avec les deux à la fois, dans le torse et la tête de la Bête sans effet. Il les jette, et prend le fusil de chasse sur son flanc. Wesley tire sur le torse de la Bête, la faisant tressaillir un peu, mais les coups ne semblent pas faire de dégâts. Il tire encore dans le visage de la Bête, faisant tomber la Bête, tombant sur les genoux. Wesley braque le fusil sur son visage à proximité, mais la Bête lève juste les yeux et lui sourit. La Bête grogne et éloigne le fusil avant de jeter Wesley dans la pièce. La Bête rit.
Angel : Tu peux toujours jubiler, rigolard. (sort la flèche de son épaule) On vient juste de commencer.
Angel va vers la Bête, engageant un combat de main à main. Ils échangent des coups, quand la Bête frappe Angel tellement fort, ça l'envoie voler en arrière dans les airs. Angel se pose sur ses pieds sur un auvent, en visage de vampire maintenant. La Bête grogne. Angel saute de l'auvent, atterrissant devant la Bête. Ils se battent encore avec les poings, mais Angel parvient à faire tomber la Bête sur les genoux. Angel prend un poignard dans son étui de la jambe et le pointe vers les étranges yeux jaunes de la Bête. Ses yeux s'agrandissent, et Angel hésite, incapable de plonger le poignard dans ses yeux parce qu'il y a une poigne sur le bras d'Angel maintenant. Le tableau a changé alors que la Bête poignarde Angel dans l'épaule droite. Angel grogne d'agonie, du sang goûtant de sa bouche, alors qu'il revient involontairement en visage humain. La Bête regarde sciemment Angel.
Bête : Tu crois vraiment qu'elle est en sécurité avec lui ?
La Bête prend Angel et le jette dehors dans la ville, bien au-delà du bord de l'immeuble où ils sont maintenant. Gunn se lève et crie.
Gunn : Non !
Lorne a l'air paniqué. La Bête se met sur un genoux, frappant le sol au centre du carré humain, faisant sortir une traînée de feu le long du sol de la forme du symbole de l'Oeil de Feu. Une onde de choc émane de l'endroit, envoyant tout le monde voler un peu plus loin. Lorne est jeté en arrière, mais atterrit sur une lucarne en verre et tombe dans la pièce de dessous. Gunn et Wesley sont assommés, mais encore sur le toit. Le feu est haut maintenant, plus haut que la Bête.
Wesley s'assoie à temps pour voir la Bête sauter droit dans le ciel, montant sur le feu qu'elle a crée. Wesley va vers Gunn, qui est couché inconscient sur le sol. Lorne est conscient maintenant. Wesley porte Gunn loin du feu.

RUE DE LOS ANGELES :
Angel est couché par terre, dans une rue quelque part en ville. Il roule, encore plein de douleur et de sang de la rencontre avec la Bête. Faiblement, il sort l'outil de son épaule, grimaçant. Il convulse de douleur en regardant le ciel.

ATTIQUE AU MUSEE D'HISTOIRE NATURELLE :
Connor et Cordy sont l'un à côté de l'autre, regardant par la fenêtre vers le puit de feu qui jaillit d'un nuage circulaire rouge dans le ciel au dessus de la ville. La colonne de feu est aspirée dans le nuage quand elle disparaît et le nuage se ferme. Encore brillants, les nuages font maintenant pleuvoir des minuscules boules de feu au dessus de la ville. Ils regardent avec incrédulité.
Connor : Qu'est-ce qui se passe ?
Cordy : Je ne sais pas.
Connor : C'est lui, non ? C'est cette chose.
Cordy : On ne sait pas.
Connor : J'aurais du essayer plus fort. J'aurait du l'arrêter.
Cordy : Il était trop fort. C'est pas ta faute.
Connor : Et si ça l'est ? Et si cette chose a - choisi l'endroit où je suis né. C'est parce qu'elle est là - à cause de moi ?
Cordy le regarde : Non.
Connor secoue la tête : Je n'étais jamais supposé arriver. L'enfant de deux vampires. Et si -
Cordy : Connor, ce n'est pas toi.
Connor la regarde : Tu ne le sais pas.
Cordy : Si, je le sais. Dans mon cœur. (Elle touche son visage, écarte ses cheveux) C'est pas toi, bébé. C'est pas toi. Pas toi.
Avec la main qu'elle a utilisée pour écarter ses cheveux de son visage, Cordy rapproche le visage de Connor et l'embrasse tendrement et passionnément.
Connor : Pourquoi - pourquoi est-ce que tu - ?
Cordy : Parce que je ne crois pas que ça n'a plus d'importance. Je sais ce que tu ressens pour moi, Connor. Quand je pense à ce que tu as - (touche son visage tendrement) tu n'as jamais eu d'enfance, ou une famille ou des amis ou quelque chose de réel, et si c'est la fin, je veux que tu connaisses quelque chose de réel.
Cordy met sa main à sa taille et ils s'enlacent et s'embrassent passionnément.

BUREAU DE L'IMMEUBLE KIMBALL :
Du bureau où il a atterrit, Lorne regarde par la fenêtre avec horreur alors que les boules de feu pleuvent sur la ville.

CLUB SKY TEMPLE SUR LE TOIT DE L'IMMEUBLE :
Wesley tient le faible corps de Gunn dans ses bras, en l'ayant porté dans une partie protégée du club. Wesley regarde le ciel.

RESTAURANT :
Fred regarde le feu pleuvoir du ciel de l'intérieur du Restaurant à travers les stores. La serveuse et les autres patrons sont terrifiés. Fred essaye de joindre quelqu'un sur son portable, mais elle ne l'atteint pas. Elle regarde son portable, raccroche, et continue de regarder par la fenêtre.

BUREAU DE LILAH A WOLFRAM ET HART :
De son bureau, Lilah regarde le feu pleuvoir dehors. Elle serre nerveusement ses mains, puis frotte ses bras comme s'il faisait froid.

ATTIQUE AU MUSEE D'HISTOIRE NATURELLE :
Connor et Cordy sont au lit ensemble, faisant l'amour. Couché au dessus de Cordy, Connor l'embrasse tendrement.

ATTIQUE AU MUSEE D'HISTOIRE NATURELLE :
Zoom à l'extérieur de la fenêtre. Du feu tombe de partout, et Angel est là, sur le toit d'un immeuble à proximité, regardant dans l'attique, où il peut voir Connor et Cordy ensemble dans le lit faisant l'amour.

FIN



Par Jackie pour Buffy Fan
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